Bonjour La situation antérieure Une cours de 500m² avec un géotextile et 10 a 15 Cm de gravier silex concassé taille 12 /22 La problématique C'est instable La voiture passe doucement mais mon camion Trafic° s'enfonce La solution proposé Simplement rajouter du sable très fin type 0/2 concassé calcaire pour stabiliser le 12/22 Aujoudh'ui J'ai enlever en moyenne 10 cm de gravier Les véhicules passent mais c'est toujours instable et lorsque je maneouvre sur place les roue creusent. Ma question Si j'applique la solution proposée Quelle quantité de sable épaisseur ? Dois-je utiliser une semelle vibrante ou un rouleaux a 2 billes pour compacter le tous ? Si rouleau a 2 billes quel poids 650K ,2 T? En vous remerciant par avance Crdialement .
Nossystèmes de surveillance nous permettront de savoir que vous avez vu cette page, afin que nous puissions examiner le lien cassé et la mettre à jour. Pour retourner sur notre page d'accueil c'est par ici. Vous pouvez aussi nous appeler, du lundi au samedi de 8H à 20H au 09 74 75 01 74 (prix d'un appel local). Retour en haut. Vous inspirer. Vous accompagner. Vous informer. Nous l'essentiel C’est un chantier d’envergure qui a débuté hier soir sur l’autoroute A 66. D’ici le mois d’octobre, 16 kilomètres de chaussée seront refaits à neuf dans les deux sens de circulation. Les usagers de l’A 66, entre Pamiers et Toulouse devront s’armer de patience dans les jours qui viennent. Vinci Autoroutes, le gestionnaire, a débuté une longue phase de travaux qui ont début lundi soir et qui seront achevés au mois d’octobre. Il s’agit de rénover les deux chaussées de roulement sur un linéaire de 16 km dans les deux sens de circulation entre l’échangeur nord de Pamiers n° 3 et le pont de franchissement de l’Hers au nord de la commune de Mazères. Le chantier est prévu en quatre phases dont la première tranche vient de débuter. De fait et jusqu’à vendredi midi, il sera impossible de rejoindre l’A66 depuis Pamiers. Pour les automobilistes venant du sud, il faudra donc emprunter la RD 820 jusqu’à Saverdun pour rejoindre l’A 66 en direction de Toulouse. Dans un deuxième temps, la barrière de péage de Mazères n° 2 sera fermée à la circulation du 16 au 19 août à midi. Vous l’aurez noté les deux échangeurs seront rendus accessibles le week-end du 15 août où l’on attend un nouveau chassé-croisé d’importance sur la route des vacances. À l’issue de cette deuxième phase de chantier et pour réduire les temps d’intervention et la gêne occasionnée, Vinci Autoroutes procédera à des travaux de nuit entre 21 heures et 7 heures du matin sur les voies de circulation d’une longueur de 3 km entre les deux barrières de péage. Les premiers renouvellements de chaussée seront réalisés dans le sens Pamiers-Toulouse avec un basculement de circulation sur la voie descendante la dernière portion comprise entre le péage de Mazères vers l’ouvrage d’art enjambant l’Hers sera "traitée" dès le mois de ce chantier, Vinci Autouroutes réutilisera une majeure partie de l’enrobé existant sur les chaussées actuelles. La mince couche rabotée par les engins sera amenée à proximité de Saverdun, dans une carrière où le groupe Colas a installé une centrale à tonnes d’enrobé réutiliséesCelle – ci utilisera les 25 000 tonnes d’anciens enrobés arrachées aux chaussées existantes ainsi que 7 500 tonnes d’agrégats venus d’autres chantiers en nouvel enrobé sera "fondu" avec l’apport de matériaux "neufs". Vinci prévoit un recyclage de 50 %. D’autre part, la carrière qui fournira les agrégats est située à deux kilomètres du chantier. Une distance qui permettra de limiter les kilomètres parcourus par la noria de véhicules. Dans cette même volonté de limiter l’impact carbone de ce chantier, Vinci Autoroutes utilisera des engins fonctionnant tous au bio carburant.Lenrobé est un mélange de graviers, de sable et de bitume. Il est appliqué sur une ou plusieurs couches pour constituer un revêtement de trottoirs ou de chaussée, mais
Télécharger l'article Télécharger l'article Les pommes de terre au four sont un plat facile à faire et bon marché. Les pommes de terre sont une excellente source de vitamines, de fibres, de potassium et de manganèse [1] . Les pommes de terre étant très versatiles, il existe de nombreuses façons de les préparer. Il existe quelques façons faciles pour préparer les pommes de terre au four mais toutes ces méthodes ne font pas usage d'un four traditionnel. Choisissez celle qui vous semble la plus alléchante et faites quelques essais ! Ingrédients Des pommes de terre à cuire au four, de 170 à 200 g chacune, des pommes de terre Russet ou rouges selon vos préférences De la crème fraiche facultatif De la ciboulette facultatif De l'huile d'olive facultatif Du beurre facultatif Du fromage facultatif De l'aneth facultatif 1Brossez les pommes de terre et rincez-les bien à l'eau froide. 2Séchez-les. Si vous utilisez un four traditionnel, retirez l'excès d'humidité en séchant les pommes de terre avec une serviette de table sèche ou de l'essuietout. 3Retirez les bourgeons des pommes de terre. 4Retirez si besoin les parties abimées des pommes de terre. 5Percez les pommes de terre une ou deux fois avec une fourchette. Cela permettra une cuisson plus rapide et uniforme. 1Frottez les pommes de terre d'huile d'olive. Il faudra les enrober uniformément facultatif. Assaisonnez avec du poivre et du sel. Placez les pommes de terre sur une plaque de cuisson ou un plat à rôtir facultatif. Certaines personnes préfèrent mettre les pommes de terre directement sur la grille. 2 Faites cuire les pommes de terre à 220°C pendant 45 à 60 minutes [2] [3] . Les pommes de terre sont prêtes lorsque vous pouvez les percer facilement avec une fourchette. Les pommes de terre peuvent aussi être cuites à température plus basse pendant plus longtemps. Ce procédé tend à donner une peau plus croustillante [2] . Essayez 175°C pendant environ 1 heure et demie ou 190 °C pendant 1 heure et quart. Le temps de cuisson varie. Toutes les pommes de terre ne sont pas uniformes en taille et en masse, ces temps de cuisson ne sont donc qu'indicatifs et non une règle immuable. Surveillez la cuisson à l'aide d'une fourchette, pour savoir si la pomme de terre a atteint la cuisson que vous souhaitez. 3 Assaisonnez et garnissez si nécessaire. Voici quelques combinaisons classiques. De la crème fraiche et de la ciboulette Du beurre et du sel Du fromage 1Assaisonnez les pommes de terre. Utilisez de l'huile d'olive, du sel et du poivre facultatif. Si vous n'allez pas incorporer ces pommes de terre dans un autre plat, il est préférable d'assaisonner les pommes de terre avec de l'huile d'olive, du sel et du poivre. 2Enveloppez les pommes de terre dans du papier aluminium. Le papier aluminium est un très bon conducteur de chaleur, ce qui signifie que le temps de cuisson des pommes de terre enveloppées de papier aluminium sera probablement plus court. Cependant, si vous aimez les pommes de terre au four avec une peau croustillante, attention les pommes de terre cuites dans du papier aluminium auront une peau cuite à la vapeur et non croustillante [4] . 3 Procédez à la cuisson. Faites cuire à 220 °C pendant 45 à 60 minutes ou à 400 °C pendant 60 à 70 minutes. Les pommes de terre cuites moins rapidement ont souvent un cœur plus crémeux. Surveillez la cuisson des pommes de terre avant la fin du temps de cuisson. En effet, le papier aluminium accélèrera la cuisson et vous éviterez ainsi de les cuire plus que nécessaire. 4Garnissez selon vos gouts. 1Placez les pommes de terre dans un plat adapté au microonde. Ensuite, passez-les au microonde pendant 5 minutes à pleine puissance. 2Retournez les pommes de terre. Puis, replacez-les au microonde pour 3 à 5 minutes supplémentaires. 3Surveillez la cuisson. Si les pommes de terre ne sont toujours pas entièrement cuites, remettez-les au microonde par intervalles de 1 minute jusqu'à ce qu'elles soient parfaitement cuites. 4Garnissez si nécessaire. 1Brossez les pommes de terre, mais ne les séchez pas. Un petit peu d'humidité rendra vos pommes de terre meilleures après la cuisson. 2Placez-les dans la cocotte. Couvrez et faites cuire à feu doux pendant 6 à 8 heures ou jusqu'à ce qu'elles soient tendres. Cette méthode vous donnera des pommes de terre légères, à la peau très tendre. Une cuisson longue à feu très doux diminue le risque de trop cuire les pommes de terre. 3Garnissez si nécessaire. Vidéo de wikiHow Comment faire cuire des pommes de terre au four Conseils Le beurre, le fromage, la crème fraiche, la ciboulette et le bacon sont tous des accompagnements classiques pour les pommes de terre au four. Beaucoup de gens aiment manger les pommes de terre au four avec du steak. Certaines personnes aiment envelopper leurs pommes de terre au four dans de l'aluminium avant de les cuire au four traditionnel. Cela cuit la pomme de terre à la vapeur. Cela ne dépend que de vos préférences ! Le temps de cuisson peut être réduit en utilisant un four microonde. Placez les pommes de terre propres sur un plat adapté et faites-les chauffer jusqu'à ce qu'elles soient chaudes, seulement quelques minutes pour chaque pomme de terre. Ne les cuisez pas complètement. Terminez immédiatement la cuisson au four traditionnel. L'utilisation d'une cocotte n'est pas recommandée pour cette variante. Les pommes de terre au four peuvent être cuites entre 170 et 220°C. Bien sûr, plus la température est basse, plus le temps de cuisson sera long, mais les pommes de terre pourraient alors être cuites en même temps qu'une viande ou autre plat au four. Éléments nécessaires Une brosse pour gratter les légumes Un couteau de cuisine pour retirer les parties abimées de la pomme de terre Vidéo Références À propos de ce wikiHow Résumé de l'articleXPour cuire des pommes de terre au four, commencez par les frotter, puis rincez-les à l’eau froide. Séchez-les, retirez toutes les parties gâtées, puis percez-les à l’aide d’une fourchette pour accélérer leur cuisson. Faites cuire vos pommes de terre dans le four à 220 degrés, entre trois quarts d’heure et une heure. Comme l’aluminium conduit très bien la chaleur, vous pouvez en utiliser pour envelopper vos pommes de terre afin de réduire le temps de cuisson. Pour une cuisson rapide, placez-les dans un plat pouvant aller au microonde après les avoir percées, et faites-les cuire 5 minutes de chaque côté. Cette page a été consultée 383 706 fois. Cet article vous a-t-il été utile ?Selonl’ORS, les effets sont garantis. Une étude danoise, portant sur 13 375 femmes et 17 265 hommes, âgés de 20 à 93 ans, « montre que la pratique du vélo dans les déplacements domicile Le nez du Khalife, par Bob Oré Abitbol Dans notre quartier où vivaient en majorité des familles juives, un personnage, musulman, s'était installé Le Khalife. Un homme au passé trouble et mystérieux qui, d'après les rumeurs avait été un redoutable terroriste pendant la lutte pour l'indépendance du Maroc. Grand, fort, de petits yeux cruels, des cheveux courts, un front considérable et un nez énorme, piqué, vérolé, majestueux, qu'on voyait en tout premier, avant toute chose. Oui vraiment, une espèce de géant impressionnant! Sa maison néo-mauresque, un palais aux lourdes portes avec jardins intérieurs, semblait incongrue dans cette rue aux maisons classiques, badigeonnées à la chaux, et d'une architecture plutôt modeste pour ne pas dire quelconque. Ma mère, qui connaissait bien l'ancien propriétaire, monsieur Benjelloun, un homme affable, de grande sagesse bien que viscéralement avare, l'avait présenté au Khalife en la couvrant de compliments et d'éloges. Nous vivions dans cette rue Lusitania, rue très célébrée ici, en harmonie relative avec les musulmans, chacun reconnaissant ses limites, ses restrictions, ses prérogatives, ses craintes sourdes mais bien présentes, sans exclure une certaine amitié et même, pourquoi ne pas le dire, dans certains cas, une affection mutuelle profonde et sincère ! Nos voisins immédiats étaient presque tous musulmans les Benjelloun, les Chraïbi, les épiciers, le propriétaire du four, nos bonnes, les différents marchands qui fréquentaient ou travaillaient dans notre rue et avec lesquels nous vivions en bonne entente. Des gardes du corps surveillaient la maison du Khalife vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Un va-et-vient continuel animait cette portion de la rue. Des politiciens, des ministres, des quémandeurs, des anciens terroristes et que sais-je encore venaient et repartaient discrètement. Un jour que nous étions invités chez lui, un grand honneur, j'avais pu compter jusqu'à vingt domestiques petites jeunes filles aux yeux baissés, vieilles dames édentées qui nous regardaient avec un grand sourire, jeunes hommes au fez rouge allant et venant d’un pas pressé un plateau, chargé de boissons, de fruits ou de gâteaux faits maison. Un gardien à moustache, un fez sur la tête, noir comme du charbon, l'air terrible, était assis à l'entrée, un martinet à la main qu'il secouait de temps en temps pour éloigner les mouches. La maison sentait le suif, le jasmin et la fleur d'oranger. Des femmes, le harem du patron sans doute, regardaient furtivement par les fenêtres. Quand il n'était pas voilé, leur visage apparaissait marqué de fins tatouages bleus Leurs yeux, au regard lumineux, étaient cerclés de khôl; leurs cheveux avaient la couleur chaude du henné. À l'heure du déjeuner, les hommes se mirent à table, les femmes à une autre. Un samovar d'une main, une serviette de l’autre, un domestique nous fit laver délicatement les mains; l’eau tiède était mélangée à de la fleur d'oranger. Comme j'étais très jeune, j'accompagnais ma mère à table. Les plats se succédaient rapidement. Une pastilla d'abord, douce amère, recouverte de sucre glacé et de cannelle étaient servis suivie de poulets aux olives, de tajines d’agneau aux raisins et aux amandes et évidemment un couscous géant portés par deux cerbères. Des raviers de salades diverses colorées et appétissantes étaient disposés harmonieusement sur les tables basses. Nous étions assis sur des coussinets aux couleurs chatoyantes, des poufs en cuir à la lourde odeur de mouton, rouges, verts, noirs et toujours en filigrane, de fins traits d'or; ils mettaient de la gaité dans ce hall que la mosaïque aux dessins géométriques complexes rendait un peu froid. Aux murs, des arabesques fantastiques en plâtre que des artisans minutieux avaient gravées patiemment pendant des mois. Le bois des plafonds aux teintes délicates s'entrecroisait et créait une harmonie du meilleur effet. Des extraits du Coran chantant la gloire et la grandeur d'Allah étaient inscrits en lettres d'or sur les poutres ou incrustés dans le plâtre des murs, savamment intégrés au dessin. Les hommes se servaient les premiers, ils mangeaient à même le plat placé au centre, avec leurs doigts, de manière experte; avec le pouce, l'index et le majeur, ils arrachaient un morceau de poulet ou de mouton enrobé de couscous ou de riz, le faisant rouler entre leurs doigts et l'avalaient d’un geste preste et précis. Une fois repus, les hommes passaient le plat aux femmes qui se servaient à leur tour et la même opération se répétait jusqu'aux derniers serviteurs. Après les salades et le méchoui croustillant, un mouton entier qu'on avait grillé en notre honneur, puis les poulets aux citrons confits on passait aux desserts puis au thé à la menthe. C'était toute une cérémonie. Les tables étaient rapidement débarrassées. Des gâteaux de toutes sortes s'amoncelaient sur les tables, gâteaux au miel, loukoums, nougats et autres mignardises frivoles. Les hommes s'entretenaient à mi-voix mystérieusement. De temps en temps, s'échappaient de grands éclats de rire et la conversation reprenait. Je regardais, fasciné, subjugué par tout ce spectacle. Nous vivions côte à côte, dans des mondes bien différents, étrangers dans un même pays, dans une même ville, dans une même rue. Il y avait bien sûr entre nous des affinités, une manière bien orientale de voir les choses, de les ressentir. Mais nous n'étions pas vraiment Marocains. Nous le sommes devenus bien plus tard, dans d'autres pays, sous d'autres cieux. Ailleurs, nous avons dû assumer une identité qui n'avait jamais vraiment été la nôtre. Là -bas, nous étions des Juifs marocains ». Disséminées, diasporisés à travers le monde nous sommes devenus à notre corps défendant parfois des Marocains Juifs », des Sépharades». Une jeune fille, les jambes entrecroisées, effeuillait de la menthe. Une bouilloire en argent crachait un large bouquet de fumée; elle fit danser quelques instants l'eau bouillante dans la théière pour la rincer, puis la rejeta dans une cuvette à proximité. Une grande sérénité régnait dans la salle. Quelques-uns, parmi les hommes, fumaient le narguilé; seuls les rires étouffés des femmes troublaient le calme du moment. Ma mère animait la table des femmes et amusait tout le monde. Comme je ne comprenais qu'à moitié, je ne riais qu'à demi. Les musulmans, qui se targuent d'être hautement civilisés, mettent à contribution tous leurs sens dans leur action de manger ou de boire. Toucher, écouter, voir, sentir, goûter est donc important et ils le font le plus souvent, à chaque occasion ! Une musique lancinante et douce venant de nulle part et de partout à la fois se mêlait à celle d'un jet d'eau. Au milieu des orangers, des jasmins et des fleurs exotiques le soleil filtrait à travers la verrière. D'un grand geste large, la jeune servante versait le thé dans un verre, le reversait dans la théière deux ou trois fois afin que le mélange des ingrédients s’accomplisse, avant de nous tendre le verre fumant avec un col blanc de mousse. On dit alors qu'il porte le turban. Un parfum de menthe fraîche se répandait à travers la maison, le patio, le jardin et c'était bon. Bien des années plus tard, lors d'un voyage au Maroc, j'ai retrouvé chez ces notables cette hospitalité qui existe naturellement dans le pays, chez les plus nantis comme chez les plus humbles et les plus démunis. Lorsque ma mère invita à son tour le Khalife, ce fut tout un événement! Pendant près de trois jours, une grande activité régna dans notre petit appartement. Comme j'aimais l'air de fête et l'atmosphère qui flottaient dans la maison à ce moment-là ! MmeChocron, MmeDahan, MmeAmzallag venaient aider. La protection du Khalife était importante pour tous ! Pendant que l'une nettoyait les amandes, l'autre hachait la chair blanche et moelleuse des noix de coco. Ma mère semblait se multiplier, elle était partout à la fois, omniprésente et efficace. Ici les tomates et les piments pour la salade cuite, là , le caviar d'aubergines à l'ail, le rôti, les poulets, les boulettes de viande aux oignons et aux raisins secs ! Il y en avait pour tous les goûts, notre cuisine judeo-marocaine cependant très différente de celle des musulmans. — Non ! Vous ne pouvez pas vous mettre à table, nous avait-elle dit, vous allez vous moquer du nez du Khalife et Dieu sait dans quel pétrin vous allez me mettre ! À force de plaider et de supplier, et de promettre que nous nous tiendrons bien, elle avait fini par accepter notre présence sous condition. -À neuf heures, tout le monde au lit ! Nous avions juré sur la vie-du-Bon-Dieu, sur la vie-de- Michel et tout et tout, et pendant que les derniers préparatifs avaient lieu, nous commencions les nôtres. Notre beau pyjama à rayures en flanelle utilisé pendant les fêtes de Pâques ou éventuellement le Shabbat nous dormions d'ordinaire avec nos slips “Polichinelle” dont ma mère réparait régulièrement l'élastique rompu en l'enfilant à nouveau avec une épingle à nourrice, de l'eau sur nos cheveux qui dégoulinait sur le front et sur les tempes, nos petites pantoufles à carreaux de chez Bata, nous étions fins prêts. Le Khalife est arrivé en grande pompe, accompagné de ses gardes du corps. Il fit de grands gestes, embrassa mon père, homme humble et timide, puis ma mère qui avait les joues toutes roses d'excitation et aussi sans doute d'avoir passé la journée à la cuisine. Il nous secoua les cheveux et, tant pis pour lui, se mouilla les mains au passage. Il avait les épaules et la tête au-dessus de tout le monde, le géant, et son nez proéminent était effectivement quelque chose à voir ! Mais nous avions promis et malgré notre envie de fou rire, nous nous sommes bien tenus!!! Les plats se succédaient rapidement, une belle animation régnait. - Jid chouia, ajoutez, je vous en prie! - Allez, encore un peu! De temps en temps, mon père racontait une histoire drôle qui faisait s’esclaffer tout le monde. Exceptionnellement, nous nous tenions sagement, à cause peut-être du colosse qui nous faisait peur. Il avait dit à ma mère très fière - Tbarkelah, MmeAbitbol, vous avez des enfants magnifiques ! Malgré cela, vers neuf heures, elle tapa des doigts comme une Marquise et nous dit d'une voix très comme ça» -Allons les enfants, au dodo ! Au dodo ! D'ordinaire, nous étions traités à la pantoufle; ma mère nous administrait quelques bons coups avec, histoire de faire circuler le sang, disait-elle, théorie que je n'ai jamais pu vérifier. Comme il fallait jouer le jeu, sous peine de représailles ultérieures, nous avons embrassé tout le monde gentiment, y compris le Khalife et son gros nez. Notre maison était si petite que seul un minuscule couloir séparait notre chambre de celle où avait lieu le fastueux» dîner, de sorte que nous pouvions tout entendre. Les histoires devenaient plus grivoises, l'atmosphère s'était détendue, Son Excellence le Khalife passait une bonne soirée. Ma mère ravie, enfin rassurée et débarrassée des enfants, fît servir le thé et le café. Sur la table, des assiettes pleines à craquer de macarons, de cocos, de noisettes au chocolat bien disposés sur des napperons de fine dentelle en papier. Dans le sucrier en argent qui ne servait que pour les fêtes ou les soirées exceptionnelles comme celle-ci, il y avait une pincette également finement ciselée en argent. Ma mère rassérénée et finalement décontractée prenant délicatement cette pincette entre ses doigts et, voulant servir le grand homme, lui demanda en le fixant droit dans les yeux — Excusez-moi, monsieur le Khalife, combien de sucres dans votre nez ? ©Bob Oré Abitbol boboreint Aufur et à mesure que de nouveaux poils de bébé poussent sur votre cuir chevelu, ils aiment normalement voler de la tête dans toutes sortes de directions – et la plupart du temps, vous finissez par ressembler à un professeur fou qui vient d’être électrocuté. Si vous êtes le genre de personne qui lutte avec ces poils rebelles mais que vous ne pouvez plus les supporter, alors Règles du forum Ce forum est dédié aux discussions sur les objets de second-œuvre n'ayant pas de forum dédié. Tout autre sujet sera déplacé ou supprimé. coco80 Messages 135 Inscription lun. 21 mars 2011 0759 Type de projet Aucun architecte Petite entreprise générale locale EG/Architecte Espace CIM SA Date estimée de remise des clés 20 août 2010 Description du projet Maison Eco-performance ossature bois de l'EG Espace-CIM très satisfaisante sur une parcelle individuelle, canton de Fribourg. Début du chantier, remise des clé Type d'utilisateur Particulier temps de séchage du goudron ? Ils viennent de finir de mettre le goudron devant chez nous mais les ouvriers sont partis tellement vite que je n'ai pas pu leur demander combien de temps il fallait attendre avant de pouvoir y parquer ma voiture en sachant que les température d'aujourd'hui vont etre de 25°environ ? pepone1er Messages 108 Inscription sam. 19 mars 2011 1702 Lieu du projet Courtepin Type de projet Aucun EG/Architecte PEC, Courtepin Date estimée de remise des clés 01 septembre 2011 Description du projet Maison familiale de 180 m2 sur 3 niveaux avec couvert à voiture double. PAC air/eau Localisation Courtepin, Fribourg Re temps de séchage du goudron ? Messagepar pepone1er » ven. 27 avr. 2012 1129 on avait reçu l'interdiction de rouler dessus les premières 24h... black Messages 9 Inscription mar. 6 mars 2012 1750 Pays Suisse Type de projet Construction Type d'utilisateur Particulier Re temps de séchage du goudron ? Messagepar black » ven. 27 avr. 2012 1134 Effectivement, il ne faut pas rouler avec un véhicule dessus les premières 24 heures. Après c'est OK. Salutations. coco80 Messages 135 Inscription lun. 21 mars 2011 0759 Type de projet Aucun architecte Petite entreprise générale locale EG/Architecte Espace CIM SA Date estimée de remise des clés 20 août 2010 Description du projet Maison Eco-performance ossature bois de l'EG Espace-CIM très satisfaisante sur une parcelle individuelle, canton de Fribourg. Début du chantier, remise des clé Type d'utilisateur Particulier Re temps de séchage du goudron ? Messagepar coco80 » ven. 27 avr. 2012 1136 ok merci pour vos réponses ! Revenir à Second-œuvre, aménagement intérieur » Aller A propos... ↳ A propos du forum ↳ A propos de Buildigo Infos générales sur la construction ↳ Faire construire par où commencer ? ↳ Rénover, transformer par où commencer ? ↳ Administratif et financement ↳ Frais annexes ↳ Terrain ↳ Matériaux et aménagements ↳ Gros-œuvre ↳ Second-œuvre, aménagement intérieur ↳ Cuisine ↳ Installation sanitaire Salle de bains et buanderie, tuyauterie, électroménager, etc... ↳ Electricité, éclairage ↳ Aménagements extérieurs ↳ Décoration, ameublement ↳ Electronique, informatique et domotique ↳ Chauffage et énergie Vos projets ↳ Projets individuels - Description, réflexion ↳ Projets collectifs - PPE, travaux groupés ↳ Couacs et autres bévues ↳ Plans de maisons La place publique ↳ Présentation ↳ Le bistrot ↳ Evénements, salons, portes ouvertes, bonnes affaires Qui est en ligne ? Utilisateurs parcourant ce forum Aucun utilisateur inscrit et 2 invités