Cest le cas de la ville d’Angoulême, qui depuis une quarantaine d’années, a connu l’expérience de sa transformation autour d’une image de marque : la bande dessinée qui s’est par
La Cité de l’Architecture, au Trocadéro, vient tout juste d’ouvrir son exposition Archi & BD. La ville en bande dessinée, le thème est vaste. Chaque dessinateur y va de son utopie selon les besoins du scénario. Enki Bilal, Jean-Claude Mezières Valerian, décors du Cinquième Elément, ou Schuiten & Peeters qui sont également architectes ne sont que les exemples les plus connus. Cette exposition a donc pour tâche de présenter la ville en BD, de manière chronologique. Tout commence par les Comics, toutes ces histoires de super héros avec pour décor des buildings. Pour que le jeune lecteur puisse s’identifier au personnage, il faut en effet qu’il évolue dans le même décor que lui. C’est la raison pour laquelle New-York est une des vedettes de ces scénarios. Puis suivent d’autres aspects de la ville, comme le HLM qui rappelle fortement la chanson de Renaud. Chaque histoire a son décor urbain, plus ou moins important. Archi BD présente de belles planches qui sont un régal pour l’amateur. Malheureusement, le déroulement de la présentation ressemble u peu trop à un catalogue. Ce vaste sujet méritait une analyse intéressante et structurée. On se contentera du plaisir visuel…
Lexposition « archi et BD, la ville dessinée», à la Cité de l'Architecture et du Patrimoine, explore les correspondances qui existent entre l'architecture eArchi & BD, la ville dessinée Cité de l'architecture et du patrimoine Palais de Chaillot, à Paris Cheveux en bataille, humour potache, Bjarke Ingels, 35 ans, est une vedette montante sur la scène internationale de l'architecture 1. Lorsque ce Danois, auteur du pavillon de son pays à l' Exposition universelle de Shanghaï, a voulu faire un livre pour exprimer ses convictions, quelle forme a-t-il choisie ? La bande dessinée. Cela s'appelle Yes is more, an archicomic on architectural evolution. Voilà, si nécessaire, encore une preuve de la pertinence de l'exposition Archi & BD, la ville dessinée » que propose la Cité de l'architecture à Paris jusqu'au 28 novembre. Les deux commissaires de l'événement, Jean-Marc Thévenet et Francis Rambert, experts respectivement en bandes dessinées et en architecture, ont réuni un étonnant ensemble comptant plusieurs centaines de dessins originaux. Ils montrent combien, depuis un siècle, ces deux spécialités se sont nourries mutuellement. Imaginer un univers Un bâtisseur comme Jacques Rougerie a imaginé un véritable album de BD afin de promouvoir son projet d'habitat sous-marin. Dans un manga du grand maître japonais Jirô Taniguchi, des bâtiments de Josef Hoffmann ou Otto Wagner ont été utilisés comme décors. Entre les encres de Chine oniriques de l'architecte Claude Parent et l'univers de science-fiction de Jean-Claude Mézières Valérian, comment ne pas ressentir un apparentement ? La proximité des deux modes d'expression s'explique en fait assez facilement. Ils partent tout bêtement des mêmes outils. Une feuille de papier, un crayon ou une plume. Ensuite, avec si peu, imaginer un univers. Intime, lorsqu'il s'agit d'une simple maison, ou très vaste, à l'échelle d'une ville. Autre point de rencontre les deux arts ont pris leur essor à la même époque. Au tout début du XXe siècle, les métropoles américaines poussent vers le ciel, le tirage des quotidiens s'envole, offrant une audience de masse aux auteurs de comic strips. Un auteur de BD incarne ce temps Winsor McCay, père de l'adorable Little Nemo ». Une ville plus dure et angoissante L'un des grands charmes de l'exposition est de montrer comment la perception de la ville a évolué dans l'esprit des auteurs de bande dessinée. On est parti d'une vision innocente, celle du petit Nemo. Puis est venu un temps d'optimisme positiviste qu'illustre la bande dessinée belge des années 1960. Winsor McCay vivent dans un clair pavillon qui ressemble à un stand du Salon des arts ménagers. Ensuite la BD entame un long chemin de désenchantement la ville y devient plus dure et angoissante. Mais reste fascinante, décor dont on ne peut se passer même s'il connaît la déréliction, comme dans les dessins d'Enki Bilal. Les villes de demain seront- elles ainsi ? C'est aux architectes qu'il appartient de répondre. Guillaume GOUBERT Jusqu'au 28 novembre à la Cité de l'architecture. De 11 heures à 19 heures 21 heures le jeudi. Entrée 8 euros tarif réduit 5 euros. 1 Le centre d'architecture Arc en rêve, à Bordeaux, lui consacre une exposition jusqu'au 31 octobre.Archiet BD, la ville dessinée (2) Publié le 12 juillet 2010 par Onarretetout. Il sera question des villes dessinées. La BD est née dans la ville. La BD raconte ce que les hommes et les femmes
Archi & BD la Ville Dessinée Album BD de la Série Archi & BD la Ville Dessinée Titre Archi & BD la Ville Dessinée Paru le 18 Juin 2010 Dessin Collectif Scénario Collectif Genre Art-illustration Public Ados-Adultes Editeur MONOGRAFIK Collection ARCHI EAN 9782360080199Prix public 39,60 €
Vousne serez pas déçus ! Capitale reconnue de la bande dessinée, Bruxelles ne cesse de mettre le 9ème art à l’honneur. Plusieurs musées, galeries, marchés, festivals et magasins spécialisés lui sont entièrement consacrés, mais l’une des activités les plus étonnantes est sans aucun doute le fameux parcours BD.
13, rue del Percebe Francisco Ibañez Ediciones B - Ooooh, tiens une maison ! - Là une autre ! - Oh le bel immeuble de Chaland ! Allez, on le met aussi ! - Qui ça ? Ah ouais, pas bête... Mais on n'en a pas en magasin. Pas grave, on mettra des photocopies... Grosse déception donc, avec cette expo Archi & BD, la ville dessinée qui m'a plus donné l'impression d'une collection d'un peu tout ce que les commissaires avaient en stock plutôt que d'une réelle adaptation de planches à leur propos, par ailleurs plus que succinct. En fait, j'exagère il faut reconnaître que cette expo met aussi en valeur d'excellentes photocopies-couleur apparemment on dit désormais "impressions numériques" pour combler le matériel manquant. Des photocopies-couleur ! Non, mais imagine-t-on une expo au Grand Palais sur Monet, Van Gogh ou Picasso avec des photocopies-couleur ? Est-ce ainsi que l'on compte élever la bédé au rang de neuvième art ? Hein ? Ho ! Hé, dites, non mais sans blague. Déjà, le thème est très vaste. Ah, ça c'est sûr que dans toute BD on va bien finir par trouver un héros qui habite dans une maison, située dans une rue, elle-même dans une ville et s'il habite à la campagne, ça compte quand-même ?. Est-ce que toutes ces belles images ont bien un intérêt "architectural" ? Je n'en ai pas été convaincu. Trop vaste ? Et encore, en entrant devant la fresque monumentale d'Olislaeger quelqu'un peut-il me rappeler ce qu'il a fait en BD ?, on comprend qu'il n'y aura pas de village gaulois, de cité romaine ni de villes-fantômes ce sont les copains alixophiles qui vont tirer la tronche si la BD commence au début du siècle, les commissaires de l'expo ont étonnamment décidé que cela devait aussi être le cas de l'architecture citadine. Pourquoi pas. Mais alors ne fallait-il pas plutôt parler d'"architecture moderne" ? Dōmu-Rêves d'enfants, Katsuhiro Otomo, Humanos, Curieux choix également de regrouper ensuite cette exposition autour de New York -il faudrait arrêter un jour de foutre le 11 septembre à toute les sauces-, Paris et Tokyo. Bon, les "cartes postales" des quartiers lointains de Taniguchi, je veux bien, m'enfin, n'aurait-il pas été plus intéressant de s'intéresser aux barres de HLM inhumaines qu'Otomo nous montre dans Dōmu ? Le survol de que quelques autres grandes villes comme Londres qu'est-ce que Jack l'éventreur a à voir avec l'architecture ? ou Johannesbourg dans mon souvenir,dans Bienvenue à Jobourg, Rabaté n'en montrait justement quasiment rien n'a rien de passionnant. Je dois dire que je ne me souviens même plus si la Buenos Aires de Muñoz est représentée dans l'expo. Heureusement, Chicago est sauvée par Chris Ware. Quant aux Belges, ils n'auront qu'à faire leur propre expo rue des Sables s'ils veulent qu'on voie de Bruxelles autre chose que l'Atomium... Peut-être les commissaires ont-ils estimé qu'il s'agissait d'une ville secondaire dans l'histoire du neuvième art ? Ridicule. Déçu aussi quant au traitement de l'architecture futuriste. Si les cités-puits imaginées par Tsutomu Nihei dans Blame ! sont absentes, il semble que celles, paradisiaques à côté, de Mœbius soient bien montrées la mémoire me fait défaut je dois avouer que cela fait un moment que j'ai visité l'expo et que j'ai préféré ne pas rédiger ce billet à chaud, mais je n'ai pas de souvenir que la faisabilité ou leprojet de telles cités soit développées. Dommage également d'ignorer l'étouffante Anderville de Cavazzano et Faraci qui nous montre que même une idyllique Mickeyville peut se transformer en infernale Gotham City si ses habitants l'abandonnent aux mains de promoteurs véreux et d'architectes dingues ? Enfin, le sujet est si vaste qu'il faudrait une expo à part. Masamune Shirow Appleseed-Book two-Prometheus Unbound Eclipse international, 1990 Où sont les délires architecturaux que l'on trouve en ouvrant n'importe quel manga ah si il y a bien une planche d'Urasawa pour sauver l'honneur ? Et d'ailleurs où sont les mangas ? Restés bloqués, à part quelques rares exceptions, à Bruxelles, eux-aussi ? Quant aux écrasants Schuiten et Peeters, ils auraient, là-encore, évidemment mérité une expo à eux-seuls... Yukito Kishiro la Cité volante de Zalem surplombant la ville-décharge de Kuzutetsu dans Gunnm Glénat Blame ! 2, Tsutomu Nihei, éd. Glénat Ne revenons pas sur la mise en scène, hideuse "À chier & BD ?" d'autres s'en sont déjà chargés. Est-elle à l'image de ce que ces "cons d'architectes" ce n'est pas moi qui le dit, c'est Reiser nous préparent pour demain ? Mais tout de même quel est l'intérêt de rétro-éclairer des planches de BD, à part peut-être pour en voir les bouts de scotch et autres tâches d'encre au verso, d'en faire pâlir l'encrage ? Je n'ai d'ailleurs toujours pas compris si le clignotement des néons était un effet voulu pour donner une ambiance de parking souterrain ou non ? Allez, on termine par un bon point avec certains ateliers de la deuxième partie de l'expo comme - Reiser et les cons -donc- d'architectes, - Golo et les vue panoramiques en hommage à l'art du sandouk-el-dounia cairote, - la Maison de Verre de Pierre Charreau admirablement interprétée par Avril, Ted Benoit, Götting, Juillard et Loustal, - celle, non moins superbe des Garde-Fous d'Olivier Bézian, le frère de Frédéric. Quant au musée Rodwell de Louvain-la-Neuve, on rappelle bien que Joost Swarte en a dessiné l'architecture intérieure, mais on n'en verra hélas que la maquette de... Christian de Portzamparc ! En tant que visiteur "passablement averti" comme dirait l'autre, je suis donc hélas certainement "passé à côté" de cet expo... Heureusement, tout le monde ne partage pas mon avis. Que cela ne vous dissuade donc surtout pas d'aller vous forger le vôtre à la Cité de l'Architecture et du Patrimoine avant le 28 novembre 8 € l'entrée, 5 pour les héros sans emploi et de nous faire part de vos impressions, même si elles ne sont pas numériques. Une scéno qui touche le fond ? hormis la chute de Difool, aucune des illustrations de ce billet ne figure à l'expo
Archi et BD - La ville dessinée", à découvrir à la Cité de l'Architecture et du Patrimoine. les sujets associés Culture; Vu d'Europe. Franceinfo sélectionne chaque jour des contenus issus
Cet article date de plus de cinq ans. Quelles sont les relations entre le monde de l'architecture et celui de la bande dessinée ? Quelles influences ont eu les villes modernes sur les auteurs ? L'exposition "Archi et BD - La ville dessinée", présentée à la Cité de l'Architecture et du Patrimoine de Paris jusqu'au 28 novembre 2010 tente d'y répondre. 350 oeuvres et 150 artistes sont représentés. Article rédigé par Publié le 06/12/2016 0630 Temps de lecture 1 min. Prolongez votre lecture autour de ce sujet tout l'univers Arts-Expos Vu d'Europe Franceinfo sélectionne chaque jour des contenus issus de médias audiovisuels publics européens, membres de l’Eurovision. Ces contenus sont publiés en anglais ou en français.
Labande dessinée con nue ainsi de faire de la ville un espace rêvé, évocateur de souvenirs, de nostalgie, de regrets mais aussi de moments heureux. Par les procédés qu’elle met en œuvre, la bande dessinée off re des possibilités de représenta on infi nies qui illustrent et accompagnent le récit comme une seconde forme de narra on.
Qu’elle fasse office de décor post-apocalyptique ou de cadre utopique à la gloire du progrès technologique, la ville a toujours excité l’imagination des dessinateurs de bande dessinée. Présentation des villes futuristes les plus spectaculaires du 9e art. Winsor McCay la ville moderne et vertigineuse Le lit de Nemo part en balade dans la ville. Dessin extrait d’un épisode de Little Nemo in Slumberland paru en 1908. Avec sa série Little Nemo in Slumberland, dont la publication démarre en 1905 dans les colonnes du New York Herald, Winsor McCay va influencer plusieurs grands noms de la bande dessinée, au premier rang desquels Moëbius ou François Schuiten. L’artiste américain y met en scène les aventures imaginaires d’un petit héros rêveur dans un paysage urbain onirique. Ce pays des merveilles regorge ainsi de gratte-ciels vertigineux, d’arches finement ciselées et de pièces de mobilier urbain aux lignes résolument inspirées par l’Art Nouveau. McCay se fait ainsi le témoin d’une époque – le XXIe siècle naissant – où la ville moderne, à la fois verticale et gigantesque, apparaît comme l’espace de tous les possibles. Son New York ville futuriste s’inspire directement des palais de stuc et des fausses statues antiques de la Columbian Exposition, une installation fameuse de l’Exposition Universelle de 1893 à Chicago. Hugh Ferriss le père de Gotham City Bâtiment futuriste The City of Tomorrow 1929 S’il n’a jamais réalisé » le moindre bâtiment, cet architecte américain a influencé la plupart des confrères de sa génération avec ses dessins de ville datant des années 1920-1930. Il est d’ailleurs considéré comme un perspectiviste » plus que comme un architecte à proprement parler. Ses gratte-ciel, dont la silhouette rappelle parfois celle des temples mayas, ont contribué à définir l’architecture Art Déco, en particulier sa série de dessins de 1929 baptisée The City of Tomorrow La métropole du futur, qui met en scène un univers urbain minéral, glacé, nocturne et dépeuplé, presque toujours traité avec de subtils clairs-obscurs et librement inspiré du Manhattan où vit et travaille Ferriss. C’est aussi au célèbre perspectiviste américain qu’on doit les premiers dessins de Gotham City, la fameuse cité sombre, décadente et malfamée où évoluera bientôt le superhéros Batman. Alain de Saint-Ogan trottoirs roulants et voitures volantes Case extraite de l’album Zig et Puce au XXe siècle d’Alain de Saint-Ogan. Dans Zig et Puce au XXIe siècle, peut-être l’album le plus célèbre de cette série démarrée en 1925, le dessinateur français détourne avec un mélange d’humour et d’admiration les images futuristes d’Albert Robida réalisés dans les années 1880, qui mettaient en scène des mégapoles transformées par le progrès technique. Dans sa ville du XXIe siècle », on retrouve donc des trottoirs roulants, des voitures volantes et même des ballons individuels pour se déplacer. Saint-Ogan imagine aussi une île flottante installée au milieu de l’océan Atlantique. Archigram la contre-utopie urbaine d’inspiration comics Ville du futur en bande dessinée Du début des années 1960 jusqu’au milieu des années 1970, six architectes anglais bouleversent l’histoire de l’architecture avec la publication du magazine Archigram. S’inspirant des codes graphiques de la bande dessinée de science-fiction – et en particulier des couvertures souvent criardes des comics – ils mettent en scène leurs utopies urbaines, mêlant l’innovation technique à la culture populaire. Si Archigram est surtout connu pour le projet Plug-in City porté par Peter Cook une ville en perpétuelle expansion où chaque immeuble et chaque commerce a sa propre durée de vie, d’autres projets de villes futuristes ont été dessinés sous forme de BD par les architectes anglais. C’est le cas notamment de la Walking City de Ron Herron, cette ville robotisée ressemblant à une machine de guerre », comme la décrit le catalogue de l’exposition Archi & BD, La Ville dessinée. Lire la suite de l’article Quand la BD imagine la ville du futur 2/2
Villesfuturistes, villes oniriques, poétiques ou fantastiques, métropoles américaines ou asiatiques, cités du rêve ou villes fantômes, simples décors urbains ou quasi personnages à part entière : la Ville dans tous ses états constitue, depuis les origines du genre, l’un des motifs fétiches de la bande dessinée, une source d’inspiration inépuisable qui envahit les cases La Cité de l’architecture et du patrimoine vient d’ouvrir son exposition consacrée à la représentation de la ville dans la bande dessinée. La ville comme décor, mais aussi parfois comme personnage principal, est illustrée à travers 350 œuvres et 150 auteurs. L’expo se visite également sur les réseaux numériques. . En ligne, un blog reprenant l’univers d’un comics, propose aux internautes des contenus supplémentaires. Un blog enrchi de vidéos, news et interviews Le blog de l’expo » met en ligne des articles sur l’actualité de l’exposition mais également des interviews vidéo d’architectes, d’auteurs et dessinateurs. Le site donne également accès aux coulisses de l’exposition avec le making off » du chantier. Des planches ainsi que des news sont régulièrement ajoutées aux articles. Le blog est également un lien vers les différents sites de la Cité de l’architecture et du Patrimoine mais aussi sa billetterie en ligne. Une sélection de liens vers d’autres sites spécialisés sur la BD est également répertoriée ainsi qu’un lien vers la chaîne Dailymotion de la Cité. Une version interactive de l’exposition à venir L’exposition Archi & BD, la ville dessinée » va connaître un second souffle technologique à partir de la rentrée 2010. En effet, une application iPhone est en cours de production par la Cité ainsi qu’un parcours interactif dans Paris. Les visiteurs pourront en effet prolonger leur visite de l’expo et effectuer une découverte originale des bâtiments de Paris grâce à la réalité augmentée et à une application iphone. Le dispositif est actuellement en cours d’élaboration avec Orange Lab. Après avoir inspiré les planches de BD, l’architecture urbaine sort donc des murs de la Cité pour s’installer sur des écrans mobiles ! Retrouvez le blog de l’exposition Archi & BD, la ville dessinée » du 9 juin au 5 novembre 2010 à la Cité de l’architecture et du patrimoine.