SOUTENEZEcole Française de Sorcellerie de Tu-Sais-Qui,SAUVEZ LES #Liensde1èreNécessité ! Je donne Vous aimez notre organisme ? Aidez-nous Activité Projet porté participer à toute activité liée ou concernant le monde magique littéraire ou filmographique tel que l'organisation et l'encadrement de cours et stages pour la fabrication de costumes à thème, décors , scénographies, structures de grande taille, tout type d'accessoires vestimentaires et décoratifs ; Créer et organiser des projets, des d'évènements, conventions, matchs de Quidditch nationaux et internationaux ; Participer à des évènements organisés par d'autres associations liés au monde magique littéraire et filmographique en France et à l'étranger ; Organiser des voyages ayant comme but la visite de lieux d'expositions, concerts, musées, Conventions, Festivals en France et à l'étranger liés au monde magique littéraire et filmographique ; Ce projet s'inscrit de manière plus générale dans le thème domaines divers, domaines de nomenclature SITADELE à reclasser - Les associations de ce domaine dans le département Commune Évry 91000 Historique Les évènements marquants de l'association 12/09/2019 - Création de l'association 28/09/2019 - Publication JO de l'avis de création de l'association 30/09/2020 - Dernière déclaration en date de l'association 01/04/2021 - Dernière mise à jour de l'association Administration Identifiants Numéro RNA L'identifiant dans le Répertoire National des Associations RNA W912013865 Le numéro RNA identifie l'association dans le répertoire waldec et dans le Répertoire National des Associations RNA, ce répertoire recense les associations en remplacement du waldec depuis 2010 et ce numéro permet d'effectuer les différentes démarches administratives de l'association. Forme Code du site gestionnaire de l'association Préfecture ou Sous-préfecture 912P Nature de l'association Simplement Declarée D Groupement Simple, Union, Fédération Simple S Observation du waldec Aucune Position Active, Dissoute, Supprimée Active A Publication sur le web Non 0 Site web déclaré au waldec Aucun RAPPORTDE SOLVABILITÉ. Consultez dans notre rapport de solvabilité toutes les informations légales et financières disponibles à ce jour sur l'entreprise ECOLE FRANCAISE DE SORCELLERIE DE TU-SAIS-QUI.Dans ce document, vous trouverez les renseignements juridiques et légaux de l'entreprise, ainsi que ses informations de localisation avec l'adresse du siège Entreprises ECOLE FRANCAISE DE SORCELLERIE DE TU-SAIS-QUI Informations Générales Dénomination ECOLE FRANCAISE DE SORCELLERIE DE TU-SAIS-QUI SIREN 878 979 426 SIRET 878 979 426 00011 D-U-N-S Number Obtenir le D-U-N-S TVA intracommunautaire FR80878979426 Code NAF 9499Z Autres organisations fonctionnant par adhésion volontaire Forme juridique Association déclarée Date de création de l'entreprise 12/09/2019 Date de création siège actuel 12/09/2019 En détail Créée en septembre 2019, la société ECOLE FRANCAISE DE SORCELLERIE DE TU-SAIS-QUI est une entreprise très récente. Cette entreprise est de type Association à EVRY-COURCOURONNES département Essonne, son siège est immatriculé avec le code NAF 9499Z correspondant au secteur d'activité Autres organisations fonctionnant par adhésion bilan de l'entreprise ECOLE FRANCAISE DE SORCELLERIE DE TU-SAIS-QUI n'est pas la société ECOLE FRANCAISE DE SORCELLERIE DE TU-SAIS-QUI, on compte 436102 concurrents sur toute la France, 5331 au niveau départemental département Essonne. Son contexte concurrentiel est donc très important. Chiffres clés solvabilité et bilans de ECOLE FRANCAISE DE SORCELLERIE DE TU-SAIS-QUI Cette entreprise ne publie pas son bilanou a décidé de le garder confidentiel Entreprises du même secteur dans le département Essonne 91 Derniers articles publiés sur notre blog ilsuffit de partager plus d’humanité, d’amour, d’amitié. Change le monde. et Dieu fasse qu’un jour. les feux de l’amour. nous laissent entrer dans la ronde. autour de la planète formons une chaîne aussi serrée. que rien ne puisse jamais la briser. Toi qui serres la main de tous ceux qui sont puissants en ce monde. Les versets du Coran qui commandent de tuer [Réponse aux extrémistes et aux Islamophobes] Par le Mufti Siraj Desai Question J’ai récemment participé à une discussion religieuse au travail avec un de mes collègues Chrétiens et il m’a demandé de lui expliquer un verset du Coran avec lequel il semblait avoir un problème. Il s’agit des versets 89-90 de la 4ème Sourate, dans lesquels Allâh ordonne aux musulmans à deux occasions différentes de tuer les non-croyants. Je lui ai dit que comme je n’étais pas un expert dans l’explication du Coran, j’allais me renseigner auprès de mes respectés Savants et que je reviendrai ensuite vers lui au sujet de ces versets. S’il vous plait, le Mufti Saheb peut-il m’expliquer et me donner un commentaire tafsir détaillé de ces versets afin que je puisse répondre à mon collègue non-Musulman de la manière la plus correcte? Pouvez-vous s’il vous plaît me donner aussi d’autres versets du Coran dans lesquels Allâh ordonne que les non-croyants soient bien traités? Réponse A Explication des versets 89 et 90 de Sourate 4 An-Nisaa Commençons par une traduction littérale de ces versets Ils voudraient qu’à leur instar vous sombriez dans la mécréance afin que vous en soyez au même point sawâ’ qu’eux. Ne les prenez pas pour alliés tant qu’ils n’auront pas émigré pour la cause de Dieu et s’ils se détournent, emparez-vous d’eux et tuez-les où que vous les trouviez. Et ne les prenez ni pour alliés ni pour partisans ! » [tuez-les où que vous les trouviez] à l’exception de ceux qui visitent une tribu qawn à laquelle vous êtes liés par un traité ou de ceux qui viennent vous trouver le cœur serré à l’idée de vous combattre ou de combattre leur tribu ; si Dieu l’avait voulu, Il les aurait rendus maîtres de vous et ils vous auraient combattus. Aussi, s’ils vous évitent, ne vous combattent pas et vous offrent leur soumission, Dieu ne vous permet pas de leur témoigner de l’hostilité. » A partir de cette traduction littérale et d’une lecture réfléchie des versets cités ci-dessus, il apparait clairement que l’ordre de tuer est contraint et conditionné à certaines circonstances particulières. Normalement, les versets du Coran doivent être compris dans un certain contexte. Lu hors de ce contexte, le sens est alors faussé. Les Chrétiens ainsi que d’autres antagonistes de l’Islam interprètent le Coran de manière erronée et déformée, car ils ignorent le contexte des versets et ils le font soit par négligence pure, soit par dissimulation délibérée. Par contexte, nous entendons le sens commun dérivé d’un groupe de versets. Au lieu de prendre un verset et de le citer hors contexte, la procédure correcte consiste à examiner les versets se trouvant avant et après dans le but d’obtenir une signification correcte de ce que dit réellement le Coran. En second lieu, pour comprendre certains versets complexes, il est nécessaire que le lecteur recoure à des commentaires officiels et authentiques du Coran. Nos amis non-Musulmans doivent aussi réaliser que le Saint Coran contient des principes fondamentaux et généraux sur la façon de gouverner, le culte, les transactions et ainsi de suite. Mais les détails sont fournis par les hadiths du Prophète Muhammad ﷺ. La raison de cette diversification est de veiller à ce que la nation Musulmane ne se limite pas au Saint Coran pour être guidée, mais intègre également les Hadith ou traditions du Prophète. Ainsi, le Prophète Muhammad devient une figure de proue majeure dans l’Islam et une personnalité qui doit être vénérée. La parole du Prophète Muhammad ses Traditions [Hadith] a été tenue à l’écart et séparée de la Parole de Dieu Le Coran afin de mettre en évidence la grande différence entre la Parole Pure de Dieu et la parole de l’homme, contrairement à la Bible qui contient un mélange de la Parole de Dieu et de la parole de l’Homme. Finalement, il devient difficile de faire la différence. Le système Islamique a protégé les Musulmans afin qu’ils ne tombent pas dans le même piège. Dans les versets se trouvant ci-dessus, il y a plusieurs indicateurs qui montrent clairement le contexte et l’application du sens transmis. L’explication qui suit va éclairer ce fait 1. Ces versets ont été révélés à Médine, après que le Messager d’Allâh ait posé les fondations du nouvel Etat Musulman. C’est dans le contexte de ce jeune État Islamique NDT ici on parle d’un vrai Etat et non d’un groupuscule de barbares sanguinaires ayant usurpé cette appellation que les versets ci-dessus ont été révélés. Par conséquent, le premier principe qui apparait est que ces versets sont adressés à l’Etat Islamique et non à des Musulmans individuels. Toute personne intelligente comprendra que le pouvoir donné à un Etat ou à l’administration est beaucoup plus ferme, global et étendu que celui dont jouit un individu. Cependant, même dans ces règles, l’Etat Islamique n’a pas reçu carte blanche pour tuer les non-croyants selon ses quatre volontés, comme cela sera ensuite expliqué. 2. La partie tant qu’ils n’auront pas émigré pour la cause de Dieu » nous donne une autre indication de l’application de ce verset. Le verset ne peut pas se référer à des non-Musulmans car la migration dans le sentier d’Allâh n’est pas un acte que peuvent faire les mécréants ou les non-Musulmans. Nulle part dans le Saint Coran il est demandé aux non-Musulmans d’émigrer ou de quitter leur ville natale pour le bien de l’Islam. Il est donc évident que tant qu’ils n’auront pas émigré pour la cause de Dieu » fait référence à des gens qui prétendent être Musulmans. Ceci fait référence aux hypocrites, c’est-à-dire les gens qui proclamaient extérieurement être Musulmans, mais qui intérieurement ne l’étaient pas. Ils étaient parmi la communauté Musulmane des imposteurs et des espions, présents pour semer la zizanie et créer des conflits. Ces traîtres se sont également rendus coupables d’inciter d’autres communautés et nations à attaquer les Musulmans, comme cela mentionné dans plusieurs livres d’histoire. Le verset avant celui-ci, qui est le verset 88 stipule clairement Qu’avez-vous donc à vous scinder en deux partis au sujet des hypocrites …….? » Le contexte de cette section du chapitre nous montre clairement que le verset 89 fait référence aux hypocrites et non pas aux non-croyants comme les Juifs, les Chrétiens ou Arabes païens. 3. Le verset 89 dit et s’ils se détournent, emparez-vous d’eux … » Cette instruction signifie que si ces hypocrites, après avoir embrassé la foi Islamique, renoncent à la Religion et se rebellent contre la communauté Musulmane, alors ils doivent être saisis, c’est-à-dire arrêtés, puis tués. Mais la mise à mort ne prend pas la forme d’une exécution sommaire. Les commentaires stipulent qu’ils seront arrêtés, jugés, et [seulement] si reconnus coupables, exécutés. Ils seront exécutés car ils auront commis le péché impardonnable de trahison, qui, dans tout Gouvernement ou Pays est un crime grave puni de mort. Cette loi s’applique à l’Etat Musulman et n’est pas une autorisation faite à tout Musulman d’aller tuer librement les non-Musulmans. Certains pourraient argumenter que ces détails ne sont pas mentionnés dans le Coran et que par conséquent les Musulmans qui lisent le Coran pourraient être induits en erreur et croire que toute personne peut aller tuer tout non-Musulman qui renonce à sa religion. Eh bien, il doit être bien entendu que ces détails sont donnés aux communautés Musulmanes à travers différents moyens tels que les madrassas écoles religieuses, les plates-formes de questions/réponses, les conférences publiques, les brochures, les écrits, et les bulletins d’informations publiés de manière régulière. Les Musulmans sont donc bien au courant des règles qui s’appliquent et c’est la raison pour laquelle vous ne trouverez pas de Musulmans recourant à de telles méthodes malgré plusieurs incidents connus de prétendus Musulmans se détournant de l’Islam. 4. Les mots où que vous les trouviez » doivent être pris conjointement avec les deux phrases citées avant, à savoir emparez-vous d’eux et tuez-les ». Cela signifie que les auteurs de la trahison doivent être pourchassés et capturés partout où ils se cachent, et que la peine de mort doit être prononcée. Il s’agit d’une injonction dédiée au gouvernement compétent et à l’application des lois. N’importe quel gouvernement devra avoir la capacité et l’expertise permettant de traquer les grands criminels au sein de ses structures. Une administration qui n’est pas en mesure d’atteindre cet objectif devient la risée de tout un chacun. 5. Le verset 90 est un autre indicateur clair de la justice et de l’équité défendues par l’Islam et réfute la notion que les Non-musulmans ont faussement déduits du verset précédent, selon laquelle les Musulmans ont pour ordre de tuer les non-croyants où qu’ils se trouvent. Dans ce verset, il est demandé au Gouvernement Musulman de suivre les directives suivantes a honorer ses traités, pactes et engagements pris avec les autres nations. b Respecter également les amis de ceux avec qui un pacte ou un traité existe. c Même les renégats et les traîtres doivent être épargnés et honorés s’ils sont liés d’amitié avec une nation qui a un pacte avec les Musulmans. d Ne pas combattre ou tuer ceux qui viennent à eux avec des intentions pacifiques et offrent leur amitié. e Il est interdit aux Musulmans de combattre les gens qui proposent une trêve. f On ne recourt au combat que quand il y a un acte de violence ou d’agression venant de l’autre partie. Les susdits éléments font partie de la justice Divine qui est réellement profonde en Islam. Sur cette base, les critiques adressées à l’Islam par ses antagonistes sont totalement abusives, injustifiées, et découlent de l’ignorance de la véritable signification du Saint Coran. 6. Dans le verset qui suit 91, une autre règle claire est mentionnée S’ils ne vous évitent pas, s’ils ne vous offrent pas leur soumission et ne cessent de vous combattre, emparez-vous d’eux et tuez-les où que vous les trouviez ». Ce commandement confirme ce qui est rapporté ci-dessus, à savoir que même pour les hypocrites et les renégats la paix est garantie à condition qu’ils s’abstiennent de l’agression et de la violence. Encore une fois, c’est le mandat accordé à un Etat, dont le devoir est de maintenir l’ordre public et de protéger les droits des personnes. B Voici quelques-uns des Versets du Saint Coran commandant le bon traitement envers les non-croyants 1. Supporte avec patience les propos des infidèles et au moment de les quitter, prends soin de ménager leurs susceptibilités ! » [Sourate 73, verset 10] 2. … fais donc preuve d’une noble indulgence » [Sourate 15, verset 85] 3. Ne discutez avec les gens du Livre Juifs et Chrétiens que de la manière la plus courtoise » [Sourate 29, verset 46] 4. Appelle à la Voie de ton Seigneur avec sagesse et par de persuasives exhortations. Sois modéré dans ta discussion avec eux » [Sourate 16, verset 125] 5. Sois bon envers les autres comme Dieu l’a été envers toi ! Ne favorise pas la corruption sur la Terre » [Sourate 28, verset 77] 6. Ne prends pas un air arrogant en abordant tes semblables et ne marche pas sur terre avec insolence car Dieu n’aime pas les vaniteux insolents » [Sourate 31, verset 18] 7. Dieu ne vous défend pas d’être bons et équitables envers ceux qui ne vous attaquent pas à cause de votre religion et qui ne vous expulsent pas de vos foyers. Dieu aime ceux qui sont équitables » [Sourate 60, verset 8] 8. Et s’ils les païens renoncent à vous combattre, alors ne leur témoignez plus d’hostilité, sauf contre ceux qui ont un comportement inique » [Sourate 2, verset 193] 9. Et s’ils les ennemis sont enclins à la paix, accède à leur requête » [Sourate 8, verset 61] 10. Et si l’un des non-croyants demande ta protection accorde-la afin qu’il écoute la parole de Dieu puis fais-le reconduire en lieu sûr » [Sourate 9, verset 6] Il ne s’agit là que d’un petit échantillon des nombreux versets qui expliquent les relations cordiales à tenir envers les non-croyants, qu’ils soient épris d’amour et de paix ou bien qu’ils fassent preuve d’hostilité. Le Messager d’Allâh ﷺ a dit Le véritable croyant, c’est celui dont l’humanité n’a à craindre ni la langue, ni la main » [Hadith authentique rapporté par an-Nasa’ï] Mufti Desai Siraj © Traduit avec l’autorisation du Darul-Ouloum Aboubakar, Malabar, Port Elizabeth, Afrique du Sud En lien avec cet article Fatwa contre le terrorisme, par le Darul Uloom de Deoband Le Djihad, les attentats suicides, les droits des femmes par Al-Habib Al-Jifri Le statut de la tolérance en Islam – Par le Mufti d’Egypte Sheykh Ali Goma’a Le Coran nous demande t-il de détester les mécréants – Sheykh Faraz Rabbani Message de Sheykh Faraz Rabbani après les attentats de Paris Déclaration de Sheykh Rajab Deeb suite aux attentats de Paris Voir également les deux vidéos suivantes Tuer les mécréants au nom de l’Islam? Sheykh Saqib Shaami Ô Messager d’Allâh qu’est ce qu’un vrai Musulman? Sheykh Ahmad Dabbagh Quepenser de leurs représentations dans les fictions contemporaines (série Vikings, saga Harry Potter, etc.), les jeux de société ou sur les réseaux sociaux ? · Axiologie de l’ésotérisme, magie, sorcellerie : comment lire et comprendre des pratiques magiques à la fois fascinantes et transgressives, qui menacent sans cesse de
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ECOLEFRANÇAISE DE SORCELLERIE DE TU-SAIS-QUI. 11 Villa du Parc 91080 Évry-Courcouronnes . ECOLE FRANÇAISE DE SORCELLERIE DE TU-SAIS-QUI: Costumes, Décors, France, quidditch . Voir Tél SONIC BROOMS QUIDDITCH. 92 c Rue de l'Essonne 91000 Évry-Courcouronnes. SONIC BROOMS QUIDDITCH: quidditch . Voir. Partager Pin it Tweet Imprimer

1Propos On parle peu des sorciers chez les Bobo, ils n’apparaissent pas au premier plan des préoccupations et il ne semble pas qu’il s’agisse là d’une simple attitude avec beaucoup d’assurance, on prétend en effet que les périls de la sorcellerie s’ils ont été réels dans le passé, sont jugulés aujourd’hui grâce à l’efficacité des moyens qui ont été mis en œuvre. Il reste que la contre-sorcellerie, toute triomphante qu’elle soit, est maintenue en activité. On essaiera ici de préciser ce qu’est le personnage du sorcier chez les Bobo et, après quelques réflexions sur le sens de cette contre-sorcellerie qui survit à ses incessantes victoires, on décrira les moyens employés pour détecter et détruire les sorciers. 2Chez les Bobo, les sorciers tuent leurs victimes en les empoisonnant. La contre-sorcellerie est extrêmement agissante, elle s’appuie aujourd’hui sur des cultes répandus dans tout le pays. Autrefois, on détectait les sorciers par un interrogatoire du cadavre ». Par la suite, se sont développés les cultes d’esprits particuliers, duba et surtout vyetôgo, qui dénoncent les sorciers par le procédé de la possession et provoquent leur mort. 3Les Bobo sont maîtres en l’art des poisons. Chaque clan et souvent même chacun des lignages composant ce clan, conserve comme son bien personnel une recette originale qui comprend aussi bien la formule d’un poison que celle de son antidote. Ces poisons servent à enduire flèches et lances, ils sont essentiellement employés dans la chasse et dans la guerre. Mais, la science acquise par les Bobo en matière de substances vénéneuses ne s’est pas limitée à ces usages en quelque sorte licites, elle a été détournée, très tôt sans doute, vers des fins purement criminelles. 4Le poison est chez les Bobo le moyen le plus fréquemment utilisé pour attenter à la vie d’autrui. L’homme qui est décidé à tuer élabore en secret un poison mortel, très différent des poisons violents qu’emploie son lignage pour la chasse et qui provoquent une paralysie foudroyante. Le criminel doit en effet disposer d’un poison à effets lents, capable d’altérer insidieusement la santé de sa victime, ce qui permet de différer le moment de la mort et d’égarer les soupçons. 5Sans doute, dans bon nombre de cas, le crime restera occasionnel une fois sa vengeance accomplie et sa haine tarie, le coupable ne récidive pas. Dans l’esprit des Bobo cependant, il est fermement établi qu’existe une catégorie d’individus infiniment plus redoutables, qui emploient le poison de façon répétée, poussés par une sorte de passion pour le mal. On prête à ces individus certains pouvoirs surnaturels ils pratiqueraient le culte d’esprits vindicatifs, manieraient des forces maléfiques et emprunteraient leurs techniques à la magie usant de charmes et jetant des sorts ; mais ce qui reste, de l’avis de tous, constant et caractéristique, c’est l’emploi bien réel qu’ils font du poison pour tuer leurs victimes. Ce sont par-dessus tout des maîtres du poison » et c’est par ces termes exactement qu’on les désigne en bobo kyente de kyen poison » et te propriétaire, maître de » en dialecte syêkôma des régions du centre ou kyonosô en dialecte syakôma de la région de Bobo Dioulasso. 6Peut-on parler de sorcellerie à propos des pratiques du kyente bobo ? Il faut rappeler, au préalable, qu’en français nous ne disposons que du seul terme de sorcellerie » pour désigner un phénomène exceptionnellement complexe et qui recouvre des types d’agissements et de croyances fort différents, voire même opposés. Les Anglo-Saxons, grâce à deux termes, sorcery et witchcraft, opèrent, quant à eux, une distinction qui s’est révélée pertinente dans de nombreuses ethnies Evans-Pritchard 1972; Middleton et Winter 1963 et qui semble bien rendre compte aussi des faits particuliers aux Bobo. Le sorcerer qui reste par certains côtés encore proche du magicien n’est pas le dépositaire d’un don héréditaire, il agit volontairement et avec une pleine conscience de ce qu’il fait, suivant en cela un but personnel et conforme à son intérêt, mais surtout il opère à l’aide d’une technique qui fait appel à des moyens matériels. Le witch au contraire possède un pouvoir inné, il agit involontairement et reste inconscient de son état, faisant le mal pour le mal sans en tirer de bénéfice personnel. Le witch, enfin, n’opère que sur un plan psychique et souvent à distance avec des moyens spirituels d’ordre surnaturel. Sorcery et witchcraft, que l’on a rassemblés sous le terme de wizardry, Middleton, op. cit. s’opposent à magie, notamment en ce qu’elles sont toutes deux uniquement orientées vers le mal. 7Le witch, être nocturne coureur de sabbats, monstre psychique capable de se dédoubler et d’agir non pas d’ailleurs sur les corps directement, mais sur les principes spirituels qui composent la personne, mangeur d’âmes ou vampire, ce sorcier au sens le plus fort du mot, rien n’indique qu’il ait une existence dans la pensée bobo. Celui qu’on redoute exclusivement c’est l’empoisonneur », le kyente, et son portrait correspond bien à la description du sorcerer. Le kyente un homme très généralement n’a rien dans son apparence physique qui attire l’attention. Si, comme nous l’avons dit, on le soupçonne d’employer quelques moyens magiques et de vouer un culte à des puissances maléfiques, c’est toujours à un moyen matériel, au poison, qu’il fait appel pour donner la mort. Animé par une froide volonté de détruire, c’est en pleine lucidité que le kyente agit, préparant longuement la mixture mortelle qu’il administrera avec une sournoise habileté, épiant le lent travail du poison et l’irréversible cheminement du mal. 8Les Bobo disent généralement que le kyente choisit ses victimes dans le but de satisfaire un ressentiment, ou pour remplir quelque dessein personnel inavouable, mais on prétend aussi qu’il cède bientôt à la sombre délectation de tuer et n’agit plus dès lors que gratuitement. 9On sait, après les nombreuses études qui lui ont été consacrées, que le phénomène de la sorcellerie aussi bien sorcery que witchcraft est révélateur de certaines réalités psychologiques et sociales généralement dissimulées ; on sait que la sorcellerie est liée à des situations de conflit et qu’elle reflète les contradictions du système social. Aussi les conduites du sorcier, réelles ou imaginaires, apparaissent-elles comme chargées de sens et propres à fournir d’utiles enseignements sur les problèmes spécifiques des individus ou du groupe concerné. 10Chez les Bobo, le kyente semble bien n’avoir jamais exercé ses méfaits de façon exclusive à l’intérieur de son lignage, bien plutôt c’est au niveau de la communauté villageoise multi-lignagère qu’il aurait le plus souvent opéré. Cela prend tout son sens si l’on tient compte du fait que la société bobo se caractérise par la volonté de réaliser des communautés villageoises aussi fortement intégrées que possible, ce qui suppose l’édification d’équilibres délicats fondés sur des échanges et sur des dosages entre droits et devoirs, entraînant de subtiles tractations et ouvrant le champ à des menées souterraines et à des formes de pression qui sont dans la ligne directe de la sorcellerie. Également significatif sans doute est le fait que cette même société bobo n’a pas incarné le mal sous la forme du witch, si riche en fantasmes, mais qu’elle a produit le sorcier-empoisonneur calculateur, froid et lucide. 11Tout porte à croire que les actes du kyente n’étaient pas, ainsi que feignent de le croire les Bobo, parfaitement gratuits ou même seulement limités à la satisfaction de basses vengeances privées. La sorcellerie est un instrument d’action, plus souvent d’ailleurs au service du pouvoir et, paradoxalement, des règles établies qu’à celui de la contestation Augé 1974. 12Parlant du kyente bobo, nous devrions donc être en mesure de dire quelle est sa fonction sociale, quels sont le sens, le but et le résultat de ses actions. Cela ne nous est pourtant guère possible en raison d’une difficulté majeure il n’y a plus de sorciers en pays bobo ! 13On affirme en effet de toutes parts qu’après avoir été pourchassés activement, par les moyens que nous décrirons, les sorciers sont désormais pratiquement éliminés. On remarquera en passant qu’une telle conviction, lorsqu’elle se propage, peut bien se révéler la plus efficace de toutes les armes dans un domaine où tout procède de 1’imaginaire la croyance en la sorcellerie perd toute assise, dès lors qu’on n’adhère plus aux fantasmes dont elle est la somme. 14Les choses pourtant ne sont pas si simples. La contre-sorcellerie est triomphante… mais on constate que partout elle est maintenue en activité, ce qui laisse penser qu’elle a encore quelques raisons d’être. Sans doute apparaît-il que la contre-sorcellerie, de curative qu’elle fut par la mise à mort effective d’innombrables sorciers, est devenue préventive elle dénonce le plus souvent aujourd’hui des intentions, des projets d’actes de sorcellerie et prétend ainsi s’opposer à leur aboutissement. Il n’en reste pas moins que les sorciers n’en finissent pas d’être vaincus et que les Bobo ne cessent pas de courir à leurs trousses ; à tout prendre, se consacrer aussi assidûment à la contre-sorcellerie quand on proclame avoir chassé tous les sorciers, n’est-ce pas un peu comme si l’on parlait par prétérition, comme si l’on discourait sans fin sur la sorcellerie après avoir déclaré qu’il n’y avait plus de raisons d’en parler, et n’est-ce pas, en définitive, une façon déguisée d’entretenir une croyance ? 15En soi, le phénomène de la contre-sorcellerie victorieuse a des significations aussi importantes que celui de la sorcellerie agissante, et il est certain que l’étude du premier jetterait bien des lumières sur le second. En l’état de nos connaissances, l’analyse des significations profondes du mouvement de contre-sorcellerie, tel qu’il s’est développé chez les Bobo, n’est malheureusement pas encore à notre portée ; néanmoins, puisqu’il est admis, dans le cadre de la présente publication, de faire état de recherches qui en sont au stade exploratoire, nous réunirons ici les informations que nous possédons sur les divers aspects des pratiques de contre-sorcellerie. 16Dans les temps anciens, la sorcellerie était très répandue et les Bobo ne disposaient pas de moyens vraiment spécifiques pour lutter contre elle, ils ne connaissaient que la coutume de l’interrogatoire du cadavre » en bobo, sasara to dâga, une coutume pratiquée d’ailleurs dans une grande partie de l’Afrique. 17Le sasara to dâga était essentiellement destiné à déterminer les causes, quelles qu’elles fussent, de la mort quand cette dernière apparaissait suspecte. Par cette méthode, il pouvait être révélé que le mort s’était rendu coupable d’une faute grave et qu’il s’agissait donc d’une punition en ce cas, on était aussi informé de l’identité de la puissance spirituelle outragée, ce qui permettait d’organiser les nécessaires rites expiatoires ; mais, par cette méthode, on pouvait aussi découvrir que le mort était la victime d’un sorcier-empoisonneur ce dernier était dénoncé par le cadavre lui-même et il passait spontanément » aux aveux, avant d’être livré à la vindicte publique. 18Les Bobo procédaient de la façon suivante. Le cadavre, attaché sur une civière, était hissé sur la tête de deux hommes. La scène se passait devant la maison-temple du chef de lignage wasa. Un prêtre ou un parent à plaisanterie koronate s’adressait au défunt et lui posait une série de questions précises auxquelles il était censé répondre par une impulsion irrésistible communiquée à ses porteurs et qui les poussait à faire quelques pas en avant réponse affirmative ou en arrière réponse négative. On demandait par exemple au cadavre si ce qui avait causé sa mort venait de la wasa si c’était donc une affaire concernant le lignage ; si c’était une des puissances dont l’autel est dans cette même wasa qui l’avait tué en cas de réponse affirmative on énumérait tous les autels ; on demandait si c’était les ancêtres qui avaient provoqué sa mort et pour quelle raison. Si le cadavre avait toujours poussé ses porteurs en arrière, on en venait alors à la question fatidique était-ce un homme qui était le responsable de sa mort ? Si oui, chaque personne de la famille, puis chaque villageois passait devant le cadavre et posait la question Est-ce moi qui t’ai tué ? » Le coupable était désigné par le mouvement voulu. Dans certaines localités, quand l’interrogatoire avait dévoilé qu’il y avait un crime, le cadavre poussait ses porteurs au long des ruelles jusqu’à la demeure de l’assassin qui était en général tué sur place. 19Cette méthode de recherche des causes de la mort — qui pouvait occasionnellement permettre de découvrir des sorciers empoisonneurs — est restée longtemps employée par les Bobo et par leurs proches parents ethniques Bwa. Chez ces derniers, elle était encore attestée à l’époque, entre 1910 et 1920, où écrivait le docteur Cremer 1927182-188 ; et chez les Bobo, elle est toujours pratiquée en certains cas dans la tribu bakôma région de Kuka. 1 Sogo régente les forces frustes de la nature, il s’identifie à la végétation, à la brousse incultiv ... 20Il semble néanmoins que les Bobo en soient venus à considérer que l’interrogatoire du cadavre n’était pas un moyen assez puissant pour lutter contre les sorciers. Ils s’adressèrent d’abord à certaines des puissances spirituelles majeures qu’ils révéraient et notamment à sogo, divinité de la brousse1. Puis se répandirent les cultes d’esprits particuliers, spécialisés de plus en plus dans la chasse aux sorciers. 21Nous parlerons ici du culte des deux principaux esprits chargés de détecter et de détruire les sorciers-empoisonneurs kyente duba et vyetôgo. Duba 22Le culte de cet esprit est très anciennement implanté en pays bobo et l’on peut dire qu’il est pratiqué dans la totalité des villages. 23Trois variétés de duba sont connues, chacune portant le nom du village où son culte fut inauguré et d’où il se propagea ensuite. Le diriko duba du nom d’un village disparu qui était situé entre Tâguna et Duma occupe toute la partie nord du pays bobo au-dessus d’une ligne qui passe, en les englobant, par les villages de Kuni, Worowe, Tiriko. Le culte intéresse donc dans leur entier les tribus Tinkire, Yebè, Sâkôma, Banakôma. Le mawana duba est très largement majoritaire au centre du pays dans les tribus Kurekôma et Bakôma respectivement, régions de Piriwe-Lêkoro et Bokoroniso-Kuka-Mawana son lieu de naissance. Chez les Syêkôma, il est à Kurumani, Fini, Kokoroba, Zokoema et Badema. Le mawana duba se trouve aussi en quelques points isolés de la zone du diriko duba à Moro, Kèle, Sâwê, Bagâ et, dans la zone du Zôkôma duba, à Sâkoro. Le mawana duba partage enfin assez également avec le zôkôma duba tout le sud du pays bobo tribus Vorè, Syakôma, Bènè et Sogokirè et l’ensemble du pays Bolon. Le zôkôma duba du nom d’un village disparu et de localisation inconnue a son centre principal chez les Syêkôma, on le trouve notamment à Lya, Burawala, Sama, Kibe. Mais, comme nous l’avons dit, il se partage avec le mawana duba les villages bobo du sud et ceux du pays bolon. 2 Sauf dans l’extrême nord du pays où l’autel de duba est à l’intérieur d’un temple. 24L’autel principal de duba est d’une forme très caractéristique et sa présence est si familière dans les villages2 qu’on pourrait presque en faire l’emblème religieux des bobo. 25En fait, il y a toujours deux autels l’un mâle, qui est le principal, et l’autre, femelle. 26Le duba mâle est toujours placé à l’est du village, au voisinage des premières maisons. Cette situation s’explique par le fait que, pour les Bobo, l’ensemble du cosmos est orienté selon un axe qui va de l’est vers l’ouest l’est est un lieu de dangers et une source de désordres, de maléfices ; l’ouest est un havre de paix et de sécurité. Le duba se dresse ainsi à l’est comme une sentinelle qui protégerait le village contre ses ennemis invisibles qui ont nom maladie, stérilité, famine et… sorcellerie. 27Le duba mâle duba sî est une pièce monoxyle constituée par un fût rectiligne, fiché en terre à sa base et dont la partie supérieure se termine par une fourche à trois branches. Entre les branches de cette fourche est calée une poterie cylindrique munie d’un couvercle. La hauteur de la pièce de bois qu’on appelle sele est d’environ 1 m 50, le diamètre du fût 12 à 15 cm. Les fourches et surtout le fût du duba sont ornés de sculptures. Il s’agit principalement de motifs géométriques en relief accusé, dépourvus, semble-t-il, de toute autre valeur que décorative, à l’exception toutefois d’un chanfrein rectangulaire ménagé à la commissure des fourches et qui est le symbole masculin du duba. 28À la base du fût, on trouve les seules représentations animalières, celle du caméléon symbole mâle associée à celle du lézard symbole femelle. 29Le duba femelle est appelé duba na, épouse na de duba ». zôkôma duba est la seule variété de duba dont l’autel femelle soit, comme les autels mâles, constitué par une sele fût à fourche trifide. Dans ce cas, le se le femelle trouve place à l’est aux côtés de son homologue mâle ; il ne porte naturellement que la représentation du lézard. Les deux autres variétés de duba ont leur autel femelle situé à l’ouest du village, dans la zone protégée » ; cet autel est peu visible, se présentant sous la forme soit d’un petit cône de pisé diriko duba, soit d’un amas de cailloux mawana duba. 3 L’autel duba na ne contient que les résidus matériels de ces principes. Ils sont déposés après leur ... 30Les autels que nous venons de décrire sont les sièges » kware de l’esprit duba, ce ne sont que des superstructures destinées à contenir les vrais principes actifs. Ces principes » sont rassemblés dans la poterie supportée par les fourches du duba sî3. Ils consistent en un certain nombre de tronçons de racines de l’arbre kivi Afzelia africana baignant dans une eau additionnée d’un peu de bière de mil. C’est à l’intérieur de l’arbre kivi, et surtout de ses racines, que s’incorpore l’esprit duba, probablement en se diluant dans la sève. 31En lui-même, Afzelia africana est un arbre éminemment sacré pour les Bobo, comme pour de nombreuses autres populations de la zone soudanaise d’ailleurs. On notera que les racines de cet Afzelia sont réputées dangereuses, elles auraient en effet la propriété de se mouvoir spontanément, de se tordre sur elles-mêmes ou de se recourber ; lorsqu’on les pose sur la tête au cours des rites, elles arracheraient les cheveux. Pour ajouter à leur virulence naturelle et aussi pour supplémenter leur pouvoir, les racines de kivi sont enduites sur toute leur longueur d’un broyat de racines de bakana humidifiées à la bière de mil. Ce bakan plante non identifiée est lui-même un arbuste malfaisant dont on dit qu’il est capable de se déplacer pour barrer votre route. On attribue aux racines la propriété de provoquer chez l’homme des crises de possession et c’est là, sans nul doute, la raison pour laquelle elles sont mises en contact avec kivi. 32En dehors de sa présence dans la poterie de duba sî, la racine de kivi, soigneusement enduite de bakana, fait aussi office d’autel portatif et son rôle, on le verra, est de conduire et d’inspirer celui qui le porte. La racine est enroulée dans une pièce de coton blanc, étroitement serrée par des liens. À chaque extrémité on attache une touffe de feuilles de nere. Plusieurs racines sont ainsi préparées, d’autres sont simplement enrobées dans une gangue d’argile. En raison de leur forme allongée et de la touffe qui termine certaines d’entre elles, on leur donne le nom de nyâpége de nyâga bœuf » et de pége queue » ou queue de bœuf ». Très nombreux sont les esprits funyanonô qui possèdent ainsi à la fois un autel fixe et un ou des autels portatifs du type nyâpége. 33Les racines de kivi et, il faut le souligner, celles de nombreuses autres espèces botaniques, quoique à un degré peut-être moindre sont donc un lieu d’élection pour la substance incorporelle des esprits. Il semble cependant que cette qualité puisse s’altérer avec le temps. Afin que les racines restent toujours en état d’abriter des forces spirituelles, il est nécessaire de procéder périodiquement à leur renouvellement. Cela donne lieu à une cérémonie qui a lieu tous les sept ans et que l’on appelle duba suruwa dâga Coutume de la sortie suru de duba ». À cette occasion, un nouveau se le est taillé et c’est au cours d’un rituel nocturne que les nouvelles racines de kivi sont prélevées en brousse et rapportées au village où ont lieu sacrifices et réjouissances. 34Les fonctions de duba avaient une certaine diversité on lui attribuait et on lui attribue aujourd’hui encore la naissance de nombreux enfants ; on lui reconnaissait aussi une action bienfaisante en matière d’activités agraires. Néanmoins, la fonction spécifique de duba était la recherche et la destruction des sorciers. En ce domaine, il ne cessa d’enregistrer des succès jusqu’au jour où apparut un nouvel esprit nommé vyetôgo qui devait faire preuve d’une efficacité plus grande encore. 35Les modes opératoires de duba étant pratiquement identiques à ceux de vyetôgo, nous en traiterons à propos de ce dernier. Vyetôgo 4 En ce cas, duba, qui lui est antérieur chez les Bobo, mais qui lui ressemble tant, aurait été lui a ... 5 Enfin, le renouvellement, ici aussi, est septennal. 36Vyetôgo pourrait être de provenance étrangère4 ; G. Chéron 1916257 le disait venir de chez les Sembla5. Les Bobo, quant à eux, s’accordent pour situer son origine à Sanguléma, un village limitrophe à la fois du pays sembla et du pays minyanka. 37De Sanguléma, vyetôgo s’est répandu, au cours du 19e siècle, dans la totalité des villages bobo situés au sud de la Volta noire. Vers 1900, les villageois de Sauna se procurent le vyetôgo à Sanguléma. Pour la première fois, le culte passe outre-Volta, mais il faudra attendre 45 ans pour qu’il reprenne sa progression vers le nord. Silêkoro en 1945, puis Kyebani en 1946 d’où il sera transmis à Kula, Muna et à Yakrisi en 1954, Kurumani en 1947, Bura en 1950, Fo en 1954 et Sâkoro en 1956 se rendent acquéreurs du vyetôgo à Sama. Entre-temps, en 1952, Fini est allé chercher le culte à Sanguléma même pour le transmettre à Mûna en 1956 et Kuka en 1957. De son côté, Wofura rapporte en 1955 le vyetôgo de Sanguléma et le donne à Tuma en 1957. En 1959 enfin, Gi, Bê et Felewe, les villages les plus septentrionaux étaient en train d’adopter vyetôgo. Depuis, le culte a achevé de se généraliser. 38L’autel de vyetôgo est constitué toujours par deux poteaux à triple fourche supportant des poteries closes ; l’un est mâle, l’autre est femelle et ils sont placés côte à côte. Ces sele ressemblent beaucoup au duba sî, néanmoins ils s’en distinguent par le fait qu’ils ne sont pratiquement pas sculptés et qu’ils se dressent toujours à l’intérieur du village. Les principes actifs de duba se retrouvent chez le vyetôgo et chez ce dernier, ils existent également sous la forme de nyâpége. 39Enfin, le renouvellement, ici aussi, est septennal. 40Ce qui fait pour nous l’intérêt de vyetôgo, ce sont, bien entendu, les modalités de son action contre lés sorciers. 41Lorsque se produit le décès d’un individu jeune et qui était apparemment de bonne constitution, il convient de s’informer sur les causes de sa mort. À plus forte raison faut-il le faire si l’on avait observé chez lui une altération suspecte des facultés. Une requête est présentée d’abord aux ancêtres borè. S’ils restent muets les poulets du sacrifice mourant de telle façon qu’on ne puisse en inférer une réponse précise, on est en droit de redouter le pire. Il faut alors s’adresser à sogo sogo to, interroger sogo » car il régente, nous l’avons dit, le monde de la brousse et ses forces obscures ; personne n’est plus apte à reconnaître et à dénoncer l’œuvre de sorcellerie, sogo révèle donc les actes criminels, mais en aucun cas il ne désigne les coupables et moins encore il ne les punit lui-même c’est là la tâche exclusive de vyetôgo. sogo établit le diagnostic, vyetôgo opère ». 42Informés du crime perpétré, les parents du mort vont devant l’autel de vyetôgo. Ils implorent sa vengeance et offrent une poule en sacrifice. Quelque temps s’écoule avant que, d’une façon tout à fait soudaine et imprévue, une personne entre brutalement en transes. La possession ne peut se produire qu’hors du village, en pleine brousse, et la crise est susceptible, affirme-t-on, de toucher n’importe qui. Dès les premiers symptômes, l’homme possédé court au village et s’empare d’un nyâpége de vyetôgo, il s’arme aussi d’une lance. Titubant, il se rend chez le chef de famille du défunt et un dialogue s’établit. Le chef de famille explique l’affaire et demande à l’homme en qui s’incarne désormais vyetôgo de trouver le coupable. Le possédé acquiesce en frappant le sol de son nyâpége et en sortant de sa bouche écumeuse des sons qui sont souvent comparés aux hennissements du cheval on dit, ici comme ailleurs, que le possédé est le Cheval » de l’esprit. Les choses sont alors très rapides le possédé dévale en courant les ruelles et s’arrête brusquement devant une porte ; il entre et se dirige droit sur la cachette où l’empoisonneur a placé son matériel, fioles de poison, mortiers, poudres et ingrédients divers si ce matériel a été jeté en brousse et enfoui, comme c’est souvent le cas, dans une poterie cachée sous terre, le possédé retrouve sans hésiter le lieu. Le matériel est aussitôt déposé au pied de l’autel de vyetôgo par le possédé gui retourne ensuite se saisir de la personne du coupable. Devant la preuve faite de ses crimes, le sorcier kyente avoue toujours. Le possédé, encore en pleine transe, donne alors un délai » de quelques jours au kyente pour mourir. L’homme décline rapidement ; le mal, dit-on, prend au niveau de la tête, descend dans le cou, gagne le dos et la mort survient dans le délai prescrit, inéluctablement et sans avoir été nullement provoquée matériellement. 43Tel est, schématiquement, le déroulement des opérations selon les informations que nous avons pu recueillir sur les derniers cas de mise à mort d’un sorcier par vyetôgo. Certains de ces cas sont relativement récents. Ainsi, en 1947, dans le village de N., un homme possédé par vyetôgo dénonça un certain Me K. Le possédé trouva le matériel de Me et il l’étala devant les yeux des villageois. Le possédé énuméra également à haute voix les victimes de Me une vingtaine…. À chaque nom Me s’écriait Eh ! c’est vrai ! ». Me mourut trois jours après sa condamnation. 44Ayant rassemblé ces quelques faits, au moins pouvons nous mesurer mieux la complexité de phénomènes qui concernent non seulement le domaine de la sorcellerie, mais aussi celui de la possession et d’une certaine façon, celui de la divination. Vyetôgo Discussion M. Cartry Quelle est la nature des poisons préparés. Sont-ils vraiment très toxiques ? G. Le Moal Il s’agit de poisons végétaux très actifs. On y joint souvent des fragments de gros intestin d’hyène, or il est scientifiquement établi que cela est très toxique. Je ne parle pas des ingrédients divers, tels que les restes humains en décomposition, qui ne doivent pas être très digestes ! G. Dieterlen Au sujet de l’orientation de l’espace beaucoup de choses viennent de l’est. Chante-t-on le masque est venu de l’est.. » ? G. Le Moal Oui, chez les Bobo, les masques sont fabriqués en brousse à l’est du village. Ils opèrent en traversant le village d’est en ouest. Tout est orienté est-ouest, de ce fait l’est est la source de toutes choses. Il faut regarder vers l’est, il faut aussi contrôler et canaliser, en quelque sorte, les forces qui viennent de l’est. C’est pourquoi duba se dresse à l’est du village. L. de Heusch Pour quelle raison 1’Afzelia a-t-il un rôle aussi important ? G. Le Moal L’Afzelia est le vecteur de forces spirituelles d’importance majeure. Les autels bobo, pratiquement tous, sont fondés sur des composants végétaux, or il y a un rapport étroit entre la taxonomie bobo des plantes et la classification, la hiérarchie, des entités spirituelles. Il y a tout un jeu de correspondances classificatoires entre les qualités du réceptacle et la nature de la force qui s’y incorpore. M. Cartry Est-ce que tous les Afzelia sont sacrés ? Chez les Gourmantché, ce n’est le cas que pour certains d’entre eux. G. Le Moal Oui, c’est l’espèce tout entière qui est sacrée. On ne coupe un Afzelia que pour des raisons religieuses, pour y tailler un masque par exemple voir mon film Le grand masque Molo. N. Échard Est-ce que la connaissance de la préparation des poisons est le fait de certains groupes sociaux particuliers ? G. Le Moal Non, c’est une connaissance dont les principes de base sont accessibles à tous. Le sorcier n’est pas nécessairement plus savant que quiconque en matière de poisons, mais, lui, il en fait un usage systématiquement criminel. D’ailleurs, on est sorcier par la philosophie de son acte et non par un plus ou moins grand savoir. J. F. Vincent Il serait intéressant de voir comment l’action du vyetôgo a remplacé l’action du duba. G. Le Moal En effet, il y a là une substitution que je ne sais pas expliquer, duba était et reste encore, semble-t-il, en mesure de détecter les sorciers, mais sa vocation est plus étendue, plus pacifique, plus neutre que celle de vyetôgo qui s’attaque seulement à ce qui trouble l’ordre social. J. F. Vincent L’action de vyetôgo ressemble un peu à celle des nkisi. L. de Heusch Certains nkisi ont un rôle de protection contre la sorcellerie. Mais, ils ont un rôle individuel et non collectif. Or ici, ils ont une fonction collective. Il y a aussi un lien avec la possession, car il arrive que la puissance qui est dans le nkisi puisse provoquer la possession, mais là encore dans un cadre individuel plutôt que collectif. M. Cartry Il semble que les vyetôgo aient des propriétaires » et qu’on puisse les acquérir. Est-ce que le propriétaire accepte de mettre son autel à la disposition de la victime ? G. Le Moal Il y a deux plans le communautaire foroba, c’est-à-dire ce qui est partagé par tous les membres de la communauté villageoise, et le lignager zakane. vyetôgo appartient au lignage parmi lequel s’est trouvé celui qui, soit en a eu la révélation, soit a procédé à son acquisition, vyetôgo est donc zakane, privé » en quelque sorte. Mais, dans ses activités, vyetôgo opère au niveau de la communauté foroba et au bénéfice de tous. Mêmesi je dois reconnaître que l’école n’est pas toujours drôle, permets-moi tout de même de te rappeler que l’on n’y vient pas pour s’amuser. Pour cela, il y a déjà bien assez de moyens de distraction en dehors ! Moi qui t’ai si souvent battu au foot (ça évitera que tu me traites de « vieux » !), sais-tu qu’à ton âge, je n’avais ni Game Boy®, ni PlayStation
Les aventures du jeune sorcier Harry Potter ont fait et font toujours la joie de millions de lecteurs à travers le monde, qui se passionnent pour ses aventures fantastiques, entre amitié, amour et magie. Mais ce dernier point semble attiser les craintes de certains croyants, comme le prêtre Dan Reehil, qui officie au sein de l’école catholique Saint-Edwards à Nashville, aux États-Unis. Après avoir consulté des exorcistes aux USA et à Rome, qui lui ont confirmé les risques potentiels qu’il y avait à garder les aventures du petit sorcier dans l’école, ce prêtre a pris la décision radicale de supprimer les 7 livres écrit par Rowling de la bibliothèque de l’établissement. Ce choix, somme toute surprenant, fait suite à la plainte d’un parent, qui s’inquiétait de la promotion de la magie noire et du satanisme au sein des livres Harry Potter. Ce n’est pas la première fois qu’Harry, Ron, Hermione et leurs compagnons sont sous les feux de la critique, de la part d’associations religieuses et puritaines. Dès leur parution en 1997 pour le premier tome, on a accusé ces ouvrages de promouvoir l’anarchie, de diffuser des messages subversifs et de faire l’apologie de la magie, considérée comme maline par beaucoup de croyants. Dans l’e-mail qu’il a envoyé aux parents pour leur faire part de son action, le prêtre évoque le fait que "les charmes et les mauvais sorts utilisés dans les livres sont réels. S’ils sont lus par un être humain, ils risquent de faire apparaître les mauvais esprits face à la personne qui lit le texte". Les élèves de cette école américaine n’auront d’autre choix que de lire la saga en douce ou sous une cape d’invisibilité... ! s’ils veulent éprouver le frisson qu’ont eu leurs aînés en dévorant les péripéties du jeune Potter et connaître l’issue de son affrontement avec son terrible ennemi dont on ne doit pas prononcer le nom...
Ungéant vient le chercher pour l’emmener à Poudlard, une école de sorcellerie! Voler en balai, jeter des sorts, combattre les trolls : Harry Potter se révèle un sorcier doué. Mais un mystère entoure. Harry Potter à l'école des sorciers ( Angl. Harry Potter and the Philosopher's Stone ) est le premier tome de la saga Harry Potter. C'est également le premier roman écrit par J.K

Si tu es fan des aventures du sorcier à lunettes, tu as probablement déjà fait plein de quiz sur l'univers d'Harry Potter. Tu sais probablement déjà quel est ton Patronus, pour quelle maison tu es fait et je suis sure que tu connais bien les sortilèges d'Harry Potter. Pourtant, une question ne s'est jamais posée en tant que né-moldu, te serais-tu bien adapté en allant à Poudlard ? On parle tout de même d'un monde sans nouvelles technologies, loin de ta famille et de tes amis et avec tout plein de trucs super dangereux. Tu penses quand même en être capable ? C'est ce qu'on va voir avec ce test. 1. Nous sommes le 25 juillet. Il fait beau, le ciel est bleu et tu as 11 ans de nouveau. Tu es sur ton blacon ou dans ton jardin lorsque tu vois un hibou venir vers toi. Quelle est ta réaction ? Tu l'ignores, c'est juste un oiseau Tu le chasses, il va dégueulasser tes transats Tu le laisses se poser sur ton épaule, tu es un ami des bêtes Tu lui tires dessus pour récupérer ce qu'il transporte 2. Tu es officiellement admis à l'école de sorcellerie de Poudlard, félicitations. On te rapelle que l'école est en Angleterre, c'est comment le niveau d'anglais ? "I speak english very well don't you worry" "Please mind the gap between the train and the platform" "Brian is in the kitchen" "Jay parle twès bien anglay. Jay peuh avwar du thay ?" 3. Il est temps de faire tes achats de matériel scolaire, qu'achètes-tu en premier ? Une robe de sorcier custom et un jogging pour mettre en dessous Des farces et attrapes magiques Un chaudron et des manuels Des cahiers 24x32 petits carreaux et un stylo 4 couleurs 4. Tout cela coûte de l'argent, comment payes-tu tes achats ? Tu tapes dans le prêt étudiant, tu n'en auras plus besoin Tu échanges toutes tes économies contre des Gallions d'or Tu demandes à tes parents de financer cette nouvelle lubie Par carte, sans contact si possible 5. Tu apprends que les sorciers vivent sans électricité, es-tu vraiment prêt à abandonner tes réseaux sociaux et tes séries Netflix ? Oui, je veux vivre cette belle aventure Ptdr non, hors de question 6. Dans le Poudlard Express, tu t'assois à côté d'un rouquin et commences à sympathiser. Le chariot de confiseries passe et la sorcière te demande si tu veux quelque chose, comment réagis-tu ? Tu achètes un peu de tout et manges les confiseries seul, s'agirait pas de partager Tu prends des chocogrenouilles et en donnes un au roux, plus par pitié que par générosité Tu prends juste un Patacitrouille, ça coûte plus cher que sur une aire d'autoroute Tu n'achètes rien, tu as ton sandwich Daunat et une briquette de jus 7. En arrivant au chateau de Poudlard, quelle est la première question que tu poses ? "C'est quoi le code Wifi ?" "Ça fait pas beaucoup de gachis ce buffet à volonté ?" "Je peux changer de dortoir ?" "Il est où le Mcdo le plus proche ?" 8. C'est l'heure de ton premier cours d'Histoire de la magie, tu passes l'heure à... Lancer des mines de crayon au plafond Écouter d'une oreille en dessinant 9. C'est l'heure de la première sortie à Pré-au-lard, à quel endroit vas-tu en premier ? Aux Trois Balais, ça fait longtemps que tu n'as pas bu une pinte À la confiserie Honeydukes, la malbouffe te manque tant Chez Zonko, acheter des farces et attrapes pour emmerder tout le monde Dans ton lit, tu en profites pour chiller un max 10. C'est l'heure de se plaindre, quel est le truc qui te saoule le plus à Poudlard ? Marcher tout le temps, c'était trop cher de mettre des Escalator ? Le manque d'intimité, ce serait cool d'être un peu moins dans ces dortoirs Les animaux chelou partout, y a pas moyen de désinfecter tout ça ? Le manque de loisirs, les bouquins et les échecs ça va 5 minutes

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