Nouvellealerte sur les difficultĂ©s d’accĂšs Ă  la complĂ©mentaire santĂ© et aux soins pour les bĂ©nĂ©ficiaires de minima sociaux . Le rapport DREES paru le 21 juin, concernant l’accĂšs Ă  la complĂ©mentaire santĂ© des bĂ©nĂ©ficiaires de minimas sociaux (Revenu de 27 juin 2022. Opinions Data Pathologie : l’assurance maladie fait un grand saut dans l’open-data ! Chaque annĂ©e l Les aides financiĂšres destinĂ©es aux femmes pour crĂ©er ou reprendre une entreprise La garantie ÉGALITÉ femmes Mis en place par France Active, ce dispositif national remplace le FGIF Fonds de garantie Ă  l'initiative des femmes. Il permet de faciliter l'accĂšs au crĂ©dit bancaire des femmes porteuses d’un projet de crĂ©ation, de reprise ou de dĂ©veloppement d’entreprises. La garantie couvre jusqu’à 80 % d’un emprunt bancaire dans la limite d'un montant de 50 000 €. En savoir plus sur la garantie ÉGALITÉ femmes Le prĂȘt d’honneur Initiative France Il s’agit d’un prĂȘt d’honneur accordĂ© sans demande de garantie personnelle ni intĂ©rĂȘts par le rĂ©seau Initiative France. Il permet aux femmes entrepreneuses de renforcer leurs fonds propres et ainsi d’accĂ©der plus facilement Ă  des prĂȘts plus importants. Sans remplacer l’emprunt, il permet d’en simplifier la dĂ©marche grĂące Ă  un effet de levier. Le montant du prĂȘt d’honneur Initiative France dĂ©pend de la nature du projet et des besoins en fonds propres, mais en gĂ©nĂ©ral il s'Ă©lĂšve entre 3 000 Ă  50 000 €. La moyenne nationale se situe Ă  9 700 €. En savoir plus sur le prĂȘt d'honneur Initiative France Wom'energy le programme d'entrepreneuriat au fĂ©minin Le RĂ©seau Entreprendre est un rĂ©seau d'accompagnement mixte composĂ© d'hommes et de femmes engagĂ©s pour la crĂ©ation d'emploi sur le territoire. SpĂ©cifiquement créé pour encourager l'entrepreneuriat au fĂ©minin, le programme Wom'energy a pour ambition de soutenir toutes les cheffes d'entreprise Ă  tous les stades de dĂ©veloppement et de croissance de leur projet, grĂące Ă  un accompagnement de paires Ă  paires et un prĂȘt d'honneur compris entre 15 000 et 50 000 €. En savoir plus sur le rĂ©seau Entreprendre Les dispositifs rĂ©gionaux pour faciliter l’entrepreneuriat fĂ©minin Les Plans d’action rĂ©gionaux pour l'entrepreneuriat des femmes PAR Depuis l’accord cadre de 2012 pour l’entrepreneuriat fĂ©minin conclu entre l’État et la Caisse des dĂ©pĂŽts, des plans d’action locaux et rĂ©gionaux se dĂ©veloppent chaque annĂ©e sur le territoire. Ils s’appuient sur les services centraux et les associations d’aide Ă  la crĂ©ation d’entreprises afin d’évaluer les outils et dispositifs les plus appropriĂ©s Ă  chaque zone gĂ©ographique. Plus d'une vingtaine de rĂ©gions ont dĂ©jĂ  mis en place des plans d’action concrets pour soutenir la crĂ©ation-reprise d'entreprise par les femmes dans tous les secteurs, notamment l'industrie, le bĂątiment, le numĂ©rique et l'innovation. Willa ex Paris PionniĂšres Anciennement Paris PionniĂšres, Willa est un incubateur de start-ups dĂ©diĂ© aux femmes entrepreneuses. Cette structure apporte un accompagnement complet aux femmes souhaitant se lancer dans l’aventure entrepreneuriale, qu’il s’agisse de mentoring, de bonnes pratiques ou encore de rĂ©seau. Les start-ups incubĂ©es se voient aussi offrir la possibilitĂ© d’ĂȘtre hĂ©bergĂ©es directement au sein de l’incubateur ou dans un lieu de co-working. WILLA, 1er accĂ©lĂ©rateur de mixitĂ© dans la tech, a accompagnĂ© depuis sa crĂ©ation le 8 mars 2005 plus de 530 startups fondĂ©es ou co-fondĂ©es par des femmes. En savoir plus sur Willa Le RĂ©seau EFOIR Entreprendre au fĂ©minin, OcĂ©an indien – RĂ©union » L’association Entreprendre au FĂ©minin OcĂ©an Indien-RĂ©union accompagne les femmes entrepreneuses basĂ©es dans cette rĂ©gion dans leurs projets de crĂ©ation ou de reprise d’entreprise. PensĂ© comme un rĂ©seau d’accompagnement et d’entraide, l’EFOIR agrĂšge des cheffes d’entreprises qui partagent leur savoir et leur expĂ©rience. Le rĂ©seau EFOIR organise par ailleurs un concours – le prix Julie Mas – rĂ©compensant les meilleurs projets au fĂ©minin sur l'Île de la RĂ©union. En savoir plus sur le rĂ©seau EFOIR Les Ă©vĂ©nements dĂ©diĂ©s Ă  l’entrepreneuriat fĂ©minin Les semaines de sensibilisation des jeunes Ă  l'entrepreneuriat fĂ©minin Les semaines de sensibilisation Ă  l’entrepreneuriat des femmes est un Ă©vĂ©nement portĂ© par le ministĂšre chargĂ© de l’ÉgalitĂ© entre les femmes et les hommes. L'objectif est de sensibiliser les jeunes de 13 Ă  25 ans Ă  la culture entrepreneuriale et la rĂ©ussite au fĂ©minin. La 10Ăšme Ă©dition de la semaine de sensibilisation Ă  l'entrepreneuriat fĂ©minin aura lieu du 7 au 25 mars 2022. En savoir plus sur l'Ă©dition 2022 des semaines de l'entrepreneuriat fĂ©minin La journĂ©e de la femme digitale La journĂ©e de la femme digitale JFD est le rendez-vous fĂ©minin de l'innovation. L'objectif mettre Ă  l'honneur les femmes cheffes d'entreprise ou occupant des postes de direction dans les nouvelles technologies. Dans ce cadre, le prix les Margaret rĂ©compense chaque annĂ©e la crĂ©ativitĂ©, l'innovation et l'audace de femmes digitales en Europe et en Afrique. Les laurĂ©ates bĂ©nĂ©ficieront de l'exposition mĂ©diatique de la JFD, de soutiens financiers, d'un accompagnement de dĂ©veloppement et de communication, d'une valeur Ă©quivalente Ă  1 millions d'euros. La prochaine Ă©dition de la journĂ©e de la femme digitale - qui permettra de fĂȘter les 10 ans de cette initiative - se tiendra le 8 mars 2022 sous le haut patronage du PrĂ©sident de la RĂ©publique. En savoir plus sur la journĂ©e de la femme digitale La journĂ©e des femmes entrepreneuses La journĂ©e des femmes entrepreneuses est organisĂ©e chaque annĂ©e en marge du Salon SME, un Ă©vĂ©nement ayant lieu Ă  Paris et dĂ©diĂ© aux dirigeants et crĂ©ateurs de start-ups ou de TPE/PME. La journĂ©e de la femme entrepreneuse propose durant une journĂ©e de nombreuses confĂ©rences et ateliers pour encourager et accompagner les femmes porteuses d’un projet. Le Salon SME se tient chaque annĂ©e, gĂ©nĂ©ralement Ă  l'automne. En savoir plus sur le site du Salon SME Avec7 Ă©quipes participantes pour cette premiĂšre Ă©dition. En dĂ©cembre 2010, les organisateurs de StartupWeekend France contacte l’association pour proposer d’organiser Ă  la RĂ©union, le StartupWeekend. Ce deuxiĂšme Ă©vĂ©nement phare de l’association s’est tenu fin 2011. Avec le soutien de la Technopole de La RĂ©union. 1Ăšr AccĂ©der au contenu principal Voici une liste de centres d’hĂ©bergement spĂ©cialisĂ©s pour les femmes victimes de violences ou en difficultĂ©s ORGANISMES COORDONNEES SERVICES NumĂ©ro d’urgence 115 NumĂ©ro d’urgence hĂ©bergement. Le numĂ©ro d’appel 115 permet d’accĂ©der Ă  une permanence d’accueil tĂ©lĂ©phonique 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 chargĂ©e d’évaluer et de rĂ©pondre aux situations d’urgence sociale. C’est le SAMU qui fait l’orientation vers les centres d’hĂ©bergement disponibles. Bien indiquer qu’il s’agit d’un cas de victime de violence de la part du conjoint ou compagnon. APIAF Association Promotion Initiatives Autonomes des Femmes 31, rue de l’Étoile 31000 Toulouse 05 62 73 72 62 apiafassocation HĂ©bergement d’urgence des femmes avec ou sans enfants. Claire Maison Assoc. Olympe de Gouges 43 rue Jean des Pins 05 62 48 56 66 clairemaison HĂ©bergement de femmes seules Ă  partir de 18 ans Maison des allĂ©es Pont Vieux 1 rue du pont vieux 31300 Toulouse 05 62 48 52 20 Accueil d’urgence pour femmes seules ou avec enfants et accompagnement social. Centre Maternel 17, rue Sainte-Lucie 31300 Toulouse Accueil de jeunes femmes enceintes ou de mĂšres d’enfants de moins de trois ans. Centre maternel du foyer de l’enfance 425 route de Launaguet 05 61 37 33 11 Accueil de femmes en difficultĂ©s mineures enceintes, femmes accompagnĂ©es d’un enfant dont au moins un de moins de trois ans. Seules les mĂšres mineures sont admises en urgence Le Touril 8 rue de la Hache 31000 Toulouse 05 62 26 84 00 Pour les femmes en difficultĂ©s seules ou avec enfants. Permanence et accueil de 9h Ă  18h Secours catholique 56, rue de PĂ©riole, 31500 Toulouse 05 34 25 67 40 Accompagnement vers le logement de tout public. Mise Ă  jour octobre 2014 ChaqueConseil GĂ©nĂ©ral possĂšde des lieux d'hĂ©bergement pour les femmes qui aimeraient pouvoir garder leur bĂ©bĂ©, mais Pour l’accompagnement des personnes en situation de handicap, les associations, trĂšs diverses par leur taille, leurs moyens et leurs activitĂ©s, interviennent dans les diffĂ©rentes Ă©tapes de leur vie scolarisation, Ă©tudes supĂ©rieures et insertion professionnelle. Missions des associationsLes associations de personnes en situation de handicap conseillent, informent les jeunes et leurs familles en fonction du type de handicap auditif, visuel, moteur, mental, troubles des apprentissages
. Elles leur apportent un soutien formations pour les parents, Ă©changes de bonnes pratiques, emploi, information sur la recherche scientifique
.Certaines se regroupent au sein d'unions ou de fĂ©dĂ©rations, comme la FFDys FĂ©dĂ©ration française des Dys. Porte-parole et gestion d’établissements spĂ©cialisĂ©sIl existe diffĂ©rents types d’associations, celles qui reprĂ©sentent les personnes en situation de handicap ou leur famille et les associations gestionnaires d’ plus importantes assurent les deux fonctions comme l'APF France handicap ex APF pour le handicap moteur, l'Unapei Union nationale des Associations de Parents et Amis des personnes handicapĂ©es mentales pour la dĂ©ficience intellectuelle, Ladapt l'association pour l'insertion sociale et professionnelle des personnes handicapĂ©es et la fĂ©dĂ©ration Apajh FĂ©dĂ©ration des associations pour adultes et jeunes handicapĂ©s. Cette derniĂšre agit en faveur de l’intĂ©gration scolaire, sociale et professionnelle et gĂšre des Ă©tablissements pour jeunes et adultes en situation de FSEF Fondation santĂ© des Ă©tudiants de France gĂšre des Ă©tablissements spĂ©cialisĂ©s dans le "soins-Ă©tudes". Pour ne pas perdre le contact avec l’école, les Ă©tablissements de la FSEF proposent, dĂšs le collĂšge, une "alliance thĂ©rapeutique" entre les services mĂ©dicaux et loisirs, aides techniques Parmi les associations "tous handicaps", le collectif inter-associatif Droit au savoir, favorise la scolarisation au-delĂ  de 16 ans et jusqu’au premier emploi. D’autres interviennent en cas de maladie ou d’accident et apportent un enseignement Ă  domicile ou Ă  l’hĂŽpital Votre Ă©cole chez vous, Femdh, L'Ă©cole Ă  l'hĂŽpital.Certaines associations sont spĂ©cialisĂ©es dans une activitĂ© particuliĂšre formation Ă  la LSF langue des signes française pour les personnes sourdes ou leur entourage ALSF, transcription des documents en braille Le livre de l’aveugle, accĂšs Ă  la culture Centre recherche théùtre handicap, accĂšs culture
 ou au sport Handisport, FFSA.AccĂšs aux Ă©tudes supĂ©rieuresL’association Starting-Block, Ă  travers la campagne Handivalides, contribue Ă  sensibiliser le monde de l’enseignement supĂ©rieur aux enjeux de l’inclusion des personnes FĂ©dĂ©eh FĂ©dĂ©ration Ă©tudiante pour une dynamique Ă©tudes et emploi avec un handicap a dĂ©veloppĂ© diffĂ©rentes actions comme le programme PHARES, soutien basĂ© sur un tutorat Ă©tudiant dĂšs la classe de 3e ou la pairĂ©mulation, un rĂ©seau social de conseil et d’entraide pour favoriser l’ l’insertion professionnelleL’association Arpejeh Accompagner la rĂ©alisation des projets d’études de jeunes Ă©lĂšves et Ă©tudiants handicapĂ©s aide les jeunes collĂ©giens, lycĂ©ens et Ă©tudiants Ă  dĂ©couvrir le monde de l’entreprise. GrĂące Ă  des ateliers-dĂ©couverte, des visites en entreprise et des stages, ils peuvent construire un projet d’orientation. Elle accompagne Ă©galement lycĂ©ens et Ă©tudiants vers l’ peut citer Ă©galement l’association Tremplin Ă©tudes handicap entreprise qui accompagne lycĂ©ens et Ă©tudiants dans leurs Ă©tudes et les prĂ©pare Ă  l’insertion associations facilitent la recherche d’emploi. Hanploi a créé un site dĂ©diĂ© au recrutement des personnes en situation de handicap. Elle a Ă©galement mis en place le programme "Hanploi & school" qui propose des confĂ©rences de sensibilisation au handicap et des ateliers d’accompagnement des Ă©tudiants en situation de handicap, dĂ©clarĂ©s ou non, vers l’emploi. Lappel Ă  projets, lancĂ© en avril 2014, a pour objet la rĂ©alisation de 10 000 logements sociaux accompagnĂ©s sur trois ans. L’enjeu est de favoriser la coopĂ©ration entre les bailleurs sociaux et les associations pour faciliter l’accĂšs au logement social de mĂ©nages cumulant des difficultĂ©s Ă©conomiques et sociales, en leur proposant un accompagnement adaptĂ© Ă  leur situation. Je n’ai pas envie d’avoir de problĂšmes avec lui. » C’est ce que Marie-Christelle, jeune femme de 33 ans originaire de l’üle Maurice, s’entendait rĂ©pondre lorsqu’elle Ă©voquait avec certains de ses voisins son conjoint violent. Ayant quittĂ© son Ăźle natale pour Ă©chapper Ă  une situation familiale difficile, elle a transitĂ© par Paris avant de s’installer, il y a deux ans, dans un petit village du Jura. Y rejoignant son compagnon, rencontrĂ© via les rĂ©seaux sociaux, un homme alors aux petits soins » et qui l’aide Ă  sortir de son passĂ© trĂšs vite, un terrible engrenage se met en place. Cris, insultes puis gifles et coups pleuvent. La vie de Marie-Christelle devient un enfer. J’étais isolĂ©e, je ne connaissais personne Ă  part mon compagnon et ses amis, raconte-t-elle. À l’opposĂ©, mon conjoint Ă©tait connu dans les environs. » Difficile dans ces conditions de s’en sortir. AprĂšs le coup de trop, celui qui l’envoie cogner si fort contre le lit qu’elle craint pour sa vie, et grĂące Ă  l’association Femmes debout, Marie-Christelle finit par s’ et qu’en-dira-t-on »Un tĂ©moignage qui illustre la difficultĂ© Ă  briser le silence qui entoure les violences conjugales, en particulier en milieu rural. Sensibiliser Ă  leur existence, amĂ©liorer leur dĂ©tection et mieux prendre en charge les victimes ce sont les principaux objectifs du Grenelle des violences conjugales lancĂ© par le gouvernement ce mardi 3 mobilisation intervient alors que le corps d’une femme a Ă©tĂ© retrouvĂ© sans vie ce week-end Ă  Cagnes-sur-Mer Alpes-Maritimes. Ce serait le 100e fĂ©minicide depuis le dĂ©but de l’annĂ©e, selon les associations. En 2018, le ministĂšre de l’intĂ©rieur a recensĂ© 121 femmes mortes sous les coups de leur conjoint, soit un dĂ©cĂšs tous les trois jours. Si le Grenelle entend lutter contre les fĂ©minicides, il doit aussi amĂ©liorer la lutte contre toutes les violences conjugales. Brimades, harcĂšlement, coups touchent tous les milieux et toutes les classes sociales, et les femmes dans 90 % des cas. Dire que l’on est victime de violences conjugales est toujours compliquĂ©. Mais ça l’est encore plus Ă  la campagne oĂč tout le monde se connaĂźt », souligne la sĂ©natrice socialiste de la DrĂŽme Marie-Pierre Monier, qui a travaillĂ© sur le sujet dans le cadre d’un rapport de 2017 sur la situation des femmes en milieu rural. Outre une certaine omerta et la peur du qu’en-dira-t-on, les victimes pointent la difficultĂ© Ă  se faire entendre face Ă  un conjoint souvent respectĂ© par la communautĂ©. Le gendarme qui va prendre la plainte peut faire du sport avec l’homme violent. Le mĂ©decin qui constate les coups soigne toute la famille, y compris le mari », explique Charlotte Martinez, Ă©tudiante en master de genre Ă  l’École des hautes Ă©tudes en sciences sociales et bĂ©nĂ©vole de l’association Paroles de femmes Ă  Gaillac Tarn.Des brigades de gendarmeries parfois trop Ă©loignĂ©esÀ ce premier obstacle s’ajoutent des difficultĂ©s trĂšs concrĂštes, consĂ©quences de l’isolement gĂ©ographique. Lorsqu’une victime s’est convaincue d’aller dĂ©poser plainte, elle doit encore se rendre Ă  la brigade de gendarmerie qui est souvent Ă©loignĂ©e de son domicile et ouverte une partie de la semaine seulement », note Olivier Caracotch, procureur de la RĂ©publique Ă  Troyes Aube, qui met en avant un autre point problĂ©matique MĂȘme si l’on n’a pas besoin d’un certificat mĂ©dical pour dĂ©poser plainte, dans la pratique, c’est souvent ce qui est conseillĂ© en premier aux victimes, une dĂ©marche rendue complexe avec la pĂ©nurie de mĂ©decins en zone rurale. »La ruralitĂ©, qui complique la libĂ©ration de la parole, pĂšse aussi aprĂšs, lors de l’accompagnement des victimes, en raison d’un tissu associatif moins dĂ©veloppĂ© ou moins accessible qu’en ville. La secrĂ©taire d’État Ă  l’égalitĂ© femmes-hommes, MarlĂšne Schiappa, a d’ailleurs annoncĂ© la crĂ©ation d’un fonds d’un million d’euros pour aider les associations Ɠuvrant sur le terrain et notamment en milieu rural. Nous lançons la modĂ©lisation dans trois rĂ©gions, Pays de la Loire, Nord et Bourgogne, a-t-elle prĂ©cisĂ© jeudi 29 aoĂ»t dans Ouest-France. L’argent sera attribuĂ© en concertation avec les acteurs locaux. » La question financiĂšre se pose aussi pour les femmes elles-mĂȘmes, souvent dĂ©pendantes de leur conjoint, en particulier les agricultrices travaillant sur l’exploitation familiale, ce qui empĂȘche toute sortie du bons taxis » pour faciliter la mobilitĂ©Face Ă  ce constat, des initiatives se dĂ©veloppent. Alors qu’un cinquiĂšme plan de lutte contre les violences faites aux femmes a Ă©tĂ© annoncĂ© en novembre 2016 et que les tĂ©lĂ©phones grand danger » doivent ĂȘtre gĂ©nĂ©ralisĂ©s, les solutions Ă©mergent aussi au niveau avril, le dĂ©partement de l’Allier, Ă  la suite de l’ArdĂšche, de la CorrĂšze, du Tarn-et-Garonne et de la Creuse, propose des bons taxis » aux victimes qui peuvent ainsi rejoindre gratuitement un hĂ©bergement d’urgence ou se rendre chez l’avocat, le mĂ©decin ou au tribunal. Entre le moment oĂč une femme part pour la premiĂšre fois de son domicile Ă  cause des violences et celui oĂč elle quitte le foyer dĂ©finitivement, il y a en moyenne sept allers-retours, rappelle Émilie Dillenschneider, dĂ©lĂ©guĂ©e dĂ©partementale aux droits des femmes et Ă  l’égalitĂ© dans l’Allier. En facilitant la mobilitĂ©, on l’aide Ă  rompre l’emprise et Ă  retrouver une autonomie. »CrĂ©er un rĂ©seau de dĂ©tection des violencesEn Haute-SaĂŽne, un dispositif d’accompagnement baptisĂ© Auviv, en place depuis 2009, a aussi fait ses preuves. Il prĂ©voit un suivi de la victime, mais Ă©galement du conjoint violent. En 2018, 61 personnes ont suivi un stage de responsabilisation et 37 auteurs de violences ont Ă©tĂ© accueillis en foyer, en moyenne pendant 140 jours, encadrĂ©s par des professionnels sociaux pour travailler sur leur violence et souvent leurs addictions », met en avant Claire-Marie Casanova, membre de l’Union syndicale des magistrats et prĂ©sidente du tribunal de grande instance de Vesoul, rappelant qu’un tiers des personnes incarcĂ©rĂ©es Ă  la maison d’arrĂȘt de Vesoul le sont pour des violences le Tarn enfin, l’association Paroles de femmes a créé un rĂ©seau de relais ruraux, composĂ© de pharmaciens, mĂ©decins, kinĂ©sithĂ©rapeutes et buralistes entre autres, qu’elle forme Ă  la dĂ©tection et Ă  la prise en charge des violences. La justice n’a pas toutes les solutions, relĂšve aussi Claire-Marie Casanova. Il faut associer d’autres acteurs, de la santĂ©, de l’éducation
 Cela doit devenir l’affaire de tous. » C’est grĂące Ă  un logement d’urgence mis Ă  disposition par l’association jurassienne Femmes debout que Marie-Christelle a pu entamer sa reconstruction. Ce qui amĂšne la sĂ©natrice Marie-Pierre Monier Ă  conclure Le peu qui existe dans le monde rural, il faut le prĂ©server et le soutenir financiĂšrement. » Cesecteur, pourtant gĂ©nĂ©rateur d’emplois, est en nette dĂ©croissance : faible soutien de l’Etat au marchĂ© et aux producteurs et productrices, savoir-faire qui se perdent, manque de compĂ©tences techniques, faibles liens entre les diffĂ©rents acteurs du marchĂ©, etc. De nombreuses familles ont dĂ» abandonner leur activitĂ© faute de rentabilitĂ©, alors que le Liban doit De nombreuses associations accordent des aides aux familles en difficultĂ©. Il est Ă  noter que les aides octroyĂ©es peuvent ĂȘtre financiĂšres ou matĂ©rielles. Aide Familiale populaire Cette association a Ă©tĂ© créée en 1945 afin d’aider les familles en difficultĂ©. Les bĂ©nĂ©voles apportent leur aide notamment aux mĂšres qui sont malades ou qui doivent travailler. Cet organisme aide Ă©galement les chĂŽmeurs dans leurs... recherches d’emploi. L’Aide Familiale Populaire vient aussi en aide aux personnes ĂągĂ©es ou porteuses d’un handicap. Cette association prĂ©voit Ă©galement une aide Ă  l’intĂ©gration scolaire des enfants handicapĂ©s. Sos Famille EmmaĂŒs Membre du mouvement crĂ©e par l’AbbĂ© Pierre, SOS Famille EmmaĂŒs propose des solutions pour prĂ©venir les situations de surendettement des particuliers. Les membres de cette association conseillent les personnes endettĂ©es afin qu’elles puissent amĂ©liorer leurs situations financiĂšres. SOS Famille EmmaĂŒs accorde des avances remboursables sans frais ni intĂ©rĂȘts. AGAF Durance Luberon AGAF Durance Luberon assiste les familles en difficultĂ©. Les membres de l’association se rendent aux domiciles des familles dans le besoin. Ainsi ils peuvent effectuer les tĂąches mĂ©nagĂšres. L’AGAF Durance Luberon vient Ă©galement en aide aux personnes handicapĂ©es et aux personnes ĂągĂ©es. L’ADAF ou aide Ă  domicile aux familles de Paris Cette association collabore avec la CAF, la CPAM, l’ASE ou encore la PMI. Ainsi, elle accorde des rĂ©ductions ou des crĂ©dits d’impĂŽt Ă©quivalents Ă  50% des charges engagĂ©es. Les dĂ©partements Certains dĂ©partements comme celui de la Loire-Atlantique accordent des aides financiĂšres aux familles en difficultĂ©. L’Aide Enfance Famille a pour objectif de combler les revenus des parents afin qu’ils puissent subvenir aux besoins de leurs enfants. L’aide solidaire L’aide solidaire a Ă©tĂ© mise en place par le dĂ©partement Loire-Atlantique afin de satisfaire les besoins vitaux des familles en difficultĂ©. L’Aide Solidaire est aussi accordĂ©e aux personnes ayant un projet d’insertion sociale ou professionnelle. Photo par wistechcolleges Creative Commons Nousmobilisons l’intelligence collective au service de la solidaritĂ©. Nous avons Ă  coeur d’agir vers la durabilitĂ©. Nous valorisons chaque ĂȘtre humain, chaque membre d’Enfants de Shanti. Nous sommes ensemble pour faire Ă©voluer la sociĂ©tĂ©. Notre approche positive repose sur la transformation de la vision du monde.
Action Logement et ses partenaires financent un panel d’offres de logement permettant aux salariĂ©s Ă©ligibles d’accĂ©der rapidement Ă  un logement pour une durĂ©e plus au moins longue de quelques jours Ă  2 ans maximum. Conditions RĂ©pondre aux problĂ©matiques logement des salariĂ©s Être salariĂ© d'une entreprise du secteur privĂ© non agricole d'au moins 10 salariĂ©s CDI, CDD, intĂ©rim, stage ou alternance, Rechercher pour soi ou pour un couple sans enfant ou pour une famille monoparentale avec 1 enfant en bas-Ăąge, Être majeur ou mineur Ă©mancipĂ©. Vous ĂȘtes salariĂ© du secteur agricole ? Nos Ă©quipes sont Ă  votre disposition pour vous accompagner dans votre demande de logement temporaire. Contactez, via le formulaire dĂ©diĂ© un de nos conseillers qui vous prĂ©sentera les solutions locatives les plus adaptĂ©es Ă  votre situation. Avantages Une solution souple et rĂ©active Logements temporaires mobilisables en quelques semaines variable selon la zone, Localisation proche des bassins d’emploi et/ou des transports en commun, Locations courte durĂ©e pouvant offrir des services complĂ©mentaires selon les rĂ©sidences ou le partenaire, Suivi et accompagnement social envisageable selon les profils, Offre cumulable avec d’autres dispositifs d’Action Logement selon Ă©ligibilitĂ©. CaractĂ©ristiques Des types de logement de type studio Logements d’une surface de 15 Ă  20mÂČ environ, de type studio, meublĂ©s et Ă©quipĂ©s WC, salle de bain, coin cuisine, Certaines rĂ©sidences proposent des espaces collectifs espaces de vie, laverie etc... Logements adaptĂ©s Ă  la situation et Ă  la durĂ©e du sĂ©jour rĂ©sidences jeunes travailleurs, rĂ©sidences Ă©tudiantes, Appart'hĂŽtels, rĂ©sidences hĂŽteliĂšres... DĂ©marches Comment effectuer une demande de logement temporaire ? Les Ă©quipes d’Action Logement vous accompagnent. Étape 2 Vous ĂȘtes recontactĂ© par l’un de nos conseillers dans un dĂ©lai maximum de 72h. Étape 3 Suivre ma demande de logement temporaire Rendez-vous dans notre rubrique "Suivre mon dossier" pour connaitre toutes les Ă©tapes d'avancement de votre demande. Aides cumulables Des aides complĂ©mentaires pour rĂ©pondre Ă  vos besoins VĂ©ritable alternative Ă  la rĂ©sidence hĂŽteliĂšre, la solution de logement temporaire peut ĂȘtre cumulĂ©e Ă  d’autres offres d’Action Logement selon Ă©ligibilitĂ© L'avance LOCA-PASS une aide pour avancer le montant de votre caution, La garantie VISALE une caution gratuite pour votre recherche de location et accordĂ©e par Action Logement, L'aide MOBILI-JEUNE une aide pour payer une partie de votre loyer.
Les207 associations locales du rĂ©seau Initiative France ont des solutions pour vous, formalisĂ©es dans une « Promesse ». Financement : le prĂȘt d'honneur Initative Le prĂȘt d'honneur Initiative Ă  taux 0, sans garantie demandĂ©e, constitue le pilier de l'offre de services d'Initiative France aux entrepreneurs Initiative : il renforce votre apport personnel et les fonds propres de
L’AUFD est affiliĂ©e Ă  la FĂ©dĂ©ration Nationale SolidaritĂ© Femmes. Jours d’accueil du public Des permanences extĂ©rieures sont proposĂ©es → Tous les jours Ă  La Roche sur Yon → Les 1er et 3Ăšme lundis du mois de 14h30 Ă  16h30 aux Herbiers → Les 2Ăšme et 4Ăšme lundis du mois de 14h30 Ă  16h30 Ă  Montaigue → Les 1er et 3Ăšme mardis du mois de 14h30 Ă  16h30 Ă  Challans → Le 2Ăšme mardi du mois de 14h00 Ă  16h00 Ă  Fontenay Le Comte → Le 4Ăšme mardi du mois de 14h30 Ă  16h30 Ă  Luçon → Les 2Ăšme et 4Ăšme jeudis du mois de 9h30 Ă  11h30 + Permanence au Commissariat aux Sables d’Olonne. Objet associatif Issue d’un mouvement fĂ©ministe des annĂ©es 70, l’association AUFD a Ă©tĂ© créée par un groupe de femmes aujourd’hui membres du Conseil d’Administration pour des femmes. Elles ont fait le choix de traiter la problĂ©matique de la violence conjugale parce que la violence est un fait de sociĂ©tĂ© inacceptable et parce qu’en 1986, ce phĂ©nomĂšne n’était pas reconnu. Objectifs et missions Notre vocation est d’écouter, d’accueillir et d’hĂ©berger, en urgence, des femmes victimes de violences conjugales ainsi que leurs enfants. Les objectifs de l’association sont de lutter contre les violences conjugales et de venir en aide aux femmes qui en sont victimes et Ă  leurs enfants. Axes de travail, actions dĂ©veloppĂ©es Nos activitĂ©s principales sont → Un service d’écoute tĂ©lĂ©phonique 24h/24 et 7 jours sur 7 Depuis le 1er mars 2008, l’AUFD propose une Ă©coute tĂ©lĂ©phonique 24h/24 et 7 jours sur 7. En effet, une femme peut nous contacter par tĂ©lĂ©phone pour s’informer, s’entretenir sur son vĂ©cu et sa problĂ©matique, ĂȘtre guidĂ©e et soutenue Ă  tout moment de son parcours et Ă  toute heure du jour et de la nuit. → Un service d’hĂ©bergement L’AUFD propose une mise Ă  l’abri 24h/24 et 7jours/7 Ă  toute femme avec ou sans enfant qui se trouve dans l’obligation de quitter son domicile pour se protĂ©ger des violences de son conjoint. L’AUFD peut proposer un hĂ©bergement d’urgence en structure collective, un hĂ©bergement d’urgence et un hĂ©bergement temporaire en logement relais. → Une Maison d’Accueil de Jour Ce dispositif permet de recevoir en journĂ©e les familles hĂ©bergĂ©es sur l’hĂŽtel, les ex-hĂ©bergĂ©es et les familles hĂ©bergĂ©es sur les logements relais. L’accueil de jour est avant tout un lieu de vie, de dĂ©tente oĂč les femmes peuvent se reposer pour mettre Ă  distance l’espace de quelques heures le stress et l’anxiĂ©tĂ© gĂ©nĂ©rĂ©s par le climat de violence qu’elles subissent. → Un service de permanences extĂ©rieures sur rendez-vous Durant ces entretiens, un accompagnement est proposĂ© Ă  des femmes qui n’ont pas nĂ©cessairement besoin d’un hĂ©bergement mais qui ont besoin d’ĂȘtre guidĂ©es et soutenues dans leur problĂ©matique. → Un Point Info Violences Conjugales Ce dispositif permet de recevoir, sans rendez-vous, des femmes victimes, leurs proches ou des professionnels. C’est un lieu oĂč chacun est accueilli par une intervenante de l’AUFD pour ĂȘtre Ă©coutĂ©es, informĂ©es, conseillĂ©es et orientĂ©es selon leur situation ou leur demande. → Un service de formation et de prĂ©vention L’association est un lieu ressource pour tous ceux confrontĂ©s Ă  des problĂ©matiques de violences conjugales, ce qui nous amĂšne Ă  ĂȘtre rĂ©guliĂšrement sollicitĂ©es pour assurer des actions d’information, de sensibilisation Ă  la problĂ©matique des violences conjugales et des actions de prĂ©vention aux comportements et aux violences sexistes auprĂšs des jeunes. Territoire d’intervention L’AUFD est rĂ©fĂ©rent dĂ©partemental en matiĂšre de violences conjugales depuis 2009. Nous intervenons prioritairement dans tout le dĂ©partement de la VendĂ©e mais nous sommes parfois amenĂ©es Ă  hĂ©berger des familles issues d’autres dĂ©partements lorsque l’éloignement gĂ©ographique est nĂ©cessaire pour leur sĂ©curitĂ©. Public et spĂ©cificitĂ©s d’accueil L’AUFD accueille des femmes, avec ou sans enfant, victimes de violences conjugales. La durĂ©e moyenne d’accueil est une dizaine de jours. Toutefois, tant que la femme n’a pas de solutions d’hĂ©bergement ou de logement, et si elle s’investie dans l’accompagnement social proposĂ©, l’hĂ©bergement Ă  l’AUFD est maintenu. L’adresse de la structure reste confidentielle pour des raisons de sĂ©curitĂ©. Composition de l’équipe Une Ă©quipe de jour comprenant une coordinatrice 4 travailleuses sociales une monitrice-Ă©ducatrice une responsable vie quotidienne. Une Ă©quipe de nuit comprenant 4 animatrices sociales Etapes abordĂ©es par l’exposition En Prises » auxquelles associer l’activitĂ© de la structure Les violences subies Le premier pas vers une aide extĂ©rieure Les obstacles rencontrĂ©s La vie aujourd’hui Contact BoĂźte Postale 712 85017 LA ROCHE SUR YON Cedex TĂ©l 02 51 47 77 59 Fax 02 51 05 23 73 accueilfemmes Ouverture 24h/24 7 jours sur 7 toute l’annĂ©e.
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