Achetezle design « Belle nouveauté - si tu m'aimes arrête tes bêtises » par Gp-Pembele sur le produit suivant : Housse de couette Vendez vos œuvres Connectez-vous Inscrivez-vous Artistes populaires Vu qu’on est en train de se prendre la vague 90’s en pleine face, avec le grunge, le revival du revival punk, il fallait bien s’attendre à retrouver un truc qu’on avait quasi-oublié, le minimalisme. Ces années 90, quelle histoire ! Ce sont les années où j’ai vécu mon premier grand amour, eu mon bac, fait mes dernières raves et acheté mon premier tee-shirt Margiela. Le fond de l’air n’était pas très gai, à ce que je me souviens. Nos parents, pétrifiés par la récession, nous courraient après avec des projets d’avenir aussi ébouriffants que trouver un boulot avec des débouchés. Super, pour mes premiers pas dans la vie. Merci. Vous n’avez pas d’autres options ? Naaan, va faire tes devoirs. Pffff. À la place, je faisais le mur. C’est en même temps no future et totalement fertile. J’avais aussi peu de recul sur l’époque que je vivais que j’en ai aujourd’hui, mais j’en ai tiré une leçon. N’en faire qu’à ma tête. Ça ne sert à rien de flipper. N’empêche, je me souviens qu’on ne s’habillait pas très coloré et qu’on aimait bien ça. C’était notre glam à nous, notre esthétique fin de siècle, notre réponse à l’extrême flamboyance des 80’s. On en a tiré des esthétiques nouvelles, des lignes fortes, des créateurs cultes. Helmut Lang, Martin Margiela, Jil Sander… Une icône absolue, trop petite et maigrichonne était en train de naître et rendait, en un regard perdu dans le vague, toutes les tops complètement ringuardes. Kate Moss. De l’underground de la musique froide et répétitive que l’on appelait la techno affleuraient des violons et une voix sublime et si différente qu’elle nous a tous à un moment transpercés, celle de Björk. On se bleachait beaucoup les cheveux, on déchirait beaucoup nos jeans, on se mettait des diamants sur les yeux big up Topolino ! on voulait aller à Londres et on aimait le minimalisme. C’est pas évident de résister en ce moment à la vague de flip qui est en train de s’emparer de nos sociétés. On l’a senti très fort dans la mode, en cette rentrée. On s’est demandées pourquoi on était moins surexcitées par les looks des fashionistas, et Elisabeth m’a suggéré que c’est peut-être tout simplement qu’elles avaient moins fait d’achats cette saison. On a essayé de parler d’autre chose et toujours le sujet revenait. On s’est demandé ce que ça voulait dire, cette déferlante de non-couleurs, ce perceptible ennui, et la seule réponse est venue sous la forme d’une question En temps de crise, vaut-il mieux créer des classiques dans lesquels on aura l’impression d’investir, ou des pièces si fortes, qu’elles sont des must-have que l’on cassera sa tirelire pour avoir coûte que coûte ? Chacun y a répondu à sa façon, et j’ai autant aimé les deux versions. Margiela. Vuitton. En tout cas, moi, mes 90’s, je les ai aimées parce qu’elle ont été ma jeunesse. Si on m’avait demandé, j’en aurais certainement choisi d’autres, plus folles, plus drôles, mais en fait, je me serais peut-être moins amusée. Et puis j’en ai gardé un optimisme à toute épreuve, une conviction que quel que soit le contexte on arrête jamais de créer, d’inventer, une résistance à la peur, au cynisme, un truc où je me dis que quelle que soit l’époque dans laquelle on vit, si l’on fait ce en quoi l’on croit, si l’on est libre, et si l’on aime, il ne peut rien nous arriver. Oui, vous avez raison. Et j’en ai aussi gardé un certain amour des violons. Bonne journée ! ——————- Tului a pas dis que t'es en couple et vous deux vous êtes entrain de commencer une histoire et tu devais aller la voir c'est pour ça que t'es sortis après notre dispute tout a l'heure. Lui: J'suis sortis psq tu sais très bien que quand j'ai les nerf j'suis violent, et tu sais que jamais j'leverais la main sur toi donc arrête tes conneries Harry Potter 2005 ~¤~ Pré-au-Lard ~¤~ Rues de Pré-au-LardMalicia EvansPersonnel de Poudlard Re [Gare de Pré-au-Lard] Sur les quais Malicia Evans, le Mar 9 Mai - 027 Y a une musique qui résonne. Le boom, boom de ton coeurTu souris,Tes yeux se révulsent un peuLe rythme t’emporteC’est drôleComme c’est facile de laisserLe moment t’ doigts tapent contre le solAu rythme qui tape dans ta têteUnDeuxTroisT’as l’impression que le corpsQuitte le solEt tu volesAvec les notesQui s’échappent de toiIl y a des rires aussi Qui résonnentMais tu ne sais pasS’ils viennent de toiOu s’il viennent du néantT’as plus conscience de rienJe ne sais pas ce que tu vois, toi. Mais t’as l’air de t’éclater. J’aimerais bien voir ce que tu vois parce qu’au niveau visuel, je ne suis pas capable de remarquer quoique ce soit. Je vois trouble, je ne peux me concentrer sur mon audition. J’entends le moindre bruit comme si tout était décuplé. Ta respiration, tes battements de coeur, les pas des personnes aux alentours. J’entends tout. Comme si j’étais ne sais pas commentMais ton corps est au solEn contact avec le bitumeFroid. contraste avec ta tes forces dans les te gauche à te diriges vers un mur,Ou une colonneTes mains se figentContre les suis le cheminDu bout des doigtsFascinées par le brillantQui essaie de s’ peu comme le chatQui essaie d’attraper le laserMais t’entends du mouvementComme si on bougeait derrière toiMais c’est toi Alhena. Qui t’agites sans dire un mot. J’hésite entre rigoler et te faire un câlin. C’est vrai, je n’avais jamais remarqué à quel point ces soirées, là, elles me manquaient. J’avais oublié que tu étais une des seules qui pouvait me suivre dans ces trips sans me juger vraiment. Alors je te regarde et je m’approche de toi. Je me pose à ton niveau en me laissant tomber légèrement. C’est comme si toutes mes forces m’avaient quittées. Et j’admire. Tu admires la chose devant ne sais que ça peut difficile à Puis tu le reflet de tes yeuxQue tu voisTu plonges dedans Comme tu sauterais dans l’ et tu fou ce que les pupilles dilatées te vont Bien. Alhena PeverellResponsable MDJ-GHarryPotter2005 Re [Gare de Pré-au-Lard] Sur les quais Alhena Peverell, le Jeu 11 Mai - 000 Mais euuuuuuhMaliciaaaBADABOUMPourquoi le ciel il tourne ? Pourquoi les nuages ils bougent ? Pourquoi y a des humains sur terre ?Et c'est quoi ça encore ? C'est froid Malicia, c'est trop froidAh non PardonC'est juste le solMais ça reste froid... OH MALICIA !!!!Il pleut ! Est-ce que tu crois qu'on peut boire l'eau de la pluie ?Parce que genre, c'est un peu sale non ? Mais ça reste des gouttes d'eau, alors on pourrait s'hydrater avec non ? HumHuuuuuuuuuumPfeuhMalicia, les gouttes elles agressent mon visage !!Mon si joli petit visageavec mon petit nezet mes pommettes Dis leur d'arrêter, steplait, steplaitElles me font pleurerMême si sous la pluieça se voit pasDis Malicia, Toi aussi tu as remarqué à quel point tu es jolie ? T'es blonde, t'es trop belleTon sourire il déchire, on dirait celui de la reine d'Angleterre Tu lui ressembles tellement, Et puis, je me suis toujours demandéeT'es pas un peu béarnaise ? On dirait que tu viens de là-bas !!!Oh mais !T'as un grain de beauté là ! L'est beau, l'est carrément mignonc'est chout'es chout'es pouffy avec ta blondeur et tes yeux gris -ou d'une autre couleur je sais pluset ton sourireet tes pupilles dilatées Viens on court ? Genre on court partout, on crie et on réveille tout le monde !Parce que c'est drôle, les gens vont être pas contentMais on s'en fiche d'eux quoi que...nonJ'arrive pas à bougerc'est trop dur d'affronter la pluieJe vais attraper froid je croisMALICIAMAAAALLIIIICCCIIAAANan Rien rien Je sais plus en faitJe crois c'est juste ton prénom Je voudrais le crierMais l'est mocheAlors je vais me taper la honte tu voisFaut que tu me comprennesC'est pas cool quand ta meilleure amie elle s'appelle MaliciaMaliceMaliciat'saisGenre, tes parents ils t'aimaient pas assez pour te donner un prénom correct tu crois ? C'est pas très gentilMais c'est pas grave, Parce que t'es belleque t'es encore mon amiealors on s'en ficheon est toutes les deux et c'est le seul truc importantgenre nous et le solc'est tout ce qui compteParce que le reste, on a pas besoin d'eux pour vivre correctementOu alors un peu d'eau et de nourritureAu pire, on mange nos cheveux et on boit la pluie, c'est suffisant Nan ?Mais siiiiiRooohAllez, Bisous ! Malicia EvansPersonnel de Poudlard Re [Gare de Pré-au-Lard] Sur les quais Malicia Evans, le Jeu 11 Mai - 052 Juste pour t'embêter, je te réponds vite Et…Et mais…Et mais tu vois pas ?Mais si !Regarde !Non, regarde là !Ce point clignote, je ton avis, c’est quoi ?Je sais pas, couleursElles apparaissentElles disparaissentTu crois qu’elles jouent ?Tu sais, à on jouait d’ se on avait 5 pourrait être vas te tu te lèves pas ?Tu veux pas jouer avec moi ?Tu m’aimes pas, c’est sûre que c’est suis trop déshydratée pour dans ma a les gros grosses larmes qui coulentComme si j’avais tout que je voulais juste jouer mon amie. Parce que t’es mon amie, non ?Bah oui, tu l’ pourrais raconter que j’ai uneCopine qui a le nom d’une étoileUne étoile jaune, en plus. Oui. C’est plus que tu sois ? Je sais pas, comme j’ai une petite étoile jauneComme crois qu’on me croira Si je le dis ?J’espère que que c’est rare les amies que toi,T’es un peu bizarre quand t’es t’es avec ça pardonne je lumières,Elles s’approchent crois…Tu crois que ça va nous kidnapper ?J'espère pas quand même. Tu sais,Les trucs tout là haut,Avec les qu’ils viennent récupérer des qu’ils viennent récupérer l’un des te tu pars, Dis moi au-revoir. Alhena PeverellResponsable MDJ-GHarryPotter2005 Re [Gare de Pré-au-Lard] Sur les quais Alhena Peverell, le Ven 12 Mai - 1519 MaliciaRegarde comment l'univers il est beauTout le monde il est contentY a des lumièresDes étincelles de couleurs qui partent dans tous les sensViens on se lèveet on saute dans les flaquesJ'ai pas envie de me cacherJ'ai pas envie d'être dans l'ombre encoreAllez viens on joueOn s'en fiche du resteParce que t'saisJ'ai mal au ventre moiAlors peut-être que c'est parce que j'ai mangé un truc périméMais les papillons dans le ventreLe vide intersidéral Je sais bien que c'est pas le même problèmeMALICIA Viens on joue Viens on abandonne le resteViens on les *mmerdeParce que c'est des humains, des êtres pas de lumièreIls sont là, ils errent dans une réalité qui me fait vomirREGARDE MALICIA Y a un insecte qui vient de passerL'est à côté de la plaqueah maintenant il est devantMais... euhJ'aime pas les bêtesJ'aime pas ce qui est vivant en faitSauf toiParce que t'es pas un problème T'es pas une angoisseT'es comme le lampadaire làTu m'éclaires le cheminTu peux poser des pierres sur le bordUne noireUne blancheUne noire Une blancheComme avec les échecsSauf que l'échec c'est quand on a pas buParce qu'on peut pas danserOn peut pas s'embrasserMal...IciaT'es un peu une esclave de la bêtise quand tu t'y metsT'es un merlinUne sorcière qui tire les cartesavec ta boule de cristal, tu me montres c'est quoi l'avenirT'es le chemin de fer du trainMais tu glandes rienParce que la flemme c'est parfaitAlors tu restes là sur la solAvec moiParce que c'est rigoloC'est trempé et on se fait agressé par des nuagesPrends moi la main comme une enfantDevient le papa et je jouerai la maman Tu crois que si avait un fils, On l'appelait comment ? Dis comment on l'appellerai ? On lui trouverait un nom tout pourri Parce que c'est amusantOn verra comment il se débrouillera avec son petit nom commençant par un ALhena ou MAliciaCe sera notre filsNotre truc qui sert de gosseC'est beau... Adonys MontgomeryG. TechniqueHarryPotter2005 Re [Gare de Pré-au-Lard] Sur les quais Adonys Montgomery, le Mar 13 Juin - 1526 Sans réponse depuis un mois, je me permet de reprendre, ma volière est ouverte si soucis ...Départ silencieuxavec Josephine CampbellAujourd'hui était un jour particulier pour les élèves de Poudlard, c'était le dernier jour de l'année scolaire. D'ici quelques heures seulement, tous retrouveraient leurs familles respectives et le grand château redeviendrait aussi calme et paisible que possible pour les deux mois à venir. Déjà, quelques groupes d'élèves avançaient vers les quais, discutant de leurs derniers cours et de leurs projets pour les vacances. Se promettant milles hiboux et milles autres merveilles nonchalamment contre le mur de la gare, Artemis regardait passer avec envie et tristesse les petits groupes qui se quittaient. Que n'aurait-il pas donner lui aussi pour être encore entre les murs du château ... Sa vie d'aujourd'hui n'avait plus rien à voir avec celle, pleine de promesse, qu'il avait vécu l’école. Aujourd'hui tout n'était plus que souffrances et désillusions. Il vit passer Elina non loin de lui, suivit de près par Nyx. Ces dernières, il ne les avait plus revu depuis leur combat dans la forêt. Il faut croire qu'avoir un ennemi commun rapproche les l'une ni l'autre ne lui adressa le moindre regard et c'est avec un pincement au cœur qu'il les vit monter dans la grande locomotive rouge, sans dire un mot. Il observait, silencieusement, la foule qui se faisait de plus en plus dense à mesure que l'heure du départ approchait. Sa nuque se mit à picoter doucement. Il balaya la foule du regard, cherchant la cause de cette sensation étrange lorsqu'il la vit. Elle ...Son cœur loupa quelques battements et sa respiration fut saccadées quelques secondes. Il ne l'avait pas revu depuis l'épisode du bisous à la poire et au citron coco. Elle avait pourtant tenter de le contacter, mais il n'avait pas donner de suite. Trop peur sans doute que ses sentiments ne le perdent comme ça avait déjà pu être le cas avec Elly. Pourtant, il ne pouvait s'empêcher d'y penser souvent, à elle ... son regard. C'est d'ailleurs à ce même qu'il sancra tandis qu'elle approchait doucement ... Josephine CampbellGryffondor Re [Gare de Pré-au-Lard] Sur les quais Josephine Campbell, le Mar 13 Juin - 2146 Le temps était radieux. Ça donnait le ton des vacances qui se profilaient. Josephine était sensée rester très peu de temps à Londres, juste quelque jours, histoire d’aider sa mère à préparer ses valises, puis elles devaient passer l’été complet dans la maison au bord du lac quelque part en France, que sa mère avait hérité à la mort de son grand père. Cela tombait bien, Jo n’aimait pas particulièrement vivre en ville et la maison du lac était perdue en pleine campagne, le village le plus proche se trouvait à plusieurs kilomètres. Depuis qu’elle était toute petite, elle avait pour habitude d’y passer ses étés. Ses parents avaient investit les lieux et en avaient fait une résidence secondaire, pourtant la jeune fille considérait ces lieux comme son véritable chez avait toujours hâte de s’y rendre, et cette année, encore plus. Elle était installée dans une des diligences que l’école mettait à la disposition des élèves pour se rendre à la gare. Elle était ballotée dans tous les sens, la tête appuyée contre la vitre. Ses camarades qui se trouvaient avec elle, étaient très agités. Ils n’arrêtaient pas de rire et crier fort. Elle n’allait pas se plaindre, elle était surement dans le même état les autres années. Ils passaient à présent à proximité du village. Jo ferma les yeux. Elle ne voulait pas voir le parc, ni la Tête de Sanglier. Ni lui. Surtout lui… Pourtant là, elle n’était pas en train de se remémorer son rire ? Elle rouvrit soudainement les yeux. Il était hors de question que cela continue. Elle devait se reprendre. Bientôt elle serait à des centaines de kilomètres de tout ça. A des centaines de kilomètres de ce qui aurait pu ressembler à un début de quelque yeux sombresSa boucheSes cheveux en batailleElle soupira en se prenant la tête dans les mains. *T’es complètement folle… *Elle devait penser à autre chose. Oui elle devait penser à cette vieille serre qu’elle avait décidé de réaménager en atelier de peinture, à ce cours de dessin dans lequel elle avait été acceptée en partie grâce à Peter…et qui avait lieu cet été. Ah oui Peter… C’était son dernier jour à Poudlard. Il fallait qu’elle le voit avant d’arriver à Londres. Il fallait qu’elle voit Ellana rireSes lèvres- Ah non mais c’est pas vrai !Ça lui était sortit comme ça. Maintenant ses camarades la regardaient comme si elle venait de s’échapper de Ste Mangouste. Elle leur fit signe que ce n’était rien et de toute façon, la diligence venait de s’arrêter. Ils étaient enfin arrivés. Elle descendit la dernière et entreprit de descendre sa valise toute seule. Elle aurait pu utiliser un sort pour la faire léviter et la poser délicatement par terre. Elle aurait pu… Mais elle était complètement perdue dans ses pensées. Sa conscience s’occupait de lui faire la moral.*Je t’avais prévenue ! Je t’avais dit de partir de ce fichu comptoir ! Maintenant, tu ne vaux pas mieux que toutes ces pauvres filles qui se refont le film en boucle toute la journée… Il ne t’a jamais recontacté après son hibou. Rend toi à l’évidence, tu ne l’intéresses pas ! Tu n'es qu'une gamine.*La valise tomba par terre, s’ouvrant par la même occasion. Toutes ses affaires s’éparpillèrent sur le sol. Josephine laissa échapper un juron et d’un coup de baguette remit le tout à l’intérieur. Elle remit sa valise debout et la tira jusqu’au quai de la gare. Il y avait un monde fou. Toute l’école était rassemblée dans ce si petit lieu qui vivait surement son moment le plus vivant de l’ amis ne l’avaient pas attendue. Maintenant dans toute cette agitation, elle allait avoir du mal à les retrouver et puis, elle n’était pas bien grande… Elle scruta la foule lentement pour ne pas les louper. Et ils étaient loin en queue de train. Jo soupira et traina sa valise derrière elle. Son regard fut attirée par une personne qui de part sa grande taille se distinguait des se figea et cessa de respirer. La personne qu’elle voulait fuir était là à une dizaine de mètres d’elle, appuyée contre le mur de la gare inspectant les lieux du regard. Il ne l’avait pas encore vu. Il fallait qu’elle fasse demi tour et s’en aille tout de suite.*Ne te fais pas d’illusion, il n’est pas là pour toi.*Sa main dans son coupSon baiserTrop tard. Il venait d tourner la tête vers elle.*En même temps tu n’étais pas censée décamper au lieu de rester plantée là?*Elle devait continuer à marcher… Il avait employé dans sa lettre des mots comme ça aurait été avec plaisir, malheureusement… », chambre d’ami », amicalement »… Cela ne pouvait pas être plus clair. Il ne voulait pas le même genre de relation qu’elle envisageait. Mais alors, pourquoi avoir fait tout ça ? Pourquoi avoir accepté de la revoir ? Quoi ? Il s’était rendue compte après l’avoir embrassée qu’elle ne lui plaisait pas ? Ou alors il s’était tout simplement jouer d’elle ? Est-ce qu’il pouvait être si mesquin ? Elle avait du mal à le croire… Elle ne voulait pas le croire. Et même s’il n’avait pas eu de mauvaises intentions et que sa démarche était sincère, pouvait elle seulement se contenter d’être une simple amie pour lui ? Non, pas à en croire la douleur qu’elle ressentait là à cet instant lorsqu’ils ne se lâchaient pas du regard. Ça faisait trop mal. Elle ne pourrait jamais se contenter d’avoir une relation purement amicale avec lui. Qu’il se la garde sa chambre d’ souffrance commençait doucement à faire place à la colère. Pourquoi est ce qu’il lui avait fait ça ? Pourquoi l’avoir embrassé si c’était pour en arriver à ça ?Ses yeux n’avaient pas pu se séparer des siens. Elle n’était plus qu’à quelque mètre de lui. Elle s’était approchée sans s’en rendre compte. Elle voulait le fuir pourtant elle ne cessait de d’avancer vers revint à elle lorsqu’un coup de sifflet fut donné. Signal qu’il était temps pur tout le monde de monter dans le train. Presque aussitôt, un de ses amis se planta devant elle, rompant ainsi le contact avec Lui. Il était venu l’aider à porter sa valise. Elle le remercia et le laissa partir devant. Elle retrouva presque aussitôt Son ne bougeait pas, c’est qu’il ne ressentait rien pour elle… Adonys MontgomeryG. TechniqueHarryPotter2005 Re [Gare de Pré-au-Lard] Sur les quais Adonys Montgomery, le Lun 19 Juin - 2136 Désolé pour l'attente, l'IRL à reprit le dessus ces deux dernières semaines ...Pétrifié sur place, il la regardait s'approcher sans dire un mot. Son rythme cardiaque s’accélérant à chaque nouveau pas qu'elle faisait vers lui. Leurs regards s'étant fixés l'un sur l'autre et ne décrochant plus. Il aurait voulu la prendre dans ses bras, l'embrasser et unir leurs lèvres à nouveau. Mais il restait là,sur place, sans esquisser le moindre même qu'il se demandais ce qu'il devait faire, une jeune fille vint se placer entre leurs deux regards. Elle s'adresse brièvement à Jo, emportant sa valise vers le train qui sifflait le départ ... son regard à nouveau se fixa sur celui du jeune homme et celui-ci sentait chaque muscle de son corps se contracter. Le cœur en l'aimait, il en était convaincu, mais il avait peur de cet amour et il devait clarifier quelques petites choses avec Elly et ce fameux Evan avant de s'engager à nouveau pour quoi que ce soit. Il adressa un sourire tendre et un regard plein d'excuses à demoiselle, avant de tourner les talons et de quitter la gare, le coeur au bord de l'explosion. Quel idiot ... » Josephine CampbellGryffondor Re [Gare de Pré-au-Lard] Sur les quais Josephine Campbell, le Mar 20 Juin - 1142 Il venait de lui donner le coup de grâce. Oui, il avait bougé. Mais pas du tout comme elle s’y attendait. Il lui avait sourit comme s’il voulait adoucir ou excuser ce qu’il allait faire juste après. Lui tourner le dos et partir. Elle s’était attendue à tout sauf à ça. Sa bouche s’ouvrit légèrement tout aussi surprise que sa dernier coup de sifflet retentit. Jo se laissa entrainer par un préfet qui passait par là et qui forçait tout le monde à monter dans le train. Elle était totalement hébétée par ce qu’il venait de se passer et se laissa faire sans broncher. Elle ne chercha même pas à entrer dans un compartiment, elle, resta debout un moment à coté de la porte du wagon le regard dans le vide. Ce n’est lorsqu’elle perdit l’équilibre et se rattrapa de justesse au mur suite à un virage amorcé par le train qu’elle se décida à rejoindre son groupe d’ entra dans le compartiment sans un mot et s’installa sur une banquette tout près de la porte de sortie. Elle prétexta la fatigue pour qu’on la laisse tranquille, ne souhaitant pas participer aux jeux qu’avaient prévu ses camarades et ferma les ce qu’elle s’en souvienne, elle ne s’était jamais sentie aussi mal. Elle avait du mal à respirer calmement et n’arrivait pas à s’ôter de la tête le visage d’Artemis. Il n’avait pas fait grand-chose et pourtant il venait de lui briser le cœur. Il ne lui avait fait aucune promesse, mais ses gestes et ses paroles signifiaient tout autant pour la jeune fille naïve qu’elle était. Peut être qu’il avait pensé qu’elle avait eu de l’expérience dans le domaine sentimental auparavant et que de ce fait, ne souffrirait pas pour aussi peu de non, ce n’était pas peu de chose à ses yeux. Elle s’était lancé à cœur ouvert dans tout ce tumulte d’émotions et de sentiments et maintenant qu’elle s’y retrouvait toute seule, elle se sentait complètement perdue et du RP Alice GrantSerdaigle Re [Gare de Pré-au-Lard] Sur les quais Alice Grant, le Mer 28 Juin - 2317 - HRP Post unique, bien avant l'aubeSuite...Suite à un sort conditionnel lancé par les phénixs sur les tracts, ils ressemblent à des journaux banals jusqu'à ce qu’un sorcier ou un moldu en rapport avec la magie ou autre ne les vous invitons à répondre à la suite des posts pour écrire la réaction de votre personnage s'il tombe sur l'un des de la cape -Tic, tac, tic, tac...T'es habituée à pas dormir et pour une fois t'avais une raison de rester éveillée. Tu as pas mal de rendez-vous importants aujourd'hui. T'espères ne pas arriver en retard pour le thé... c'est mauvais, froid. Ton sac à dos noir ne porte plus d'inscriptions, ni sa couleur d'origine d'ailleurs, t'as dû user de sortilèges pour le rendre méconnaissable. Son contenu n'a jamais été aussi important... tu as une toute autre idée en tête que de sauter dans un wagon. Enfin, tout ça est caché par l'illusion de la jeune femme pressée et un peu simplette que tu donnes ton visage est dissimulé par les lunettes rectangulaires de la potiche qui te sert de personnage, et tes yeux fixent frénétiquement l'évolution des aiguilles à ton poignet. Une perruque blonde aux cheveux mi-longs recouvrent les tiens. Tu portes des vêtements qui ne te serviront qu'aujourd'hui, ils ne sont pas foncièrement discrets mais ils t'assurent une certaine liberté de mouvement. Oui, ben t'as fait avec les moyens du comportement est semblable à ceux que tu croises, t'as l'air stressée et bien que ça ne soit probablement pas pour les mêmes raisons que les voyageurs, tu l'es. C'est ta première mission, elle est simple et tu n'as que deux impératifs alors t'as pas intérêt à foirer. Ne pas être reconnue et poser les affiches. Personne ne doit te remarquer. C'est le seul danger et l'unique défi comme à chaque fois. Mais là les ennuis sont un poil plus intimidants si on te choppe. Tu dois être invisible. D'ailleurs, tu le seras bientôt. Tu savais que cette cape, bien qu'achetée dans une boutique de magie noire, se retournerait justement contre les partisans de cette magie. C'est ce que tu t'étais dit pour justifier ton achat. Et il faut croire que t'avais raison. Pour une fois c'est pas toi qui payera les frais de l'ironie du sort. Destination les quais. La terre tourne, les gens marchent, les trains partent. T'es face au mur. Inspiration. Tu sors ta baguette ainsi que quelques unes des précieuses affiches, et en fixe le long, tout les cinq mètres environ. Sur la fin, tu cours presque, de peur que quelqu'un derrière ne touche une affiche et découvre trop tôt sa véritable nature. Tu en fais voltiger deux ou trois en l'air... leur apparence est celle de vieux tracts. Puis tu t'éclipses dans un coin pour saisir ta cape d'invisibilité, fermer ton sac et te recouvrir avec la cape, avant de filer à pas de loups vers l'étape suivante. Les mots tournent, les passants s'arrêtent, le phénix s' Mesdames, issus de la communauté magique ou ayant des liens de parentés ou familiales à cette communauté. Nous affrontons encore aujourd'hui une période de terreur. La même qui s'est déroulée quelques années auparavant, et quelques siècles plus tôt. L'école de Poudlard a été attaqué. Certains enfants, étudiants, ont été pris en otage. Vos enfants. Votre famille. La menace est toujours plus grande en cette période de trouble. Un directeur disparu, des professeurs incapables de protéger leurs élèves attention, ne remettons pas en cause la formation de ceux-ci mais plutôt l’incompétence des autorités du ministère à protéger et défendre ses citoyens contre la crainte et la peur. Le ministère se trompe d'ennemis. Les attaques, les arrestations sont en priorités contre ceux qui, comme vous, ne veulent plus vivre dans la peur, la terreur. L'Ordre du Phénix est là pour vous aider à vaincre, à vivre et non pas à survivre. Malheureusement, les autorités prennent nos actions de révolte contre l'obscurantisme et la peur comme un crime. Nous sommes des Hors la Loi aux yeux du ministère. Et pourtant, que serait un monde où l'union entre le ministère et les Phénix serait possible ? Main dans la main, nous pouvons vous aider à vaincre votre peur, à vaincre cette doctrine. Les Mangemorts veulent certes, briser le secret magique. Mais leur unique but est de mieux asservir, pour former une "race supérieure" envers d'autres humains, sorciers, non-sorciers, issus de la communauté magique ou non. Nous sommes là pour défendre vos droits, nous battre en votre nom, s'assurer d'un monde meilleur pour tous les êtres vivants. Chacun à sa place dans le monde. Nos actions se trouvent limitées par un gouvernement qui nous cible, nous, citoyens de lumière, de paix et d'harmonie et qui ne cherche pas à prendre pour ennemis les vrais criminels et terroristes de notre temps. Les vrais coupables. Nous sommes tous Phénix au fond de nous. En tant que sorciers, en tant que défenseur de liberté et de fraternité. Aujourd'hui, nous déclarons le Ministère coupable de ses actes. Coupable de l'insécurité qui règne dans la Communauté magique. Coupable de ne pas diriger ses recherches et ses élites vers les véritables criminels. Nous déclarons coupables les mages noirs, auteurs sanglants de tortures, de meurtres, de manipulations mentales et physiques, d'obscurantisme. Tout ce que nous voulons, c'est aider la Justice, aider la Communauté à vivre paisiblement. VOUS AIDER à obtenir ce que vous avez le droit d'avoir. En travaillant mains dans la main avec vous, nous pourrons faire de ce monde, un monde meilleur. Un monde emprunt d’honnêteté, de gloire, de justice. Un monde sain. Aidez-nous à protégez vos enfants, vos familles. Nous ne sommes pas des criminels, nous ne sommes pas des héros. Nous sommes seulement des boucliers levés contre la tyrannie et la suprématie. Brandissez-nous, boucliers, défendez vos valeurs face au Ministère. Demandez notre aide. Aidez nous à agir, plus rapidement, plus efficacement. Nos flammes punissent, nos larmes guérissent. L'Ordre du Phénix Codage de Louna © Elrin EredinGryffondor Re [Gare de Pré-au-Lard] Sur les quais Elrin Eredin, le Dim 9 Juil - 1905 [RP avec Kohane Werner, donc le LA est accordé]Quand tout dérailleElrin avançait au gré d’une envie inexplicable sur un chemin bordé d’herbes à l’éclat falot. La symphonie cristalline de la brise ponctuait sa marche, subjuguant le ciel et son âme. Derrière elle s’étendait des maisons aux toits pointus, pales ébauches de géants sous la carté lunaire. Ce petit sentier champêtre, à mi-chemin entre nature vierge et civilisation, élevait en elle un sentiment de bien-être total alors qu’elle s’imprégnait des bruits et de l’odeur environnants. A sa gauche, un insecte se faufilait dans la végétation avec un léger bruissement, sûrement attiré par la senteur capiteuse de l’humus. En aval, Elrin perçut un net arôme qui trahissait la présence de champignons… de quoi faire une bonne soupe au le bonheur des promenades nocturnes après une longue journée de cours ! Enivrée par l’atmosphère, Elrin démarra un sprint grâce à une détente irréelle dont elle avait le secret. Bientôt, l’environnement se mua en tableau incertain, déroulant ses motifs qui imprimaient la rétine de la jeune femme tels des spectres éphémères. Mais Elrin les ignora, fuyant ce monde et savourant la liberté unique qu’elle vivait, loin de ses limites, loin de tout…Soudain, une feuille vola dans son sillage et se perdit quelque part entre ses cheveux et son bonnet aux anneaux métalliques. Stupéfiée, elle s’arrêta, attrapa l’objet puis le détailla avant de grommeler il était complètement vierge. Enfin, pas tout à fait. Alors qu’elle remettait en place sa crinière blonde avec déception, un ensemble de lettres fourmilla sous les yeux d’Elrin pour composer un message. Elle réalisa aussitôt de quoi il s’agissait. C’était un tract de l’Ordre du Phénix qui appelait ouvertement à la prudence et au rassemblement contre la menace des Mangemorts et du désordre politique. Même si c’était un gâchis de papier à ses yeux, Elrin trouvait les intentions du message louables. Ou du moins les intentions apparentes. Il était difficile d’émettre un avis concret sur cette faction nébuleuse, prise dans une guerre avec le Ministère et les Mangemorts tandis que la population souffrait des feux croisés. Une stupide guéguerre par moments, soyons honnêtes, pensa Elrin, le nez retroussé en signe de dégoût. Interrompre ma soirée pour des bêtises pareilles, tsss. »Elle brûla le tract en utilisant sa baguette, Hyvä, comme un briquet. Regardant les braises s’élever sous formes de volutes noircies, Elrin finit par reprendre son jogging improvisé après avoir rangé Hyvä dans un étui qu’elle portait à la cuisse gauche. Mais la gare de Pré-au-Lard l’interrompit une seconde fois au bout de cinquante mètres. Elle toisa les hauts murs de pierre sombre dont la froide robustesse avait dû briser de nombreux rêves. Pourquoi était-elle venue ici, déjà ? Elle avait en horreur les gares. D’une certaine façon, elles lui évoquaient un voyage à l’issue prévisible que chaque arrêt condamnait un peu plus. Légèrement déçue de voir son plaisir gâché, elle saisit un caillou et le jeta à l’aveuglette. Une note stridente se répandit dans l’air tandis que le projectile rebondissait contre un rail. Ah, les rails ! Ces symboles de captivité qui dessinaient une ligne mortelle, rigide et immuable sur laquelle se pressaient des trains fourbus. Elrin n’aimait guère leur aspect. Ils lui rappelaient par trop les chaînes qu’elle avait observées à maintes reprises dans les plus sombres recoins des cachots, à Poudlard. Elle tourna son regard vers eux et grimaça moches, glacés, sans vie. Beurk. Elle n’y attacherait personne, pas même ses ennemis mortels…A la faveur de la Lune, Elrin distingua alors une silhouette immobile qui marmonnait toute seule dans l’obscurité. Son cœur exécuta un triple saut périlleux. Elle se précipita en avant, la main levée, criant d’une voix forte -Hé, qu’est-ce que tu fais ici ? Lève-toi et bouge !Malgré l’heure avancée, la sorcière ne s’étonnait pas de voir quelqu’un ici. Dans les faits, la compagnie des autres ne la dérangeait même pas. Si Elrin avait toutefois un gros problème, c’était parce que la silhouette ne se trouvait pas sur le était allongée en travers des rails. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re [Gare de Pré-au-Lard] Sur les quais Kohane W. Underlinden, le Jeu 20 Juil - 026 Kohane a encore 17 ans au moment du RpC'est presque comme une gare désaffectée. Tellement elle est vide ce pas de gens qui attendent sur le de train à l' rien. Que du vide. Que de la nuit pour envahir l' il y a moi, quand même, aussi. Moi qui ai marché, moi qui suis arrivée ici. Je suis plantée sur le quai. Sans rien faire. Comme si j'attendais un train qui ne passera statique dans le fait un peu frais ce soir. Mais cela ne me dérange ne frissonne pas. Ne tremble pas. Je suis juste bien au grand air. Un instant, je contemple la buée qui sort de mes lèvres entrouvertes. Ca fait des formes. C'est joli. On peut y voir tout un tas de trucs. C'est comme dans les nuages. Parfois, y'a des chameaux. Ou des dragons. Des châteaux un peu difformes. Des lapins à corne. Un chapeau troué. Un hippopotame aux dents trop longues. Bref, les nuages, c'est magique, on y voit vraiment plein de buée qui sort de la bouche par les temps frais de nuit, c'est un peu une échelle formes sont plus tout aussi suis c'est heureuse que je repars sur mes petites qu'il est temps de se bouger. Je ne vais pas rester indéfiniment à contempler des rails. C'est pas très beau, je trouve. Il y a mille et une choses bien plus merveilleuses que ça !Je me mets donc à trottiner. Silencieuse. qu'il s'agirait pas d'attirer l'attention sur moi. On pourrait me prendre pour une squatteuse de voies de chemin de fer, un truc dans le genre. Et vouloir me je ne squatte pas !Je ne fais que contempler une gare vide en pleine très instructif, je vous apprend qu'il n'y a pas de trains nocturnes à que les gens ne dorment pas non plus dans la gare en attendant le lever du je suis seule. Résolument seule. Mais ça ne me dérange pas. Pas ce soir. Pas en ce moment. J'aime la douce solitude dans les moments de réflexion. Il faut dire aussi qu'après le bruit continuel aux Trois Balais, on est heureux, une fois le service fini, de retrouver le calme de la commence à raser les me fondre dans la fondre dans l' soudain, c'est comme si le mur venait de s'illuminer d'une lueur magique après tout, on se trouve à Pré-au-lard, village peuplé uniquement de sorciers. Je m'arrête, interloquée. Pour voir une affiche terne et sans intérêt se woh, c'est quoi cette histoire ?Depuis quand on fait des affiches qui changent d'aspect comme ça, tout à coup, sans prévenir ?Moi j'aimais bien son côté terne, sans nuance, sans couleur. Parce que ça se fondait avec le reste. Avec la nuit. Avec mon moi qui essaie d'être là. Il n'y a plus de gris, de noir, de cela est remplacé par du vif, du jaune, du orange, du tiens, mais c'est pas le symbole de l'Ordre du Phénix, ça ?Le zozio de feu qui appelle au rassemblent ou un truc dans l' zozio de feu censé réchauffer les âmes et porter pas vraiment pour moi, me réchauffe très bien toute seule. Avec mon propre feu. Qui brûlera tout sur son passage. Attendez encore un peu que la flamme se développe. Et vous seconde-suspend, je reste bloquée devant le symbole mes yeux voient le trop long Beaucoup. Trop. de lire, plus, ça me concerne y a des choses bien plus intéressantes au bout de ce choses que je viens tout juste de s' l'affiche non lue, je cours vers mes amies, mes cousines, mes sœurs de leur tends les bras l'air de dire attendez moi, mes belles dames .Hum...Elles me font résonner leur douce mélodie à mon oreille comme comme je les aime !Je regrette qu'une seule chose que mon frère étoilé ne soit pas là. Avec moi. On aurait couru sur les rails. Pour rejoindre les astres. Ca aurait été tellement voilà les faits il n'est pas suis je décide d'admirer le spectacle dans ma réfléchir, je fais quelques pas, nez levé vers le je m'allonge pour encore mieux les voir, mes sœurs commencent à pailler doucement, à raconter des histoires qui font voyager tout autour de la terre -c'est qu'elles en ont vu, du paysage !Je leur voix reste travers des les écouter soudain, une voix qui ne leur appartient pas se met à résonner, brisant ce voile de calme qui m' sursaute apercevoir une ombre sur le ombre qui paraît tournée vers ombre qui a a quand même osé interrompre ma séance plus, les étoiles étaient en train de conter un voyage initiatique des plus c'est pas finis par m'asseoir mais ne bouge pas. Ne réalisant pas vraiment où je me trouve. Tout ce qui m'importe, c'est qu'il y a les étoiles. Là-haut. Et que j'étais en train de les regarder. Les ? Qu'est-ce qu'il y a ? je demande, d'un ton légèrement agacé. Elrin EredinGryffondor Re [Gare de Pré-au-Lard] Sur les quais Elrin Eredin, le Dim 13 Aoû - 2115 [RP avec Kohane Werner]Quand tout déraille [troisième partie]La silhouette, qui dans les faits appartenait à une femme, n’opposa aucune réaction. Quelque chose de sibyllin semblait la perdre dans une contemplation passive du ciel. Discutait-elle avec les étoiles, avec les éléments, comme il arrivait si souvent à elle-même de le faire… si on excluait les rails ? Forte de cette interrogation, Elrin finit par laisser ses craintes en retrait et avança à pas lents vers la jeune. Car oui, elle ne devait pas avoir plus de son âge. Peut-être même appartenait-elle à Poudlard. Pour autant, les quelques rayons lunaires qui brillaient ci et là ne purent lui confirmer cette hypothèse. Quand l’insolite se redressa, Elrin sut qu’elle avait noté son avança donc un peu plus, guettant d’une oreille le bruit qui trahirait l’approche d’un Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?Elrin, qui remarquait chaque détail bien malgré elle, ne s’y trompa pas. Difficile d’émettre une réponse plus agacée, comme si on lui gâchait son petit plaisir… Elle soupira de soulagement malgré tout. En effet, il devenait clair que les intentions premières de l’inconnue n’allaient pas au suicide ; sinon elle lui aurait demandé de partir. Probablement. La sorcière devait s’en assurer une bonne fois pour demander la permission, Elrin bondit depuis le quai jusque sur les rails avec une souplesse féline. Pour toute réponse, les anneaux métalliques de son bonnet produisirent un tintement cristallin qui courut la gare. Elrin se demandait comment le métal, si froid au premier abord, pouvait réchauffer le cœur d’une simple note. Un vrai mystère... Mais pas désagréable à brièvement l’inconnue dont les cheveux formaient une masse noire, Elrin plaqua ses mains derrière elle et se fendit d’une expression hésitante. Que devrait-elle faire ? L’arracher à son inconscience malgré son refus évident ? Lui tenir compagnie pour veiller au cas où ? Rien de tout ça ?Et puis merd*. On s’en foutait. Ras-le-bol de passer sa vie à douter, à chercher la réponse. Pas ce soir, sérieux. Elle était fatiguée. Elle avait choisi. Choisi de ne rien Je ne sais pas vraiment ce qui t’a poussée sur des rails, souffla-t-elle à sa voisine d’une voix qui se fondit dans le vent. J’imagine que la vue y est meilleure et que tu as quelque chose comme une histoire à lire dans le ciel. Si l’histoire dit qu’on doit finir toutes les deux notre soirée sur ces rails, alors je veux lire, elle s’allongea à son tour, vide de crainte mais emplie d’intérêt, plongeant ses iris bleus dans l’immensité céleste au voile brillant. Ses sœurs lui adressèrent alors un petit clin d’œil. Elrin sourit. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re [Gare de Pré-au-Lard] Sur les quais Kohane W. Underlinden, le Jeu 7 Sep - 1948 Lèvres légèrement pincées, je scrute la silhouette dans le noir. Cette silhouette féminine sans nom, juste une voix qui m'a interpellée. Instant ; on se jauge on se hop, soudain. La voilà, la créature de la nuit, qui saute élégamment sur les ne semble finalement plus si décidée à me faire bouger de alors...Ou alors elle vient pour se saisir carrément de moi et me pousser loin des étoiles ?! Oui... si ça se trouve, elle vient là pour me contraindre physiquement à plissés, air méfiant, je la regarde s' je me promets que je ne m'en irai pas d'ici. Je ne décollerai pas mes fesses de là sans avoir lutté bec et ongles auparavant. C'est que les étoiles sont au-dessus de ma tête. Et qu'elles rient, ici. Je les entends distinctement. C'est ma famille adorée, préférée ; j'peux pas m'en aller et les laisser alors que je peux encore profiter d' tout, je ne laisse rien filtrer d'un quelconque geste d' ça se trouve, elle est pas là en ennemie. Mais en contemplatrice de cette large famille astrale. Elle aime peut-être les étoiles, elle aussi. Et s'est rendue compte qu'ici est un superbe point de vu !Elle imperceptiblement, mes poings se crispent un un réflexe face à l'inconnu peut-être adversité. Quand on sait pas, on reste méfiant, on observe, on analyse, on évalue. Et on voit après s'il faut sourire ou retiens presque ma respiration. Priant intérieurement pour qu'elle passe sa route si les étoiles ne l'intéressent pas. Je peux accepter quelqu'un qui aimerait partager cette belle et magnifique famille avec moi. J'suis tolérante, hein ! J'accepte tout le monde ! Mais quelqu'un qui n'en aurait rien à faire et ne chercherait qu'à me faire dégager d'ici pour une obscure raison, ça, donc qu'elle parle la première pour savoir quelle attitude enfin, j'entends sa voix qui s'élève pour la deuxième fois dans le rails ?Oh, j'suis sur les rails ? vrai.… si grave que ça ? Genre y'a écrit interdit d'écouter les étoiles depuis les rails ? Nah, j'crois pas, hein ! Puisque les étoiles racontent alors que je suis installée là. Si c'était pas autorisé, elles raconteraient pas et me diraient d'aller ailleurs pour les écouter. Mais comme ce n'est pas le cas...Alors que la voix de l'inconnue retombe, je me dis qu'elle est là elle aussi pour écouter les étoiles. Elle n'essaie plus de me chasser. D'ailleurs, elle s'allonge à côté de !C'est bien, aussi, d'écouter des histoires à deux. Ca fait un beau poil rassurée, je m'allonge à mon tour, retrouvant ma position initiale. Les yeux perdus dans la couverture nocturne parsemée de piqûres pas lire. Faut sont belles, ce soir. Elles sont toujours belles, d'ailleurs. Mais certains soirs plus que d'autres. Par exemple aujourd'hui. Ou la nuit où j'ai fait la connaissance de mon frère souvenir m'arrache un nouveau nuit magique porté par l'amour intergalactique et astral qui nous a unis, lui et Décidément. Il y a certaines nuits plus belles que d' ce soir, c'est assez joli, racontaient une histoire de voyage. Un voyage d'apprentissage pour un jeune sorcier si naïf. Schéma classique. Mais agréable. J'aime bien leurs voix et leurs ferme les mieux de la nuit, le vent frais sur les Expiration. Tout est si les entends ?Murmure dans la nuit. Voix si on chuchote lors d'un spectacle ou dans une salle de cinéma. Ne surtout pas déranger l'histoire qui se raconte mais la commenter quand le grand théâtre du joue souvent des pièces plus que j'en suis une des premières admiratrices. Alhena PeverellResponsable MDJ-GHarryPotter2005 Re [Gare de Pré-au-Lard] Sur les quais Alhena Peverell, le Sam 28 Oct - 1853 Flash-back avec Leo, 17/16 ans. LA mutuels. Reprise du sujet, MP si heureux ? C'est quoi ? Elle ferme les yeux. Il y a cette odeur de pin qui envahit l'air, il y a le bruit du vent qui frôle les arbres. Les étoiles éclairent le monde, le temps est suspendu, la gravité est détraquée. Les sens et les humains sont dispersés. _Elle ferme les yeux, mais elle sourit au monde depuis bien longtemps. Elle n'a jamais réellement connu ça, toutes ses sensations inexplicables. Ce coeur au bord de la falaise qui ne demande qu'à tomber. Elle marche sur un fil tendu, et étrangement elle n'a pas peur de tomber. Elle veut pouvoir vivre jusqu'à en crever, jusqu'à ce que le soleil n'ait plus d'intérêt à se lever. Elle se tourne vers le bruit avenant. Elle avance vers le jeune homme assis sur le quai, jambes dans le vide. Ses émeraudes détaillent chaque grain de peau, chaque cheveu, chaque bordure de lèvres. Elle aimerait pouvoir poser ses mains sur son visage, tracé son regard et ses souffles. Mais elle n'a pas le droit. Elle n'est pas certaine d'en avoir le droit. Pourtant, elle passe ses bras autour de ses épaules, sans savoir pourquoi. Elle ne demande pas la permission, elle fait ce dont elle a envie. Tant pis pour la suite, elle avait envie d'obéir à ses pulsions. Qu'importe ce qu'elles représentent du moment qu'elles ne sont pas un danger pour autrui. Salut toi, alors dis-moi, qu'est-ce que tu as prévu à faire comme bêtises ce soir ? Je suis partante pour faire n'importe quoi moment que je suis avec toi, mais ça ne tu le sauras jamais. Parce que j'ai trop peur de t'avouer les mots qui comptent. Elle se détache de lui, se pose à ses côtés et sort le nécessaire. Quelques gouttes qui dévalent l'estomac, quelques poumons endommagés. Juste histoire de s'amuser un peu, c'est nouveau pour elle. Mais pas trop, parce qu'elle ne veut pas se détruire. Elle veut pouvoir être heureuse sans avoir à penser à sa santé. Un sourire effleure ses lèvres. Elle a hâte de savoir ce qu'ils allaient faire ici. Peut-être dessiner des choses sur des murs ? Ou alors qu'il avait caché une caisse de sous-vêtement d'un prof pas loin, et que la gare allait adorer être décorée de cette manière. Ou alors, peut-être qu'il voulait simplement lui dire une chose importante ? En vérité, elle n'espère pas, elle n'aime pas le sérieux, elle n'en veut pas. Elle veut juste s'amuser sans penser aux conséquences et au lendemain. Elle voulait peindre le ciel avec des sourires,Elle voulait tourner sous la pluie, Elle voulait respirer comme jamais, Et elle était heureuse de le penser. Shae L. KeatsGryffondor Re [Gare de Pré-au-Lard] Sur les quais Shae L. Keats, le Lun 30 Oct - 1917 Flash back de 9ans Leo a 17 ansIl se tient droit. Insouciant comme il ne l'a pas été pendant longtemps. Comme il l'est depuis quelques semaines, quelques mois, il ne sait pas vraiment. Il n'a plus besoin de compter. Ça fait quelques temps que les jours passent différemment. Qu'il a conscience de tout ce qu'il entoure, de la vie qui s’étire. Parce qu'il mord dedans. Chaque instant. Avec elle. C’était pas prévu, c’était invraisemblable, et pourtant. C’était le début de l’été et la soirée tombait. L'air sentait la menthe fraiche et l'herbe coupée. Elle allait arriver. Dans les secondes, dans les minutes, et il se détendrait. Il se laisserait aller, comme toujours. Plus rien n’était réel problèmes lorsqu'elle était aux alentours. Leister et ses idées restaient ranger dans un coin de ses pensées. Il n'y a rien a penser, rien a ruminer, le monde n'a pas encore frapper. Il y a juste l’insouciance, La fougueuse jeunesse et la genereuse sait qu'ils pourraient passer sa nuit ici, a regarder les étoiles sans rien dire, que ça vaudrait quand même le coup. Que même en partant de rien ils arrivaient a faire des nuits des instants de folie. Juste par une poignée de mots. Par un sourire. C'est fou comment le monde arrêtait de tourner quand ils riaient ensemble. Y avait rien d'autre qui comptait. Il avait cette arrogance qu'il croyait délicieuse des jeunes de son ages, mais qu'elle savait canaliser. Il y avait entre eux un équilibre que lui n'aurait jamais pensé trouver la. Ils n’étaient pas d'accord sur tout, loin de la, mais ils ne s'ennuyaient jamais. Et voila ses bras qui lui enserre les épaules, et le cœur qui loupe un battement. Ça fait quelques temps, mais ça ne s’arrête toujours pas. Ce vide dans la poitrine quand elle est la. Cette sensation de vide que seule sa voix parvient encore a combler. Il ne sait pas ce que c'est, il n'arrive pas a le nommer. Mais il veut le sentir encore et encore. Jusqu’à ce qu'un matin son corps soit trop fatigue pour se relever. Il ne lui avait rien dit encore. Les mots n’étaient pas vraiment leur fort, mais peu importait au final, ils étaient aussi indépendant l'un que l'autre, et c’était très bien comme ça. Salut toi, alors dis-moi, qu'est-ce que tu as prévu à faire comme bêtises ce soir ? Je suis partante pour faire n'importe quoi se redresse, et bascule la tête en arrière pour la voir. Pour refabriquer des images de son visage et les garder pour plus tard, sans que sa mémoire ne les altèrent. Sans que rien ne les rende terne. J'en sais rien j'ai rien prévu, j'ai envie qu'on se laisse porter. Qu'on improvise. Elle s'assoit et sort tout ce qui n'est pas encore interdit a cet age, tout ce qui n'est pas accoutumance et perte de soi, mais juste un accessoire de soirée. Un tube de cancer aux lèvres et quelques gouttes amer en arrière gorge, dont il n'aime pas encore le gout. Il avait envie de tout repeindre avec des couleurs vives, Des couleurs qui brulent les yeux. Du rouge du jeune, du orange, du bleu ciel. Repeindre les murs a grands coups de rire pour que rien ne s'oublie. Tu as quelque chose en particulier ?Une idée ?Une envie ? Dernière édition par Shae L. Keats le Mar 19 Déc - 2015, édité 1 fois Alhena PeverellResponsable MDJ-GHarryPotter2005 Re [Gare de Pré-au-Lard] Sur les quais Alhena Peverell, le Ven 17 Nov - 1949 Elle le regarde. Il y a dans ses émeraudes, cette lueur d'espoir qu'on n'aurait jamais cru voir un jour. Il y a cette douceur pour l'être en face, cet amour indéfinissable qu'elle n'est pas certaine de comprendre. Il y a ce sourire qui encourage les humains à danser, à fermer les yeux et à se laisser porter par le vent. _Ne pas penser à demain, ne pas vouloir grandir, profiter d'être vivantAvec lui, elle voudrait tout faire. Elle voudrait vivre à en crever, s'épuiser à respirer, s'écorcher les bras à en être heureuse. Elle adorait tout chez lui, ses yeux bleu-gris, ses cheveux ébène, chacun des traits de son visage. Elle pourrait passer des heures à le contempler, le coeur serré à se demander ce qui va se passer dans la suite. Mais elle ne le fait pas, parfois même, elle préfère l'éviter du regard. Elle préfère faire comme, si ce n'était pas important. _C'est toujours plus facile d'être lâcheDu moment que je suis avec toi, tout me vaC'est un monde, que seule elle connaît. Et chaque jour, elle se surprend à le prendre par la main pour l'emmener là-bas. Elle se surprend à se demander, si un jour, ils auront un endroit que seuls eux connaissent. Une vie, un univers si intouchable parmi les fantasmes et les rêves. Là où le ciel ne touche plus la terre à l'horizon. Là où les couleurs se mélangent. Aujourd'hui, la toile n'est plus blanche. Il y a l'esquisse des arbres qui les entourent, les branches sèches qui les observent, les feuilles sur le sol, les fleurs bleues et les animaux de nuits. La lune s'accouple avec les étoiles, pour offrir une symphonie invisible à une atmosphère féerique si dégénérée. _Comme une rose rouge banale, mais avec encore quelques épinesSi tu veux on peut danser, regarder les étoiles ou alors... J'ai ça !Soudainement, le sourire aux lèvres, elle se tourne vers son sac. Lentement, elle y sort une boîte métallique assez ancienne. L'objet est imprégné de la magie du passé, des instants capturés qu'il garde en mémoire. Des souvenirs, des familles...Je l'ai volé sur un marché moldu, apparemment c'est assez vieux. Le marchand avait nommé ça, appareil photo argentique je crois. Mais je ne sais pas vraiment l'utiliser, je ne suis pas encore habituée au monde extérieur... Je ne sais même pas, si on a un équivalent sorcier. Je, j'ai toujours vécu la tête plongée que dans les livres...Elle baisse les yeux, elle ne sait pas vraiment si elle paraît stupide ou non. Elle n'a aucune idée de ce qu'il va penser, peut-être qu'elle est juste une idiote au sourire trop naïf. Assise sur le quai, elle se recroqueville lentement sur elle-même. Comme si elle avait, froid, mais elle est plus gênée qu'autre chose. Elle ne veut juste pas le faire fuir, elle veut juste sentir sa présence encore quelques instants. Quitte à ne plus jamais rien dire pour que ce moment soit éternel. Quitte à arrêter le temps, pour vivre dans l'infini... Re [Gare de Pré-au-Lard] Sur les quais Contenu sponsorisé, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum Arrêteavec tes caprices translation in French - English Reverso dictionary, see also 'arrêté',arrêter',arrêt',arête', examples, definition, conjugation
+10Shanea C. ScarletteJay Z. HarrisonJailyn S. CoperfieldMary P. LinconParis S. BishopHaylee D. LewisLayla O'DestineeVanina C. HiltonÉlyanna H. SeeleyRemy G. Harley14 participantsAller à la page 1, 2AuteurMessageJay Z. Harrison▌Staff I'm just a dream, sorry. ► Messages 137•• Ta proie Et si c'était toi ? •• Humeur Good, always good =It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 95/100Fraternity & Sorority Lambda Phi NuSujet Re remy veut des amis a Lun 28 Sep - 1933 Oui Une idée de scénario ?_________________"If we'd go againAll the way from the startI would try to changeThe things that killed our loveYour pride has built a wall, so strongThat I can't get throughIs there really no chanceTo start once again" Shanon R. DementerellaSHA' ▬ Touch me baby. I know you want me. ► Messages 113•• Ta proie Tous les mecs, ça compte ? a•• Humeur Happy Sujet Re remy veut des amis a Lun 28 Sep - 2206 Un lien ?[Jared <3 ] Jailyn S. Coperfield ► Messages 203•• Humeur Je ne le sais pas trop moi-même . . . It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 70/100Fraternity & Sorority Lambda Phi Nu Remy G. Harley ► Messages 30•• Ta proie dans tes draps propres, poupée.•• Humeur tranquille ^^It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 100/100Fraternity & Sorority Sujet Re remy veut des amis a Mer 30 Sep - 1815 Shanea Deux options on a atteri dans le même lit et depuis on ne s'arrête plus à faire des bétises x Ou tu essayes de me parler voir plus si affinités, je pourrais te repousser mais au fond tu me plais beaucoup ? Puis après, c'est en fonction du RP xParis J'aime, je te rajoute ce week end ^^Jay Tu aurais pu me croiser dans le parc avec ma guitare. Tu as bien aimé ma musique donc tu es venu me voir. On a longuement parlé et petit à petit, on se sentait en confiance, donc on est devenu confident ?Shanon Absolument, je l'aime trop panettière, idée ? Préférence ?Jailyn Voisins depuis que je suis aux States ? Jay Z. Harrison▌Staff I'm just a dream, sorry. ► Messages 137•• Ta proie Et si c'était toi ? •• Humeur Good, always good =It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 95/100Fraternity & Sorority Lambda Phi NuSujet Re remy veut des amis a Mer 30 Sep - 1912 Ouais j'aime bien = On se fait un sujet alors ?_________________"If we'd go againAll the way from the startI would try to changeThe things that killed our loveYour pride has built a wall, so strongThat I can't get throughIs there really no chanceTo start once again" Remy G. Harley ► Messages 30•• Ta proie dans tes draps propres, poupée.•• Humeur tranquille ^^It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 100/100Fraternity & Sorority Sujet Re remy veut des amis a Mer 30 Sep - 1913 Oui, qui s'en occupe et où ?Envoie moi un mp x Vanina C. HiltonSTAFF ▬ alias beauty spy girl a ► Messages 310•• Ta proie Trop pour toutes te les citer =$•• Humeur M a l a d e =$ Jailyn S. Coperfield ► Messages 203•• Humeur Je ne le sais pas trop moi-même . . . It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 70/100Fraternity & Sorority Lambda Phi Nu Remy G. Harley ► Messages 30•• Ta proie dans tes draps propres, poupée.•• Humeur tranquille ^^It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 100/100Fraternity & Sorority Sujet Re remy veut des amis a Jeu 1 Oct - 2027 avec plaisir vanina aje vous rajoute ce week end x Vanina C. HiltonSTAFF ▬ alias beauty spy girl a ► Messages 310•• Ta proie Trop pour toutes te les citer =$•• Humeur M a l a d e =$ Saphiree L. McCalister ► Messages 49•• Ta proie Personne pour l'instant, mais ca ne saurait tarder D•• Humeur Toujours bonne!It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 100/100Fraternity & Sorority Sujet Re remy veut des amis a Ven 2 Oct - 2347 OMG J'veux un lien! * SBAFF * Remy G. Harley ► Messages 30•• Ta proie dans tes draps propres, poupée.•• Humeur tranquille ^^It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 100/100Fraternity & Sorority Sujet Re remy veut des amis a Sam 3 Oct - 1845 Vanina; je m'occupe de tout et je t'envoie le lien par mp dés qu'il est fait aSaphiree; ahh greene, mon dieu, oui, une préférence ? Laura R. Elliott ► Messages 49•• Ta proie Haaaan, nan.•• Humeur Fatiguée, mais Re remy veut des amis a Dim 4 Oct - 1119 On est censé avoir un lien d'après le PV aa October G. Coldwell ► Messages 139•• Ta proie Tu n'est pas encore passer ? C'est pour bientot alors ;•• Humeur Bonne comme toujours =DIt's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 65/100Fraternity & Sorority Lambda Sigma Delta Remy G. Harley ► Messages 30•• Ta proie dans tes draps propres, poupée.•• Humeur tranquille ^^It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 100/100Fraternity & Sorority Sujet Re remy veut des amis a Lun 5 Oct - 1956 ahh laura d'amour <3t'as une idée october ? Laura R. Elliott ► Messages 49•• Ta proie Haaaan, nan.•• Humeur Fatiguée, mais Re remy veut des amis a Lun 5 Oct - 2003 Remy G. Harley ► Messages 30•• Ta proie dans tes draps propres, poupée.•• Humeur tranquille ^^It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 100/100Fraternity & Sorority Sujet Re remy veut des amis a Sam 10 Oct - 1301 Je vous réponds tous ce week end, je suis pas mal occupé en ce moment, désolé ^^ Contenu sponsorisé remy veut des amis a

Yeah yeah Yeah, yeah Yeah, yeah Dis-moi où t'es, j'me téléporte, yeah T'es maquillée, j'arrive en sportswear Tu fais ton truc avec tes paupières J'me comporte comme avec mes potes, yeah Dis-moi où t'es, j'me téléporte, ouais RDV, j'arrive en sportswear Tu fais ton truc avec tes paupières J'me comporte comme avec mes potes, ouais Si tu m'rends fou, c'est parce que t'es fun, tu

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Voir le deal Forum Catholique LE MONASTÈRE INTÉRIEUR. Vivre avec notre Seigneur et sa mère ÉVANGÉLISATION 2 participantsAuteurMessagePhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Dim 29 Oct - 1004 MA ! allez tant pis je fais mon "coming out".Non je ne suis pas homo, mais il m'est arrivé des trucs Jésus en personne qui m'a fait le caté. Voilà ma première histoire J'étais dans une famille qui avait complètement abandonné la pratique et était loin du Seigneur, sauf ma grand mère assez pieuse, mais qui pratiquait aussi l'ésotérisme avec Rudolph Steiner et un culte pour les Chakras, et ils faisaient tous tourner des tables. Quant à la paroisse n'en parlons pas. Suite à un concile mal compris le curé était contre la dévotion à la Sainte Vierge, contre le rosaire, contre l'Adoration, contre la messe quotidienne. La seule chose qui comptait pour lui c'était s'engager dans la politique, le syndicalisme, et construire le monde. Le royaume et le salut éternel n'en parlons pas. Vouloir être un saint ? C'est une vocation spéciale et avoir ce genre d'idée relève de la moi dans tout ça je cherchais Jésus comme je pouvais, mais paumé, paumé, va commencer par ma conversion à quatorze ans qui a été terrible. Mais je vous préviens Lucie de Fatima a dit que le dernier combat entre Jésus et Satan serait sur le mariage et la famille ? Ma croix n'a été qu'un long chagrin d'amour où je n'ai eu ni l'amour du père ni de la mère, de mes frères et sœurs, et surtout, d'une épouse. Devenir prêtre ou religieux ? Cela aurait été fuir mon chemin et me dérober. Le diable a pouvoir sur mon bonheur terrestre, mais il n'en a aucun sur mon oblation. Donc voilà ma conversion proprement dite à quatorze ans J'aimais une jeune fille mais ça ne marchait pas, et j'ai cru bon de faire un chantage au Seigneur. Je lui ai dit "Seigneur, si tu ne me donne pas celle que j'aime, je me donne au Diable. je ne me vend pas à lui, je me donne". Et j'avais fixé l'heure et le jour 23 mai, minuit. Arrivé au 23 mai, bien entendu, toujours rien du coté de mon amour. J'étais parti de l'autre coté de la forêt dans une autre ville pour essayer de rencontrer celle que j'aimais, mais rien, absolument rien. Arrivé vers onze heure du soir je me suis décidé à rentrer chez moi, et pour ce faire, j'ai traversé de nouveau la forêt par un raccourci. Onze heure quarante cinq, un quart d'heure avant l'heure fixée pour mon pacte avec le diable. j'étais en pleine forêt ; le vent commençait à souffler annonçant un orage, et devant moi les arbres dans l'obscurité prenaient déjà la figure d'un Moloch. Mais je n'avais pas peur, et dans un quart d'heure j'allais me donner à lui. C'est alors qu'au loin j'ai distingué quelqu'un marchand en sens contraire de moi une bohémienne tenant un enfant dans les bras; Une bohémienne, ou quelqu'un habillé à l'ancienne. Arrivé à ma hauteur cette bohémienne m'a crié "et si je te jetais mon enfant dans les bras" ? Et, joignant le geste à la parole, elle jeta son nourrisson vers moi. Un ultime réflexe ? j'ai rattrapé l'enfant de peur qu'il ne se casse la tête par-terre, et la bohémienne de me dire "Tu vois que tu es bon et que tu ne peux pas être mauvais". Puis elle a disparu. J'ai éclaté en sanglot, et c'est alors que l'orage lui aussi a éclaté brusquement des trombes d'eau, un vent impétueux, des éclaires et des roulements de tonnerre terribles. Mais j'avais l'enfant Jésus dans les bras que je n'ai plus jamais lâché. J'avais Jésus, mais aussi ma croix, car j'ai compris alors que je ne rencontrerai jamais l'amour sur terre, et que ma vie ne serait qu'un long chagrin d'amour. Hallucination ? les arbres formaient toujours la tête d'un Moloch qui réclamait sa proie. Je le sentais, furieux, il était là. Sans aucune peur je me suis tourné vers lui et je lui ai crié "Satan je te déclare la guerre".Petit détail significatif C'est arrivé juste au niveau de Notre Dame des Hirondelles, un arbre où l'on a accroché une statue de Marie en pleine forêt. Après je me suis demandé si je ne m'étais pas fait tout un cinéma mégalo romantique, mais comme par hasard, pile poil trente trois ans plus tard un 23 mai au soir, je me suis retrouvé avec une douzaine de personnes à prier autour de Notre Dame des hirondelles ; et c'est seulement pendant cette prière que la coïncidence m'a sauté aux yeux. Le ciel avait voulu fêter l'événement de ma gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Ven 22 Déc - 942, édité 8 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Lun 30 Oct - 802 Comment j'ai découvert le vais maintenant vous dire comment j'ai découvert le rosaire. Mais je le redis, il faut savoir que malheureusement L'Eglise ne m'avait enseigné ni la Dévotion à Marie, ni l'Adoration du Saint Sacrement, ni l'Angélus, rien ou presque, et encore moins le rosaire que je ne connaissais que de nom. Qu'à cela ne tienne et je me répète c'est jésus qui est venu me faire le caté ; ce qui est tout de même un peu troublant, parce que ça a l'air de dire que quand l'Eglise ne veut plus faire son boulot, alors c'est Jésus qui vient le faire à sa place ? Mais je ne conclus rien, simplement je raconte les faits. Voilà j'avais vingt deux ans. Je ne connaissais le rosaire que de nom, sans savoir en quoi il consistait ni son importance, mais j'en avais quand même l'instinct par intuition car je passais des heures à réciter des Ave et des Pater. Une nuit au petit matin j'ai fait un rêve terrible. Dans mon songe, j'ai vu trois démons qui s'approchaient de moi, et avec un coup de griffe très violent m'ont sorti de mon corps. Mais, était-ce seulement un songe ? Je me suis retrouvé hors de mon corps flottant dans ma chambre comme un ballon. C'était la grisaille du petit matin et je me suis vu en dessous de moi en train de continuer à dormir. Puis à coup de griffes répétées rapides les trois démons m'ont fait tourner comme une toupie à une vitesse vertigineuse, et quand cela a cessé je n'était plus dans ma chambre mais dans un lieu aride. Et là j'ai compris que ces trois démons allaient me "tailler un short", passez-moi l'expression. Et, O! merveille ! C'est alors que j'ai entendu la voie d'une religieuse qui récitait ce que je savais être LE ROSAIRE. Manifestement elle le récitait pour moi. Sa voie était sanglotante et précipitée comme dans un affolement, et il semblait bien qu'elle était dans une chapelle. Mais alors, je me suis retrouvé protégé comme sous une cloche à fromage. Les démon avaient beau hurler, crier et vociférer en se précipitant sur cette barrière invisible, ils ne pouvaient plus s'approcher de moi. Et la prière de cette religieuse continua jusqu'à mon réveille. Quelques petits détails Je fus réveillé le matin par le chien de mon père qui hurlait à mort, dans son jardin on retrouva trois arbres qui s'étaient desséchés durant la nuit, et une tante qui était de transite chez mon père, le soir même avait plié bagage morte de trouille, mais elle ne voulu jamais dire pourquoi. Inutile de vous dire que le matin même, je me suis précipité chez un vieux prêtre qui m'a donné la recette du rosaire. Le rosaire, il faut le réciter sans cesse et avoir son chapelet toujours dans sa poche. par exemple on peut le réciter dans le train ou le Metro sans fausse pudeur, et vous serrez étonné de voir à quel point les autres passagers respectent. Si vous voulez protéger quelqu'un ou demander la grâce d'une conversion, priez le gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Sam 16 Déc - 2219, édité 4 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Mer 1 Nov - 1436 Comment j'ai découvert l'humilité. Ma leçon de caté sur l'humilité, je l'ai reçu par un songe. En fait dans mes songes et visions je distingue dans un premier temps les visions de lumière, mais viennent ensuite mes visions de la nuit, qui elles sont obscures, tant du moins que je n'aurai pas franchi un certain seuil, et celles-ci je ne vous les donne pas. Par exemple la vision du diable au sommet d'une église qui m'a vociféré 'j'attends la puissance suprême de monseigneur Lucifer" comment expliciter cela ?Donc voila mon songe J'étais à un festin, où il y avait Jésus très occupé à parler avec deux apôtres à sa droite et à sa gauche. Et je me suis fait ce calcul "bon! si je monte vers lui, il va me demander de redescendre, mais si je descends, il va me demander de monter ? donc je choisis la dernière place, et automatiquement Jésus va me demander de monter plus haut" Ce que je fis prenant la dernière place, et regardant Jésus pour voir le résultat. Immédiatement Jésus s'arrêta de parler et me regarda fixement. BRRRRR !....Puis avec un grand sourire, il s'approcha de moi, fit un geste large du bras, et une force me précipita par-terre, avec une gamelle à chien s'il vous plaît. C'était trop drôle et je me suis réveillé parce que j'éclatais de rire. De Jésus ce n'était pas du mépris mais une tranche de rigolade. J'avais voulu jouer au petit soldat et donc il me doucement ceci m'a un peu fait comprendre ce qu'est l'humilité. La véritable gloire n'est pas un jour d'être en haut, mais d'être en bas et d'y rester. La véritable élévation est dans la toute petitesse, et si pour condition du salut de tous la sainte trinité devait prendre la dernière place elle n'hésiterait pas une le ciel ? franchement n'est-ce pas mégalomaniaque de désirer l'immortalité dans un bonheur indescriptible ? Oui mais comment faire pour ne pas désirer cela puisqu'on est fabriqué comme ça ? Alors moi je désire être le plus petit caillou du ciel. Et que tous soit plus grands que moi, qu'importe, et c'est déjà trop beau. Mais que tous ceux que j'aime soit sauvés, voilà le bonheur que j'attend. Merci gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Lun 6 Nov - 1054, édité 2 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Ven 3 Nov - 732 Comment j'ai découvert l' trop drôle et en même temps sidérant, époustouflant. Il faut vous dire que je ne connaissais l'Angélus que par le tableau de Millet et rien d'autre. L'angélus ? Oui ! une prière que l'on fait dans la journée, mais laquelle et à quelle heure ? Alors voilà. Ça devait être en janvier ou février. J'avais vingt deux ans, et j'étais dans le train en permission de service militaire. A l'époque les trains avaient un long couloir et des compartiments et j'étais à la fenêtre d'un couloir, en train de contempler les champs de labour nus et désolés d'hiver. j'étais moi-même désolé comme ces champs car je n'aimais pas trop le service militaire, et je me disais en moi-même "combien de temps combien de jours faudra t'il encore, avant que les semailles nouvelles germent et sortent du sol" ?Il faut vous dire que je devais être libéré l'été prochain, et voir les champs de labour commencer à verdoyer serait pour moi l'annonce de ma libération prochaine. Brusquement dans un champs dénudé, j'ai vu deux jeunes déguisés à l'ancienne et qui nous faisaient une bonne blague en reproduisant au détail près le tableau de l'Angélus de Millet, sauf que le panier ne contenait pas des patates mais un bébé. Il y avait juste à coté de moi un voyageur dont la tête faisait penser à un moine cistercien. Et je lui ai demandé tout de go en éclatant de rire - Quelle heure est-il ? - Midi tapant, me répondit-il, surpris. - Vous avez vu dans le champs les étudiants déguisés à l'ancienne, et qui nous font une farce en récitant l'Angélus ?- Il n'y a personne dans le champs ?- Mais vous avez entendu les cloches de l'église au loin qui sonnaient l'Angélus ? - vu la distance de l'église et avec le bruit du train, de toute façon on ne pourrait pas entendre les cloches. Bon! là j'ai compris que j'avais eu une vision et je me suis mis à prier. Et quand j'ai rouvert les yeux, j'ai vu cet homme à la tête de Cistercien qui me regardait complètement bouleversé. Moi-même j'ai été paniqué par son regard et je suis parti me réfugier à l'autre bout du train. Il me regardait comme un saint, et moi je pense plutôt que le christ se penchait sur un pauvre jeune homme douloureux et paumé luttant contre le désespoir. Et pourquoi pas ? C'est très impressionnant de se dire que dans nos champs, labours, bois et guérets, des générations et des générations de nos ancêtres ont prié. Que même si en ce moment la France est devenu folle, la terre a gardé une marque indélébile de leurs prières qui ne s'effacera jamais. Nos ancêtres ils sont là et ne partiront de ce jour et autant que j'ai pu c'est à dire pas vraiment comme il faudrait, j'ai essayé d'être fidèle à l'angélus. Et maintenant, je raccorde même l'Angélus à la demande du don de la Divine gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Lun 6 Nov - 1054, édité 2 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Lun 6 Nov - 1032 Comment j'ai découvert que Jésus est très proche de chacun de que je vais vous raconter maintenant va vous laisser perplexe ; mais je le comprends très bien, et moi-même je suis encore à me poser un point d'interrogation des dizaines d'années plus tard qui était-il, à qui ai-je parlé ? J'avais vingt-trois ans, complètement paumé malgré ma conversion. Pendant mon service militaire, la fille que j'aimais comme la Sainte Vierge, et qui m'aimait s'était laissée entourlouper par un étudiant qui ne cherchait que du sexe pour passer ses études tranquilles, et la laisser choir ensuite, ses études terminées. En six mois à peine il avait réussi à lui prendre sa virginité et la faire avorter. Et moi, assommé par tout ça, j'avais laissé tomber mon travail pour me promener au grè de l'auto-stop. Bref je faisais la route selon l'expression. Comme ça, je me suis retrouvé un soir à Aix-en-Provence. Qui plus est j'étais tombé sur la voiture d'une jeune femme nymphomane. Bon ! Il ne s'était passé rien de grave avec cette nymphomane, mais intérieurement j'étais bien esquinté, et en sortant de sa voiture je me suis dit "vite, il faut que je fasse un acte de charité pour me purifier". Et croyez-moi, quand on a ce genre de désir, Jésus n'est pas je suis sorti de la voiture de ma nymphomane, et à peine sorti, un jeune homme de mon âge m'est tombé dessus me réclamant 1 franc pour s'acheter du pain car il n'avait rien à manger. Et moi de lui répondre - "je vais faire mieux je t'invite au resto. Viens, on va se taper un chinois". Du coup on s'est retrouvé à parler ensemble comme si on ne s'était jamais quitté ; comme si notre conversation avait toujours duré. Et c'est là que tout se bouleverse, tout se renverse, Jésus met tout à l' passé ma soirée à l'écouter et le conseiller. Je ne me suis pas rendu compte sur-le-coup, mais en fait sa douleur était ma douleur, sa faiblesse était ma faiblesse, et les conseils que je lui donnais étaient les conseils dont j'avais besoin. Simplement il a simplifié en une seule phrase ce qui dans ma tête était tordu et compliqué, plein de doutes, d'interrogations et de culpabilité, avec en plus un refoulement et un refus de voir la réalité, m’efforçant de croire à une chaste amitié entre eux. Pire, une fois ses études terminées il a essayé de me la refiler afin d'épouser une fille digne de son rang à lui. Quand quelqu'un perd sa pureté, ce sont les fondements mêmes de l'Univers qui sont fracassés en un chaos indescriptible, et il faudrait que les entrailles de la terre se brisent de ténèbres pour hurler ma douleur. Mais que dis-je ? N'a-t-il pas lui aussi besoin de mon pardon ? N'est-il pas lui aussi blessé et sans doute plus qu'elle ? Pour revenir à ce jeune homme et comme je l'ai déjà dit, il a tout simplifié en une phrase qui dit tout. Pendant le repas il m'a dit - "La fille que j'aime et qui m'aime est subjugué par un bandit". Mais par délicatesse tant pour elle que pour moi il a recouvert leur péché d'un voile de tout était dit dans une parfaite simplicité et vérité. Je lui ai conseillé de surtout ne pas la laisser tomber...Et c'est en fait ce que je devais faire. Mais son comportement est devenu de plus en plus étrange. Ensuite je lui ai conseillé de prier Marie....Ce que je devais moi-même faire, et quand je lui ai donné un chapelet, il l'a regardé avec bonheur. Et le mouchoir de San Damiano ? A un moment j'ai sorti un mouchoir quelconque pour me moucher, mais quand j'ai sorti sans rien dire un mouchoir blanc de San Damiano, immédiatement ses yeux se sont émerveillés. Comment savait-il ? Comment savait-il ??? Et il renversait tout A un moment en pleurant il m'avait sorti - Si ça continue je ne vais plus avoir confiance en....Je l'ai coupé pour dire - En Dieu, tu ne vas plus avoir confiance en Dieu ?- Mais non ! voyons, je ne vais plus avoir confiance en les hommes, je vais perdre ma confiance dans les il a haussé les épaules comme si j'avais sorti la pire des inepties. Sinon le repas s'est passé le plus naturellement du monde, et au dessert il a même fumé une cigarette avec moi. Dernier round au moment de se quitter je lui ai dit - File-moi ton adresse on va rester en contact. Et lui de me répondre me regardant dans le fond des yeux - C'est inutile, si je dois te contacter JE sais comment années et des années plus tard, je suis encore à me demander qui était-il ? je ne conclus pas, mais je me rappelle des paroles de Saint Paul "certains sans le savoir ont accueilli un ange". Un ange ? Plus ?...Qui était-il ? Et je n'ose répondre. Mais de cette histoire j'en tire plein de conclusions - Dieu n'est pas Jupiter ou le papa-gâteau-tiroir-caisse. Il vient porter notre douleur non pour l'éviter mais pour en crever. Et seulement ensuite vient la résurrection. Mais c'est notre douleur et notre faiblesse qu'il porte vraiment. Il renverse les rôles. Lui souffre de notre douleur et notre faiblesse, et c'est à nous de l'aider et même de le D'une manière ou d'une autre, Jésus est venu prendre ma vie à bras-le-corps. Il ne m'a pas invité à m'évader de ma croix en devenant moine ou curé, ou je ne sais quelle hauteur mystique. Non ! Il est venu voir ma vie telle qu'elle était. Il ne vient pas seulement voir des grands saints ou des grands mystiques, mais aussi des hommes tels qu'ils sont avec leurs véritables problèmes. Et même, il veut qu'on se décharge de nos douleurs sur lui. Paradoxe plus on lui donne nos croix et moins la sienne sera lourde " Donne tous tes soucis au Seigneur, et lui prendra bien soin de toi. Après avoir un peu souffert il t'affermira puis te rendra inébranlable".- Jésus est très très proche de nous. On peut tout lui confier avec Quand on est dans la panade et que Dieu semble ne pas nous répondre, la solution charité, renverser la situation. Voir Jésus souffrant de notre problème, l'aider et le conseiller. Car OUI ! son humilité va jusqu'à là. Quel conseil je donnerais à un frère dans une situation pareille ? Et alors très rapidement la lumière du Saint Esprit va fuser en gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Mer 8 Nov - 746, édité 1 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Mer 8 Nov - 733 Comment j'ai reçu la devais avoir dans les quarante ans et l'officialité de l'Eglise venait de prononcer une déclaration de nullité de mon mariage. Cela peut choquer certains, mais pour mon salut comme pour celui de mon ex épouse, croyez-moi c'était mieux ainsi. Bref ! j'étais donc libre, et je me réjouissais à l'idée de pouvoir me remarier....plus hypocritement à l'idée de connaître cette communion physique entre l'homme et la femme, dont l'homme est si prégnant. Et brusquement j'ai vu ce moine ; celui-là même qui à l'âge de quatorze ans m'a apporté un livre du ciel expliquant tout le psychisme humain de A à Z, mais j'en parlerai peut-être un jour. Il y avait devant moi ce moine avec l'habit des Carmes, mais ni ascétique ni mysticoïde, jovial, bien dans sa peau bien dans ses pompes. Et il m'a juste dit "je te mets dans la chasteté".Ni une ni deux je lui ai balancé une chaussure en pleine poire. Ce moine s'est alors retourné, a fait quelques pas pour s'éloigner et a disparu, mais en partant dans un grand éclat de rire ; et j'ai entendu son éclat de rire longtemps après sa disparition. Ce n'était pas un ricanement méchant mais plutôt un rire jovial et bon, plein de bon humeur, du style "tu vas voir mon bonhomme". Immédiatement je me suis dit "bon, ça c'est le diable, c'est le diable". je me suis efforcé de me retrouver troublé et angoissé car cela aurait été la preuve que ça venait du diable....Ça y est ça vient je suis angoissé.....Mais non ! rien à faire ! je n'était ni angoissé ni troublé. N'allez surtout pas vous imaginer que je suis un grand saint ou un grand mystique. Je suis plutôt le stéréotype du pauvre diable qui fait ce qu'il peut ; et c'est peut-être justement pour ça que j'ai des visions. Ne pas oublier que Jésus a dit qu'il n'est pas venu pour les biens portants mais pour les malades, qu'il est prêt à abandonner les quatre vingts dix neuf justes pour aller chercher la brebis perdue, et j'étais cette brebis perdue. Il y a un bas-relief à Saint Germain-en-Laye qui m'a beaucoup touché, pas d’Évangile mais tellement d’Évangile On y voit Jésus les manches retroussées qui va chercher une pauvre brebis complètement prise dans les ronces, et qui désespérée ne peut plus sortir par gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Ven 10 Nov - 754, édité 1 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Ven 10 Nov - 751 Quelques souvenirs d'enfances Mon premier acte de souvenir n'a rien d'extraordinaire, et pourtant pour moi c'est le plus extraordinaire de tous mon premier acte de foi. je devais avoir quatre ans, cinq maximum. J'étais en vacances en Franche Comté, nous étions partis faire une promenade parmi les champs de blés et pâturages ma sœur et un grand garçon de neuf ans qui était enfant de cœur. Pour moi son statut d'enfant de cœur en faisait l'égale d'un ange, un maître, plus que mes parents, plus que le curé du village lui-même. Et sur ce chemin de terre inondé du soleil d'été, il répondait à mes questions, que Dieu a tout créé absolument tout le soleil, les arbres fruitiers, les vaches, tout. Et qu'il est tout puissant. Et comme exemple il nous a dit - Si Jésus voulait, il pourrait descendre jusqu'à nous en marchant sur un rayon de lumière. et moi de lui répliquer- Oui mais il serait obligé de mettre des chaussures à clous, parce que un rayon de lumière, c'est drôlement glissant dis donc ? - Non non ! pas du tout. Il serait pieds nus et il ne glisserait Mais il serait quand même obligé de mettre des chaussures pour ne pas se brûler les pieds, parce que un rayon de lumière, ça brûle aussi ? - Pas du tout, pas du tout. Il serait pieds nus et ça ne lui brûlerait pas les pieds. Et bien ça n'a pas été facile à gober ce truc-là. Mon premier acte de foi Jésus n'a pas besoin de chaussures à clous pour marcher dans la lumière. Et ne riez pas, parce que, qu'importe l'âge, la raison ou la maturité d'intelligence ; qu'importe le mode d'expression que l'Esprit Saint prend pour nous parler, c'est sans doute l'acte de foi le plus grand que j'ai eu à faire de toute ma vie. Acte de foi qui vaut peut-être celui de certains cardinaux. Et vive les enfants de cœur qui évangélisent les tout petits quand ils sont les seuls à pouvoir le faire, avec un langage qui leur convient. Merci gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Sam 11 Nov - 840, édité 1 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Sam 11 Nov - 833 Quelques souvenirs d'enfances Ma prmière évangélisation à quatre quatre ans et je jouais dans notre chambre commune avec mon frère et ma sœur du même âge que moi ou presque. Je ne sais plus pourquoi, mais on en est venu à parler de Dieu, et je leur ai dit Quand on appelle Dieu y vient, y suffit de l’appeler. Si ! si ! vous allez me mettant à la fenêtre le regard tourné vers le ciel, de toutes forces j'ai crié -Dieu ! Dieu ! Dieu ! Et bien même si Jésus nous dit de ne jamais jurer, je vous jure que je vous jure que le visage de Jésus s’est formé dans les nuages d’une façon très précise, et il nous souriait. Si ! si ! je vous jure que c’est vrai ; croix de bois croix de fer si je mens je vais en… Non de toute façon je ne vais pas en enfer, mais je dis vrai. - Ha ! oui, m’ont dit mon frère et ma sœur, quand on appelle Dieu y les enfants sont des roués et je savais très bien que les nuages se dissipent. Il fallait donc que je trouve une sortie pour finir en beauté. Aussi j’ai continué - Mais quand on fait un péché, Dieu y s’en va. Vous allez voir, je vais dire un gros mot parce que c’est un péché de dire des gros mots, et Dieu va s'en aller. De nouveau je me suis tourné vers le visage du Christ, et je lui ai lancé un formidable le visage du Christ s’est dissipé fait tout était dit Quand on appelle Dieu il vient, et quand on pèche, il s’en va. C’est aussi simple que gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Dim 12 Nov - 801, édité 1 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Dim 12 Nov - 754 Comment j'ai reçu mon plan de dans un songe. Je devais être à l'époque du Christ dans une maison presque en sous-sol, et il y avait là l'Esprit Saint sous la forme d'un jeune homme plein de vie qui était la jeunesse-même, la joie, la gaieté ; j'allais dire l'exubérance. Et il m'expliqua la recette du lièvre ; ce qui peut paraître farfelu mais vous allez voir que pas du tout. En concluant sa recette avec un geste des mains il ajouta Et avec un tout petit peu d'herbes amères. J'aime bien le "un tout petit peu". Ça, c'est une question de enfin juste avant de repartir vers un escalier de trois marches, il me confia un secret très grave. Il me confia Celui qui aime demeure éternellement dans son repartant il croisa trois vieillards qui venaient vers moi, et il se riait d'eux car malgré ses grandes salutations ils étaient incapable de le reconnaître, lui, L'ESPRIT de ce songe est assez le lièvre ? ... Je vais avoir besoin d'un lièvre pour me faire courir sur le chemin du Seigneur. Mon chemin peut scandaliser, choquer le monde qui ne comprend rien, mais frère Ephraïm dans "lecture amoureuse de la bible" parle du chemin du roi David où chaque passage dans une des sept demeures de l'âme a été ponctué par un amour. Pour moi c'est pareil, sauf que j'ai vécu ces amours j'en suis à six dans la chasteté. Pauvre homme que je suis. C'est mon chemin, c'est ma route voulu par le Seigneur. J'aimerais vous présenter une image d’Épinal plus conforme à l'image qu'on se fait de la sainteté mais ça ne serait pas sincère. Et puis sœur Lucie a dit que le dernier combat entre Satan et Jésus serait sur le mariage et la famille ? C'est ce que je vis, mais sur la Un tout petit peu d'herbes amères ? la réponse est évidente c'est mon chemin de Les trois vieillards ? La chair, le monde et Satan qui viennent vers moi pour me tanter- Les trois marches de l'escalier ? La foi, l'espérance et la charité, que je dois moi-même gravir, pour aller vers la lumière et la rencontre du gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Lun 13 Nov - 837, édité 1 fois FrançoiseconsacréMessages 7626Date d'inscription 12/06/2016Sujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Dim 12 Nov - 1313 Oh, merci cher Philippe pour tes témoignages plein de vie et de sincérité. Tu es Toi et je t'aime tel que tu es. Oui, Philippe est ainsi. J'avais remarqué sa spontanéité sur le forum "Le Peuple de la Paix"... et je suis heureuse de travailler avec lui sur ce tout petit forum "Monastère intérieur"... il m'apporte beaucoup. Pardon si, sur le dit forum "Peuple de la paix", je t'envoyais des messages privés en te disputant un peu pour ton laxisme et ton recul face aux évènements. La première lecture de ce jour sur la Sagesse m'a appris à te comprendre. Que Dieu te bénisse, toi et ta family, Philippe, petit frère en Christ que Notre Dieu Tout Puissant a mis sur ma route. Longue vie à ce union de prière,Françoise. PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Dim 12 Nov - 1725 Merci Françoise ==================================================================================== PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Lun 13 Nov - 834 L'annonce de la grande nuit d' San Damiano Marie nous a dit "Attendez-vous à tout perdre". A un moment de notre purification on va tout perdre pour tout retrouver en Jésus. Il nous sera demandé de tout sacrifier jusqu'à nos amours les plus chers, jusqu'à nos biens les plus sacrés et même jusqu'à notre joie sentie, d'avancer vers le soleil, sans plus jamais nous retourner. le Père des Cieux ne veut que notre bonheur, mais il doit d'abord nous laver dans le sang de l'Agneau et il en est le premier chagriné. Il semble ne plus vouloir nous exaucer dans nos demandes lors-même qu'il est en train de nous exaucer dans notre première le désert nous est donné, fondamentalement donné comme la plus grande des grâce. Donné et non imposé car Jésus veut qu'on dise OUI. On peut parler d'une passivité, mais une passivité active qui réclame toujours notre participation de cœur et de volonté. Moi j'appelle ça la grande nuit d'Orient, la nuit du cœur plus que celle de l'esprit. Et croyez-moi, par les temps qui court ça va être démocratisé. Cette annonce m'a été faite dans un face à un désert que je devais gagner. Mais le seuil de ce désert était gardé de chaque coté par deux statuts de dragons antiques vieille comme le monde toutes fissurées par le temps. les gardiens du seuil. Si je franchissais le seuil, les deux dragons reprendraient vie et me tomberaient dessus à bras raccourcis, et déjà rien qu'à m'approcher, leurs yeux reprenaient vie d'une terrible méchanceté et me suivaient du faire, et hors de question de passer par le seuil ?Et bien le désert était entouré de gros rochers. Aussi je décidais de passer discrètement par "la voie encombrée", par les gros rochers ; à l'abris du regard des deux dragons, mais surtout par la voie cachée, cachée au yeux du monde, des anges et si possible de que je fis et ça a marché ; je me suis retrouvé au milieu du désert. Mais là j'entendit un énorme beuglement. Les deux dragons venaient de se rendre compte de ma filouterie, avaient repris vie, et me poursuivaient. Vite il fallait que je gagne le cœur du désert où il y avait un escalier secret de trois marche invisible aux démons. Je courais de toutes mes forces, et à peine j'avais posé le pied sur la première marche de l'escalier secret, que les deux dragons tombèrent en poussière. - Bien entendu dans la pratique ça ne se passe pas aussi rapidement car nous sommes encore très imparfait, et le Seigneur doit recommencer l'opération à maintes reprises encore et encore. - L'escalier secret et invisible de trois marches, c'est bien sûr la foi, l'espérance et la charité. Non ! nous ne sommes pas sauvé uniquement par la foi, mais par la foi-espérance-charité, et c'est une illusion redoutable de croire qu'on peut être sauvé par la foi si on ne veut pas renoncer entièrement à son péché. Et cet escalier secret est invisible aux démons car il ne comprend rien à la foi-espérance-charité. Dès lors qu'on possède ces trois vertus, il n'a plus aucune prise sur Les deux dragons ? j'ai longtemps réfléchi, et je pense que c'est l'épouvante et la désolation. Épouvante ? je préfère ne pas trop en dire car ce n'est pas à piquer des hannetons, mais la Sainte Vierge n'est jamais très loin finalement, heureusement. Et la désolation ? j'en étais venu à ne même plus pouvoir aimer Jésus car j'avais l'impression qu'on me demandait de devenir homosexuel, c'est peu dire....- Mais une chose ne nous manque jamais l'espérance, et je cois que c'est la première marche de l'escalier secret ESPÉRANCE. Finalement la vie spirituelle est un moteur à deux temps Espérance confiance, espérance confiance, espérance gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Mar 14 Nov - 1051, édité 1 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Mar 14 Nov - 1049 Une heure triste et ne voudrais pas passer pour un petit saint au chemin parfait du style ; "voyez comme je suis bien" et je trouve que ce ne serait pas sincère. Non, parfois le désespoir m'a rattrapé et j'ai pendant quelque temps jeté l'éponge. Mais Jésus, lui, n'a pas jeté l'éponge, et il a su m'attendre. Ainsi vers vingt cinq et aussi cinquante ans je n'ai pas été au top coté chasteté ; ce qui d'ailleurs a été toujours très lourd de conséquence. Vers vingt cinq ans j'ai eu un songe. J'ai vu le Christ en croix qui m'a simplement dit "range-toi à ma gauche". Heure triste et sombre. Mais mon premier péché était le désespoir, le manque d'espérance. Croire que ma vie spirituelle n'avait aucun sens et que Jésus ne s'intéressait pas à Seigneur de m'avoir attendu, et pardonné. Merci gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Mer 15 Nov - 748, édité 1 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Mer 15 Nov - 746 Comment j'ai reçu l'espérance. C'est dans un songe où j'ai vu Gandhi. Cela peut étonner mais Marthe Robin disait de lui que c'était un autre Christ, et bien sûr c'était de sa part un euphémisme. Mais surtout Jésus disait à je ne sait plus quelle messagère "Les païens vous montreront l'exemple".A croire qu'il n'y a plus en ce moment d'Espérance dans l' l'époque j'avais dans la trentaine et j'étais quasiment dans désespoir car je ne trouvais pas de travail. Dans mon songe, j'allais frapper à la porte d'une clinique pour leur demander s'ils avaient un emplois, et tout de suite on me disait "Gandhi est hospitalisé à la suite d'un jeûne prolongé et il t'attend, il veut te parler. chambre 222".Donc dans mon songe je me rendis dans cette chambre. Il y avait là Gandhi dans un lit qui me dit "Ne désespère jamais, jamais. Regarde, moi, je ne suis jamais tomber dans le désespoir".Puis il m'a transpercé du regard avec insistance, comme pour me faire comprendre que ce n'était pas un rêve venant de l' gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Jeu 16 Nov - 1803, édité 3 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Jeu 16 Nov - 1758 Comment j'ai reçu l' dix sept ans et j'avais donné rencard à une nana devant la porte de l'église. Vous êtes choqués ? Oui ! mais je vous ai prévenu que j'étais une fripouille ? Et comme la nana tardait à venir, j'ai voulu voir si elle ne m'attendait pas à l'intérieur ; un coup sans prière, juste pour voir. Rien, pas de nana. Mais au moment précis où je refermais la porte, pendant une fraction de seconde, j'ai vu le Christ descendant les marche de l’autel venant vers moi, qui me regardait, les bras penchés vers moi. Bigre de bigre ! Alors j'ai rouvert la porte de l'église. Plus personne. j'ai forcé mon imagination à voir le Christ parce que ça ne pouvait être qu'elle, mais rien à faire, Rien, rien et rien de doucement j'ai compris que c'était le Seigneur qui m'invitait à l'Adoration, au lieu de perdre mon temps avec une petite nana de trois sous, qui de surcroît venait de me poser un lapin. Avec moi le Seigneur ne doit pas être pressé, et il m'a fallu encore des dizaines d'années avant de vraiment commencer une adoration régulière. Mais le Seigneur venait de planter la petite graine de l'adoration en moi, et lentement, très lentement, cette petite graine a fini par germer. Merci gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Ven 17 Nov - 721, édité 1 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Ven 17 Nov - 720 Marie trône de la pris par l'amour de cette jeune fille que j'aimais comme la Sainte Vierge, et elle paraissait triste, déprimée, tourmenté. Une amie commune finit par me lâcher ces mots terribles Elle s'est fait violer par X. je ne peux pas vous décrire l'apocalypse que mon cœur a vécu alors. Je n'avais qu'une idée en tête tuer, égorger ce sale bonhomme. Moi qui connait si peu la violence, il m'a fallu me battre de toutes mes forces pour ne pas aller tuer. Quelques temps plus tard alors que je marchais dans le parc de ma ville. je pensais à Marie reine des vierge, et tristement je lui ai dit "Marie reine des vierges, ma pauvre Marie elle n'est pas bien belle ta couronne".Sur le champs, saint Michel Archange dans toute sa puissance. Cinq mètres de haut. Effroi absolu car ce n'est pas rien de voir un ange en "live" ; alors le chef des anges.....- Non non ! j'ai rien dit j'ai rien tard. Lentement il a levé son glaive vers le haut, et dans le même mouvement mon âme s'est élevée vers les plus grandes hauteurs du ciel. la douleur m'a complètement quitté. Une paix indescriptible, et la réalité que je voyais était tellement réelle qu'elle me paraissait dure comme un diamant et fluide comme l'azur tout à la fois. Comparativement à cette réalité, l'univers ne me paraissait plus que comme une légère vapeur cotonneuse. Et je me suis retrouvé EN Marie trône de la sagesse. C'est redoutable, terriblement redoutable ; et si je ne savais que la plus grande prérogative de Marie est d'être mère de Dieu, je dirais que Marie trône de la sagesse est la plus grande puissance de l'Univers. Mais ce n'est pas tout, car je me suis retrouvé dans la couronne de Marie trône de la sagesse, constitué en fait des deux couronnes de la virginité et du martyr, car ce sont là les deux sommets de la sagesse. Pour la virginité je ne sais pas, mais dans cette couronne il y avait l'immensité du peuple des martyrs Chrétiens encore chaud du sang versé dans l'arène cinq minutes auparavant, et qui chantaient tous un cantique d'une douceur trop beau. J'aurais voulu rester pour toujours, mais on me fit comprendre que j'étais encore trop lourd, pas assez purifié pour cela, et j'ai commencé à doucement redescendre. Mais pendant la redescente, saint Michel Archange m'a lancé en aparté de la vision "Ce n'était pas un viol, mais toi essaye de ne pas te laisser mener du bout du nez par la première venue". J'aime bien le "essaye". Lui-même n'était pas convaincu du si vous voulez bien je vous dit la suite, et on réfléchira ensemble sur les conclusions à en gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Dim 19 Nov - 935, édité 1 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Dim 19 Nov - 934 Marie trône de la sagesse vision m'a d'abord laissé dubitatif, et je l'ai en fait rejetée pendant vingt ans car je suis très prudent avec mes visions, quand elles me disent un peu plus que ce que l'Eglise conseille ou demande. D'abord, je n'ai à proprement parlé rien vu, ni avec mes yeux ni dans mon imagination. C'était comment dire ?.... Non seulement il n'y avait rien, mais moins que rien, et je n'étais pas assez formé et mûr pour comprendre que ce que je voyais ne venait pas des sens, mais directement de l'ordre de l'essence. Ensuite je ne comprenais pas comment une fripouille de bas-niveau comme moi pouvait avoir une vision aussi grandiose. Donc cette vision ne pouvait être que puis pour moi, c'était Jésus qui était trône de la sagesse, et non c'est saint Jean Paul II lui-même qui a levé le voile de mes doutes. Déjà quand il a parlé de Marie comme "trône de la sagesse". Tiens ! alors c'est donc vrai, Marie est trône de la sagesse ? Puis quinze jours plus tard il a lancé que "une société qui perd la virginité devient ipso-facto martyrogène". Alors c'est donc vrai aussi cette double couronne de Marie trône de la sagesse formée des vierges et des martyrs, les deux sommets de la sagesse, et que quand l'une vient à manquer c'est immédiatement compensé par l'autre ? Puis saint Jean Paul II a continué en lançant aux JMJ "Vous les jeunes Européens, le martyr qui vous est demandé est de ramer à contre-courant".Que penser de tout ceci ? Oui il y a peut-être le martyr qui nous attend, les hommes et les enfants tués et les jeunes filles sages outragées par les soi-disant soldats de Dieu pour la plus grand joie du diable. Mais il y a le martyr des martyrs, le martyr fondamental qui juge de tous les autres martyrs le martyr du cœur. Une génération entière est appelé au martyr du cœur, quand elle redécouvrira la pureté, et qu'elle sortira de la débauche dans laquelle elle est plongée, à cause de nous. Quand Marie reviendra, la première chose qu'elle rétablira, c'est la gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Lun 20 Nov - 716, édité 3 fois FrançoiseconsacréMessages 7626Date d'inscription 12/06/2016Sujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Dim 19 Nov - 1036 ... C'est beau, Philippe ! Oui, c'est beau, la Pureté. Que Notre très Sainte Maman du Ciel, quand Elle reviendra, rétablisse la Pureté en premier, c'est une belle pensée qui illumine mon dimanche. Merci, et bon dimanche ensoleillé par cette image.====================================================================================Seigneur, aide-nous maintenant à être vraiment catholique et à rester dans la grande vérité, en ton Dieu, et ainsi vivre et mourir. PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Dim 19 Nov - 1044 Merci de tes encouragements Françoise. Et cela me confirme dans le fait de continuer. J'ai encore pas mal de choses à dire ; J'ai gardé le silence toute ma vie même avec mes proches et mes meilleurs amis, mais au soir de ma vie, je sens que je dois parler car, comme m'a dit Ami de la miséricorde "la lumière ne doit pas rester sous le soir pendant une Adoration plein et plein de choses me sont revenues à la mémoire, mais Marie me fait comprendre que je ne dois pas écrire trop vite afin de laisser aux lecteurs la possibilité de chose par jour, et cela suffit. Amitié.==================================================================================== PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Lun 20 Nov - 713 Saint Michel un matin dans un demi-sommeil. Donc un songe sans vu une forme humaine d'une blancheur éclatante s'approcher de s'est baissé jusqu'à mon oreille et m'a murmurer très lentement, en séparant chaque phrase d'un long temps de silence, comme pour me laisser le temps de m'imprégner, de ce qu'il m'a dit A un certain moment, dans le monde des anges,entre les bons et les mauvais angesIl y a eu une confusion chat n'y aurait pas retrouvé ses un ange a posé cette question MI KA EL. Qui est comme Dieu ?Alors, tout a été repensé par les bons anges,par cette unique question QUI EST COMME DIEU ?Et les mauvais anges, avec leurs mauvaises pensées, n'eurent plus leur place au pour avoir posé la question MI KA EL ?cet anges est devenu !Mikael ! Vous aussi vous devez réaliser le MI KA EL en vous,Et vous ne formerez plus qu'une seule et même civilisation,avec le monde des gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Mar 21 Nov - 708, édité 1 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Mar 21 Nov - 705 Saint Michel Archange je vais être "intello".En ce moment, on ne s'en rend pas compte mais on est dans le COGITO de Descartes qui en quelque sorte a fondé le modernisme ; l'ère et la civilisation moderne, avec tout son cortège de merveilles technologiques, mais aussi sa révolte contre Dieu, son chaos, sa confusion généralisée. Cogito "Je pense donc je suis".- "JE"...MOI, ma pomme celle mangé par Adam ?, tourné vers "pense"...L'orgueil de la petite pensée de l' "Donc je suis'... L'illusion de croire qu'on peut être et exister par soi-même, sans quitter l'ère moderne et passer à l'ère de la sagesse, la civilisation de l'amour, la troisième ère du monde, il va falloir changer de COGITO et prendre celui des anges MI KA EL, QUI EST COMME DIEU ? passer de la modernité froide à la son intelligence angélique supérieur à la notre, Saint Michel ne se regarde pas, il regarde Dieu. Qu'et ce qui est comme Dieu, qui est comme lui, le Seigneur ?Et puisque le concile Vatican II nous invite à prendre la part de vérité des autres religions, je l'ai pris au mot, et j'ai pris comme base de ma morale le premier principe de Yoga de Patanjali. Même si ma participation s'arrête là car ce n'est pas ma vous cite ce principe base de notre morale a écrit Tout talent, tout don, qui n'est pas pour l'Adoration de Dieu, finit en début ce don sans Dieu nous apporte un certain bien, puis on en devient esclave, et nous conduit ensuite à la ruine. C'est ce qui est en train d'arriver avec le gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Mer 22 Nov - 508, édité 3 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Mer 22 Nov - 433 VOCATION. LE GRAND VENT DU LARGE. La porte s’ est trouvée l’éternité, la mer et le soleil, chantés par les faut gagner le large, il faut gagner l’autre crient leur leurs au loin sourdent profondes et graves Foi-Esperance-Charité. Tout est clair, limpide et azuré. Quelle est la toute belle, qui gagne le toi ma soeur, ma bien aimée ? Car sur la grève souffle le grand vent du large qui m’appelle,et enivre mon âme, je ne puis plus toi mon Seigneur qui t’endors sur mon épaule, ou l’Esprit qui déjà s’éveille en moi,qui murmure doucement, tout au fond de mon cœurFais un pas vers la folie. Car Dame-folie frappe à la porte et réclame la charité “Trois oboles fille de Sion. ““ veux-tu vivre pauvreté-chasteté-obeissance. ““Veux-tu vivre l’offrande de miséricorde. ““Veux-tu vivre l’oblation“veux-tu vivre ? “Oh ! mon ta mort m’a donné la vie,ta vie me fait mourir. Alors, comme un enfant, comme un tout petitdans les bras de sa mère, les yeux toujours fixés sur les mains de la servante, l’enfant de Dieu se laisse emporter. SUITE ====================================================================================Dernière édition par Philippe le Jeu 23 Nov - 1305, édité 1 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Jeu 23 Nov - 1303 La un songe ou plutôt deux, très jeune vers douze y avait tout l'océan de la mon songe, l'immensité de l'océan jaillissait vers les hauteurs, et retombait pour former la chevelure et le visage du Christ. Puis lentement les lèvres de Jésus s'ouvraient pour me parler, mais d'effroi je me suis réveillé sur-le-champs. Trop fort, trop de lumière. Dans la journée piqué par la curiosité j'ai regretté de m'être réveillé. Qu'est-ce que Jésus avait bien à me dire ?la nuit suivante, rebelote. cette fois c'était un palmier qui s'arrachait du sol, se retournait, les racines formant les cheveux du Christ et le feuillage son visage. De nouveau ses lèvres s'ouvraient lentement pour parler ; mais rebelote et rebelote, je me suis réveillé de peur d'entendre la Parole de celui qui est La gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Ven 24 Nov - 2150, édité 1 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Ven 24 Nov - 2150 La Parole dire ? Devant celui qui est La Parole, on se tait, et tout ce que je pourrais écrire serait du remplissage. Pour moi l'heure était venu ; Jésus allait commencer à me parler. Je ne dis pas par des choses extraordinaires, mais surtout par le cœur et le silence. On peut douter d'une parole extraordinaire ; est-ce bien Jésus, le diable ou mon imagination ? Mais on ne pourra jamais douter de ce qui est donné dans la profondeur du Jésus vient parler à chacun de nous comme si nous étions seul au gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Dim 26 Nov - 1053, édité 1 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Dim 26 Nov - 1032 La petite Myriam du Liban et l' me sens comme poussé à vous raconter l'histoire de Myriam. En fait je ne connais pas son nom et c'est moi qui la nomme ainsi ; je connais son caillou blanc mais pas son nom civil. Et franchement, je ne sais pas trop quoi penser de cette histoire, un rêve, une illusion ou bien la vérité ? A chacun de vous de juger et surtout l'Eglise en qui je me remets entièrement. Voilà un songe, un deuxième songe, un le premier Une jeune fille au Liban simple et pure. Dix huit ans, environ un mètre soixante cinq, le visage rond, et des beaux cheveux bruns qui lui tombent à sa taille. Elle est gouvernante de deux très jeunes enfants dans une famille riche du pays, et en fait elle joue avec eux plus qu'elle ne les garde. Il semble que cela se passe dans les années quatre vingts cinq dans une grande ville du le deuxième songe ça se précise. Elle est fiancée au jeune homme de la maison. Trente deux ans, un mètre quatre vingt, sportif, les cheveux bruns frisés et tient l'affaire de la famille qui marche bien. Myriam garde les deux enfants de la sœur du jeune homme, son fiancé. Celle-ci n'a pas un visage vraiment aimable et l'on sent un caractère dur et intransigeant mais tourné vers le bien, avec deux grandes nattes toutes raides, de cheveux épais noirs d'ébène. Myriam remarque que celle-ci à l'air de lui faire la gueule. Elle semble maussade et de mauvaise humeur à son égard. Pourquoi ?Troisième songe Myriam lui demande le pourquoi de sa mauvaise humeur envers elle, et la sœur de sa fiancé lui répond "je n'ai pas besoin d'une gouvernante, j'ai besoin d'une sainte".Et elle lui explique que son frère va commettre des attentats terroristes contre les musulmans ; qu'il envisage même de faire exploser un car d'enfants musulmans. C'est intolérable, inadmissible, et en plus il va alors perdre son salut éternel. La seule solution......sacrifier son frère. Instantanément, sur-le-champs, l'amour sponsal de Myriam se change en amour oblatif. Sans aucune hésitation ni retour en jour venu, Myriam appelle son fiancé au garage. Dans le même mouvement la sœur bloque l'entrée en avançant lentement un gros camion bourré d'explosif. Énervé par la situation et le bruit du camion celui-ci lui demande ce qui se passe, et Myriam lui répond "Mon chéri je t'aime, je t'aime, je ne t'ai jamais tant aimé".Puis, plus rien. Le camion a explosé. Si j'en crois mon inspiration, Myriam est monté au ciel comme une flèche, et elle est devenu la grande copine de la petite Thérèse, avec qui elles font les quatre cents coups. Du lard ou du cochon ? Et je me répète bien, si j'en crois mon inspiration....On devrait même la retrouver, lui faire un procès de canonisation, et même la déclarer patronne ou copatronne du un jour on lui dédiait une basilique, celle-ci aurait deux prérogatives D'abord, dans cette basilique les musulmans et les Chrétiens se réconcilieraient et tomberaient en sanglotant dans les bras les uns les autres ; prélude à leurs conversions au Christ ? Mais, de plus, cette basilique aurait l'unique privilège sur la terre, de faire sentir le bonheur du ciel à quiconque en franchirait le seuil. Honni soit qui mal y pense, c'est une sainte et une martyre, de son corps déchiré renaîtra le Liban disloqué. Et souvenez-vous de cette prophétie je ne sais plus où dans la bible La lumière viendra du gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Lun 27 Nov - 912, édité 1 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Lun 27 Nov - 909 La petite Myriam du Liban l'histoire ne s'arrête pas là. Elle est carrément venu me voir ; non mais en tout bien tout honneur hein ! de toute façon elle est déjà fiancé. Au troisième songe vers 3h30 du matin, impressionné je me suis levé et suis sorti dehors pour fumer une cigarette, et là je l'ai vu, vu et entendu. Elle était à environs un mètre cinquante de moi, mais je l'entendais comme si elle était à cent cinquante mètre me parlant à travers un brouillard, comme si je n'était pas assez pur pour l'entendre. Et elle est venu me chanter une chanson. En réalité elle n'a chanté que la première phrase, mais mystérieusement toute la suite de la chanson était contenue dans ses quelques mots. Et elle m'a chanté Il t'est demandé de renoncer Il t'est demandé de renoncer Il t'est demandé de renoncer Et c'était grave, car c'était la demande que le ciel me faisait officiellement. A l'époque j'étais dans une très grande crise de purification, et je lui ai crié Vas-t'en tu n'es qu'une mon imagination c'est mon plus je disais ça plus elle insistait, et plus je sentais malgré moi mon cœur se gonfler du bonheur du ciel ; non pas un bonheur tralala à grand coup d'orgues, de rayons laser et de petits angelots qui voltigent, mais un bonheur précis, personnalisé, singularisé. et c'était un bonheur du ciel que je ne voulais pas moi qui était tourné vers le bonheur de la terre. Passez-moi cette expression triviale, mais elle me "gonflait" au sens propre du son sacrifice d'un instant cette jeune fille a reçu la grâce de la consécration religieuse plus haut que n'importe quelle nonne et religieuse du début du Christianisme jusqu'à la fin du monde. Elle a reçu l'essence même de la consécration. C'est fou ? Mais le Père de Cieux est fou d'amour ; et s'il a livré son fils pour nous, alors tout est possible. Cette jeune fille vient nous apprendre le bonheur du ciel, et un jour des milliers de jeunes gens et jeunes filles la vous donne l'intégralité de la chanson qu'elle est venu me chanter Il t'est demandé de renoncer,jusqu'à tes biens les plus sacrés,il t'est demandé de tout sacrifier,jusqu'à ton amour le plus cher. C'est l'heure de tourner la page, d'avancer, sans plus te retourner, c'est l'heure, de regarder le soleil, face à face, sans plus aucun t'est demandé la pauvreté,dans ta blessure la plus profonde,il t'est demandé la pureté,dans les flots de la plus grande amertume,et d'obéir à l'Eglise,et à sa loi, jusqu'à l'agonie. C'est l'heure, de porter tes frères, toi qui n'a jamais su tenir debout, de leurs apporter la lumière, toi qui ne fut jamais, qu'un pauvre t'est demandé le martyr,de la chair, qui ne veut pas mourir,il t'et demandé le martyr,de ton cœur, qui n'a jamais pu aimer, et de trouver la vraie joie,de ceux qui ont, choisi l'oblation. c'est l'heure, de gagner le large, même si tu en as, le cœur glacé, c'est l'heure, de gagner l'autre rive, même si tu en as, le cœur déchiré. Bon ! attention à bien comprendre. Jésus n'est pas un Dieu-Moloch égoïste et dévoreur de nos affections. Et au contraire, il veut que l'on s'aime les uns les autres ; que l'enfant aime ses parents, que l'ami aime son ami et la fiancée son fiancé. Et la petite Myriam elle-même aime éternellement son fiancé. Mais Jésus veut que d'abord on lui donne tout et qu'on tourne tout vers le ciel, car rien de bon n'existe hors de lui. Et cela implique de passer par la gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Jeu 30 Nov - 551, édité 2 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Mer 29 Nov - 806 Une vierge va venir...Une vierge par les temps qui court ? Dieu seul juge, et le regard du Père des Cieux n'est pas celui des je vais faire dans le dans ma grande Nuit d'Orient "Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune" dirait Victor Hugo. Une nuit entière d'agonie, calme et paisible, mais sans aucune lumière et tout mon être suppliant l’Éternel dans un ciel de douleur sans écho. Mais "O ! nuit qui m'éclaire plus sûrement que le jour"Pas de vision pas de parole mais comment dire ? C'est très mystérieux mais ma nuit même me disait quelque chose et en était le contour ; une phrase très précise au mot près qui était "Une vierge va venir, qui va faire passer l'humanité entière dans la troisième ère du monde".Le matin je me suis dit "Bon! Ça-y-est mon bonhomme tu as franchi la ligne jaune, bonjour la schizo". Et j'attendais l'ouverture de l'heure des bureaux pour prendre rendez-vous au CHP du coin. Mais il m'est arrivé ce qui m'arrive parfois quand je suis perplexe je tombe sur un texte qui répond à ma question. Et là, je suis tombé sur un texte qui disait "Luisa Picarretta a prophétisé qu'une vierge va venir qui va faire passer l'humanité entière dans la troisième ère du monde". Pile-poil exactement la même phrase reçue, à la virgule l'instant elle commence son chemin. Prions et offrons des sacrifices pour elle car sa mission est redoutable. La troisième femme la plus importante du monde, après Eve et gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Jeu 30 Nov - 617, édité 1 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Jeu 30 Nov - 615 Le jeun. Comment Jésus m'a enseigné le jeun ? On va dire que le moyen utilisé n'a rien d'extraordinaire ; et pourtant si, parce que Jésus fait de l'extraordinaire avec de l'ordinaire. Voilà J'avais été invité à une soirée de réveillon par un ami, et celui-ci avait reçu comme cadeau de Noël une machine à pain. Enthousiasmé il avait voulu essayer toutes les recettes du livre, et de joie, nous les faisait tous goûter "tiens ! goûte à celui-ci aux grains et celui-ci, et celui-là, mais vas-y reprends-en il y en a plein....Tant et si bien qu'au moment de passer à table pour un plantureux festin, je n'avais plus faim. Mais j'avais eu un autre festin celui de la joie de mon ami, qui sans s'en rendre compte, m'a fait jeûner un soir de réveillon. Mais Jésus lui aussi a une machine à pain. Tu trouves que le pain du jeun est triste ? Goûte mieux ! Tel pain de jeun a le goût d'une réconciliation, tel autre celui d'une grosse difficulté surmonté, ou encore d'une conversion de quelqu'un que tu aimes, et encore d'une vocation, et que sais-je encore à n'en plus finir, car Jésus est plein d'imagination. Merci gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Mer 6 Déc - 530, édité 1 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Mer 6 Déc - 529 Les esprits d' vais déroger à ma règle en ne vous donnant que mes visions de lumière, et vous parler ici d'une vision de la nuit. Car en ces temps de malheur qui sont aussi des temps de de grande grâce, les nuits de l'esprit vont sans doute se multiplier, et cette connaissance peut servir. je veux parler des esprit d'épouvante, si cher au renouveau charismatique. Quand une âme est en progression, avec la permission Divine elle peut être conduite par les démons dans un esprit d'épouvante, afin de lui faire peur et la dissuader de continuer. Cette vision provoquée par les démons n'est pas du tout du même ordre que celle venant du Saint Esprit. Elle ferait plutôt penser à un état médiumnique,poltergeist, hallucinatoire, voir pathologique alors qu'il n'en est rien. En fait nous ne sommes pas possédés par un esprit d'épouvante, c'est plutôt cet esprit qui est possédé par nous malgré lui. Je m'explique Les esprit d'épouvante sont des anges déchus de l'ordre des Chérubins, les éternels silencieux du ciel, dont la seule mission est de montrer du doigt le trône de l’Éternel dans la contemplation Divine. Il ne faut pas s'imaginer comme on le fait des petit angelots simplets car ils sont en fait des esprits d'une puissance phénoménal. Leur péché, ceux des Chérubins qui sont tombés ? Ils ont refusé d'avoir confiance face à la gloire Divine, insupportable à toute créature, sans passer par le Verbe rendu infiniment petit dans la crèche, avant de rebondir. l'infinitude de Dieu est insupportable en lui-même ; et seul Jésus dans la crèche peut être adoré sans effroi, pour, à partir de là devaient être de grands esprits planant dans l'Esprit Saint, et là, ils se retrouvent comme en cale-sèche, suffocant d’effroi à chaque seconde et éternellement face à l'infinitude de Dieu insupportable à toute créature finie. Alors imaginez comme une grande cathédrale. Ils sont comme ces démons décrit par Bosch, le visage tourné non vers l'extérieur mais l'intérieur, et vous êtes conduit à l'intérieur de cette cathédrale de malheur face à ce visage qui suffoque, mais, partageant son propre effroi. Ces "Chérubins" on gardé la capacité de percer la puissance contemplative des êtres, et ils vont suffoquer de votre propre puissance contemplative, partageant malgré eux et avec vous leur effroi. Et tout devient alors effroi, épouvante "Ha! tu as trop prié le chapelet, tu as trop communié, et maintenant il est trop tard". Tout devient effroi, épouvante, et il faut tout son courage et toute sa foi pour ne faire qu'un simple signe de croix qui devient terrifiant. Et le plus chagrinant alors et que Marie elle-même nous apparaît comme une tigresse. La pauvre petite maman.... Dans leur intériorité maudite, ces esprit d'épouvante sont éternellement face à un puits sans fond qui est celui de la CONFIANCE car l'enfant Jésus dans la crèche n’apparaît pas encore, et il suffirait qu'il se jette dans ce puits de la confiance pour immédiatement retrouver le salut, mais ils s'y refusent. Et nous c'et notre salut pour sortir de ce guêpier. La vie spirituelle est un moteur à deux temps espérance confiance, espérance confiance, espérance confiance. Mais le positif de cette expérience est que ça nous fait un vrai scan de notre vie spirituelle. Par exemple, moi, je me suis alors aperçu que l'Adoration du Saint Sacrement ne me plongeait absolument pas dans l'épouvante, et effectivement à cette époque de ma vie elle manquait. Merci de l'info esprit d'épouvante. Mais je le répète la vie spirituelle est un moteur à deux temps Espérance confiance, espérance confiance, espérance confiance. Merci gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Ven 8 Déc - 1020, édité 1 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Ven 8 Déc - 1016 Avortement. David est parti au vais ici faire encore un pas vers mes visions de la nuit, car cela débouche franchement sur la lumière. A savoir, le repentir de l'avortement. Tout commence d'abord par une note sombre, une expérience de l'enfer. Je ne sais pas trop et je peux me tromper, un envoûtement car sœur Couder a fait la même expérience à la suite d'un envoûtement ? Ou alors un avertissement sur les conséquences de l'avortement ? Toujours est-il que j'associe ça fortement à l'avortement. Tout a commencé avec une collègue de travail qui n'arrivait plus à dormir. Non je n'était pas amoureux d'elle et je ne l'ai jamais désirée. Elle m'a confié qu'elle n'arrivait plus à dormir, parce qu'elle était persuadé qu'à sa mort elle allait se réveillé vivante dans sa tombe. Et moi bon boy scout je lui ai dit "Je prend ça sur moi, ça ne t'arrivera pas".Quelques temps plus tard alors que j'étais en train de faire la vaisselle, l'espace s'est déchiré devant moi et une sorte d'arc électrique me frappait tour à tour au front ou au cœur, et je vous assure que c'était aussi tangible que si cela avait été une châtaigne de 250 volts. Mais c'était noir, froid et sec. Rien à voir avec une électrocution ; c'était comme des milliards d'araignées, la mort dans la mort, la quintessence du lugubre, et le mythe des vampires paraissait boy scout à coté. Quand ça me touchait au front tout mon esprit plongeait dans un noir d'encre, et quand ça me touchait au cœur, tout mon corps. J'ai reculé immédiatement pour ne pas me noyer dans l'eau de vaisselle car sans perdre connaissance je perdais toutes mes forces physiques. Puis, profitant d'une accalmie je me suis précipité dans ma chambre pour que mes enfants ne me voient pas dans cet état. A peine écroulé sur mon lit "ça" m'a touché sans interruption au front et au cœur en même temps, et je me suis retrouvé cent mètres sous terre comme dans une tombe, un cercueil. Pendant tout ce temps je m'efforçait de répéter "mon Dieu je ne veux que ta volonté d'amour" car j'avais très peur de me mettre à maudire Dieu. Mais je me souviens aussi avoir pensé "pourvu qu'il me reste un bout de doigt indemne que je puisse continuer à respirer Dieu". On ne s'en rend pas compte car ça ne nous manque jamais mais on respire Dieu ; tout respire Dieu, jusqu'au moindre caillou. Et là, j'étouffais littéralement car je ne respirais plus y a eu quand même une accalmie, et je me suis précipité sur une bouteille d'eau de San Damiano pour me signer, mais avant d'y arriver la pièce tanguait comme une petite barque dans une furieuse tempête pleine de colère. Puis je me suis signé avec cette eau bénie, et tout s'est arrêté. En me regardant dans la glace, j'ai vu que j'étais trempé de sueur comme si j'étais passé sous une douche alors que cette épreuve n'a duré que quelques minutes. Mais j'ai compris. Ma collègue de travail avait fait un avortement, et elle était prévenue des conséquence s'il n'y avait pas de repentir. Par délicatesse je n'ai pas osé lui parler. Un simple regard en lui disant "tout est arrangé ça ne t'arrivera pas", et elle a compris. Bien sûr je peux me tromper et j'ai horreur de ceux qui font passer leurs opinions pour celles de Dieu dans un chantage indicible. Mais mon avis est que s'il n'y a pas de repentir, celles qui avortent risque de se retrouver pour toujours enfermées dans un cercueil, coupé de tous à tout jamais. Avec cette parole "tu as voulu être tombeau, tu seras tombeau".En fait c'est même pas Dieu qui punit. C'est la femme ou le coupable qui tombe dans sa propre psychose. je vous parle de mon expérience avec David, un enfant gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Sam 9 Déc - 1244, édité 1 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Sam 9 Déc - 1243 David est parti au ciel a commencé pendant une Adoration. J'ai d'abord senti qu'on me faisait comme une onction d'huile sur le front. Puis j'ai eu une vue d'une acuité visuelle dix fois plus forte qu'avec les yeux. C'était une jeune sœur d'un groupe de prière, la coupable ou plutôt la victime d'un avortement. Elle était dans un campus universitaire, et elle cherchait joyeuse et vive l'entrée d'une formidable pyramide s'élevant jusqu'au ciel la Jérusalem céleste, le château intérieur de l'âme ? A mon avis cette vision m'était donné par un Chérubin ; mais ensuite j'ai vu comme.....disons le dessin d'un enfant de treize ans que j'ai assez facilement réussi à reproduire, et que je vous donne Je pense que c'est David l'enfant avorté qui m'a fait ce dessin pour m'expliquer son est très simple - je chameau en haut ? Un chameau, c'est un chameau, un Le chameau la bouscule un peu plus que prévu. Vlan ! enceinte. j'ai aussi eu un songe d'elle à la clinique d'avortement. Sur sa porte il y avait marqué Mlle Frico. Frico, fricotage.....hum!.....- L'ours en fait c'est moi. Sept ans auparavant j'avais croisé deux jeunes pour qui j'avais eu l'inspiration de prier afin d'éviter une catastrophe, et j'avais négligé la prière. David l'enfant avorté me l'a très délicatement rapporté......Sept ans ou treize ans ? J'ai l'impression que dans son monde, le temps passe plus vite que chez L'arbre cassé avec une boule ? suite à l'avortement elle a dû avoir des complications morales ou physiques avec son système gynécologique. Sur ce dessin on ne voit pas tout mais "l'ours" met un essaim d'abeille au milieu de cet arbre. Une abeille, ça pique et ça brûle, mais ça apporte aussi la douceur du miel et la Idem pour le fil à la patte. Ce problème d'avortement vers quatorze ans l'empêchait d'avancer. mais en allant porter l'essaim d'abeille dans son arbre gynécologique, l'ours marchait sur le fil et le cassait. Traduction pendant la réunion de prière du groupe j'ai lancé "Pour une jeune fille qui a avorté à quatorze ans. Le Seigneur veut guérir sa mémoire et qu'elle découvre son vrai visage".Cela a été comme un coup de tonnerre de guérison pour elle. Mais je ne vais pas tout raconter car ce serait trop long. Ceux que ça intéresse peuvent aller ICI où je raconte tout en je l'ai vu, vu, et encore vu, et il est resté deux mois avec moi où il était toujours là. Ce qui était assez éprouvant car parfois j'étais en présence de sa jeune mère et lui à coté, et je ne pouvais rien révéler à cette jeune même carrément, une fois il m'a invité dans son me suis retrouvé dans un champs d'herbe, et au loin il y avait un chemin où quatre ou cinq enfants faisaient une promenade en vélo. Dès que je suis arrivé les cinq regards se sont tournés dans ma direction, et David a foncé droit sur moi en faisant un dérapage contrôlé au dernier moment pour m'éviter. Les anges ont l'air d'être plutôt cool avec eux ; d'abord il avait les cheveux qui lui tombaient sur les épaules, et ces enfants ne semblent pas briller par une discipline excessive. Puis un jour, il s'est planté devant moi, comme un enfant au supplice obligé de subir une séance de photo ou de peinture. J'ai compris qu'il venait me dire au-revoir, et qu'il se tenait devant moi afin que je mémorise son visage. Au bout de plusieurs minutes son visage s'est estompé, et il a disparu. je ne l'ai plus jamais revu. Adieu David, on se reverra au Ciel. Mon impression ?ce qui suit ne vient pas d'une révélation mais d'une impression générale, et bien sûr je peux me tromper. Mais j'ai l'impression qu'à leur mort, ils sont immédiatement pris en charge par un Chérubin qui les conduit à l'école du ciel, car on n'entre pas dans la vision béatifique comme ça. Et ça n'est pas tout à fait le ciel, car manifestement ils ne sont pas encore parfaits, et ont encore du chemin à faire. Qui sont ils ?Je pense que Seigneur est en train de se constituer une race de seigneurs, au-dessus des hommes et au-dessus des anges, car d'une certaine manière, ils sont hommes et anges tout à la fois. Et quand le nombre de ces seigneurs sera atteint, le Seigneur s'écriera "Stop, ici c'arrête l'orgueil de tes flots tu n'iras pas plus loin".Et il n'y aura alors plus aucun avortement sur est il venu me voir ?Et bien je pense que c'est d'abord pour se réconcilier avec sa maman, mais aussi pour nous montrer que ces enfants avortés, ce n'est pas un problème morale abstrait n'existant que dans la tête des gens, mais que c'est bien concret. Ces enfants, c'est concret ; ils existent, et ont une histoire, qui continue et continuera jusqu'à l'éternité, qu'on le veuille ou En cas d'avortement, le repentir. Sinon, Boum ! Le gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Lun 11 Déc - 1814, édité 3 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Lun 11 Déc - 919 L'Heure Sainte. Ça m'a été donné à Chateauneuf de Galaure à une retraite du foyer de charité du vivant de Marthe Robin je l'ai vu trois fois pendant des retraites quand elle vivait encore sur Terre. Une nuit vers deux ou trois heure du matin, j'ai entendu intérieurement la voix de Marthe qui me réveillait brusquement et me disait Vite ! lèves-toi et engourdi par le sommeil j'ai dû prier quelques minutes tout au plus d'une mauvaise prière. Mais la toute petite graine de l'Heure Sainte était plantée, qui lentement, doucement et très doucement allait pousser. Dans le "livre de l'amour miséricordieux" Jésus demande l'Heure Sainte pour lui tenir compagnie dans ses longues nuits de pleurs et de douleurs, avec la promesse que tout ce qu'on demandera alors, sera exaucé. Mais rien ne nous donne plus la joie la paix et le bonheur que l'Heure la barbe je ne fais pas l'office de lecture de l'office des heures ; trop long. Et même techniquement je ne fais pas une heure pleine car ensuite je ne retrouve plus le sommeil, et ma journée du lendemain est plombée. Non pour moi la bonne durée est 1/2 heure où je me remet en Marie Immaculée pour qu'en moi elle accomplisse la Divine Volonté du Père ; et ceci à 3h30 du matin. Mais en contrepartie et dans le silence de la nuit, Jésus vient nous parler comme à un ami, selon l'inspiration. Premier effet, cela implique une certaine discipline de se coucher vers 9 heure et ne pas traînailler devant la téloche à regarder des bêtises. Essayez vous allez voir ; ce n'est pas si dure que ça. Merci gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Mar 18 Sep - 1856, édité 2 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Ven 15 Déc - 752 Les trois jours de peux me tromper, bien sûr, mais il me semble bien que j'ai anticipé les trois jours de ténèbres. Auparavant j'avais entendu parler de ça par ma grand-mère et je n'y avais guère prêter attention, sans plus. En fait nul dans cette vision ne m'a dit que c'était ces fameux trois jours, mais après déduction et surtout ce que m'a dit Marthe Robin la deuxième nuit, j'en conclus que que c'est sans doute ça. Sauf que ce que j'ai vécu dans la vision doit encore être vécu dans la foi. Que s'est-il passé ? et je vais être le plus sobre possible Imagination, réalité ? Tout a commencé comme si Lucifer en personne me demandait de renoncer à l'amour avec une voix très calme, avec à chaque fois l'impression d'être sous l'eau où tous les bruits s'estompent. Par trois fois il m'a fait cette demande, et trois fois je lui ai répondu " Je ne veux que la volonté d'amour du Père Éternel".A ma troisième réponse j'ai entendu une nuée de mouche qui se sont posées sur tous mon corps, et qui me brûlaient. A partir de là je suis littéralement entré au tombeau. la nuit dans la nuit, la mort. je veux rester très sobre, mais c'était comme un grand combat entre l'icône de l'amour infini du Verbe qui a fait comme exploser mon âme par sa véhémence, et un dragon qui s'est mis à me poursuivre ; un dragon formé de toutes les scories de mon âme, de tout ce qui en moi n'est pas purifié. Mais dés le début, aussi, j'ai senti deux mains qui encerclaient ma tête avec bienveillance et amour, et sans ces deux mains, je ne sais pas si j'aurai tenu le coup. Puis trois jours plus tard à quinze heure, Vlan ! tout s'est arrêté d'un coup. Il faisait beau la vie était belle ; et doucement les deux mains protectrices se sont elle aussi retirées. On peut douter de cette expérience. Et moi en premier, car quelle que temps plus tard je suis allé voir un psychiatre histoire de voir si je n'ai pas fait tout bonnement une crise de démence. Mais le psychiatre m'a rassuré en me disant que la psychiatrie ne s'occupe pas des expériences puis Outre cette expérience intérieur il y a eu des phénomènes perçus par les autres Ma femme sentait autour de moi une odeur de pneu brûlé, odeur que j'ai senti pendant trois jours, au travail mon directeur a entendu des "voix" dans le bureau où je travaillais alors que j'étais seul ; ce qui m'a sans doute valu de ne pas être viré, car pendant ces trois jours mon travail n'était pas au top, et mon directeur a compris qu'il se passait quelque chose indépendant de ma volonté.....Mais surtout, ma mère. Le lendemain matin où les choses ont commencé elle est venu me voir affolée en me disant " Philippe, qu'est-ce qui se passe ? Hier soir vers dix heures j'ai entendu comme une gigantesque porte d'acier mais qui ployait, ployait sous une force irrésistible, et brusquement la porte a explosé dans un vacarme épouvantable, libérant des choses, des créatures mauvaises, et pour elles c'était une tragédie inexorables, définitive. J'ai cru que c'était un avion qui revenait du Koweit et qui avait crashé, et je me suis levé en hurlant pensant que toutes les vitres de la maison étaient brisées, mais il n'y a que moi à avoir entendu cela. je savais que c'était lié à toi, je ne sais pas pourquoi mais j'en étais sûr. Vu le témoignage de ma mère, comment ne pas penser à une porte, une porte d'enfer qui venait d'exploser ?.....Mais surtout il y a les paroles que m'a confiés Marthe Robin, et ce sont elles qui peu à peu, m'ont fait penser que j'avais peut-être anticipé les trois jours de gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi édition par Philippe le Mar 18 Sep - 1916, édité 6 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Sam 16 Déc - 724 Les trois jours de ténèbres vais aujourd'hui vous donner ce que j'ai reçu de Marthe Robin sur les trois jours de ténèbres. Mais auparavant je voudrais vous dire. La foi tâtonne, cherche, parfois se trompe, et finit par trouver la vérité puisque c'est la promesse du Seigneur. Je fais la distinction entre ce que je reçois du ciel et que très souvent j'interprète mal, et ce qui est de l'ordre de mon opinion personnelle. Je réclame un certain droit à l'erreur. Et je vous implore ; ne faite pas de moi un faux prophète et un imposteur, en faisant de moi un messager de Dieu de toutes mes opinions personnelles. La Vérité ? on va la faire tous ensemble, mais en communion avec l'Eglise et nos que la distinction est faite, je peux vous donner ce que j'ai reçu de Marthe durant cette épreuve de trois jours de ténèbres, et je ne changerais pas la moindre virgule ; à vous de arrivé la deuxième nuit de mes jours de ténèbres. Tout ce qui est en bleu est de Marthe Robin à la virgule et au point prêt, et je n'ai rien changé. Elle m'a dicté ça mot après mot sans que je puisse deviner le mot suivant, et à chaque phrase je croyais que c'était la dernière, mais ça continuait. Ensuite quand j'ai relu je n'ai rien compris, et c'est peu à peu que la lumière m'est venue. En fait, je ne savais même pas que j'anticipais les trois jours de ténèbres, et c'est ce qu'elle m'a dicté qui m'a mis la puce à l' grandes ailes de prière de l'ange de douleur vous seront donnés afin de surmonter cette vers le point de lumière, de Marie Immaculée. Prends un stylo et nuit"Seigneur, sauve-moi".Ça, tout le monde peut le nuitCertains vont reprendre courage, et faire demi-tour, pour aller chercher leur frère, qui serait perdu sans cela."Seigneur, si mon frère est perdu, que je sois perdu avec lui".Quelques uns le feront, puis d'autres, et d'autres encore, et à la fin tout le monde le nuit"Seigneur, que tous mes frères, que toutes mes sœurs, soient plus élevé que moi, dans l'ordre de la grâce, de l'amour et de la sainteté".Quelques uns vont le faire, puis d'autres, et d'autres encore, et à la fin on va finir par tous se pousser à qui mieux mieux vers le commence la démesure à vous de juger. A noter que Marthe Robin ne parle pas des phénomènes fantastiques extérieurs qui se dérouleront alors tels que, Obscurité, apparition de démons, tonnerre fracassant et que sais-je encore ? Non, elle ne parle uniquement que de ce que l'on va vivre intérieurement et le chemin spirituel que l'on devra prendre alors pour bien vivre cette épreuve. Reste que ce n'était qu'une vision même si très douloureuse, mais maintenant je dois vivre ça dans la foi. Et croyez moi, il y a du gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi au début====================================================================================Dernière édition par Philippe le Mar 18 Sep - 1910, édité 2 fois PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Dim 17 Déc - 804 Ultime recommandation. Pour moi il y a les visions de la lumière et les visions de la nuit. Et là je franchis quasiment la ligne jaune en vous donnant une vision de la nuit, mais je pense que c'est a commencé par un songe et a fini par une mon songe, j'étais dans une église. Je donnais des coup-de-pieds dans les murs, et il y avait des démons qui en sortaient qui s'enfuyaient en rampant. Puis je m'élevais au sommet de cette église église ou Eglise ?, et là il y avait un démon terrible ; mort de trouille mais trop orgueilleux pour s'enfuir. Comme ce songe était désagréable je me suis réveillé ; je suis descendu dans la cuisine me faire un café et fumer une cigarette pour penser à autre chose. Mais en vision intérieur je continuais à voir ce démon qui me regardait, dans une parfaite acuité, et ça me brûlait la tête. je ne parle jamais au démon mais là je n'ai pu m'empêcher de lui dire "Et toi tu ne parts pas ?". Et lui, je l'ai entendu me répondre avec une voix double, que j'ai entendu avec mes oreilles mais quatre cent décibels "J'attend la puissance suprême de monseigneur Lucifer".Sur le coup j'ai été terrifié. Non par la vision elle-même car dans ces cas-là on a toujours la grâce, mais j'avais très peur que mes enfants en bas-âge aient entendu aussi. Mais non, je me suis demandé quelle pouvait être cette "puissance suprême de Lucifer", et finalement j'ai trouvé la réponse dans le CEC qui nous dit que la puissance suprême de Lucifer, c'est l'esprit de l' détail qui a son importance en me disant cela, narquois il prenait mon visage. j'ose prétendre m'efforcer d'être fidèle, et donc le diable va créer la confusion en faisant croire que ceux qui sont fidèle sont du coté du diable, dans un mauvais chemin. Je préfère ne pas faire de commentaire, sinon que le Padre Pio disait souvent que le poisson pourrit par la tête. Mais prions, prions beaucoup pour l'Eglise et ces chefs, car l'heure de l'épreuve redoutable entre toutes est gloire, gloire à toi. Toute ma tendresse pour toi au début==================================================================================== FrançoiseconsacréMessages 7626Date d'inscription 12/06/2016Sujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Dim 17 Déc - 817 Philippe,Je suis sidérée, Philippe qu'est-ce que tu en as vécu des expériences "mystiques" ! ... Mais, en fait, quand on te connait un peu, cela ne m'étonne pas outre mesure ! ... Et je suis contente de travailler avec toi. Que tes chevilles n'enflent surtout pas, reste un petit bonhomme tout simple sans aucune prise de tête, comme tu es dans la toujours dans la Divine Volonté !Bien amicalement, Françoise.====================================================================================Seigneur, aide-nous maintenant à être vraiment catholique et à rester dans la grande vérité, en ton Dieu, et ainsi vivre et mourir. PhilippeconsacréMessages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Dim 17 Déc - 950 Merci. Non je ne risque pas de faire éclater mes chaussettes. je pense que j'au reçu tout ça justement parce que je suis un spécimen de petit bonhomme. Jésus s'est d'abord fait une élite, et maintenant il veut se mettre au milieu de son peuple . Et dire que je suis le plus misérable de tous serait encore bien prétentieux.==================================================================================== Contenu sponsoriséSujet Re Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Témoignage. Aboutit au trois jours de ténèbres. Page 1 sur 1 Sujets similaires» Les trois jours de ténèbres.» Les 3 jours de ténèbres du Padre PIO - un enseignement de Fabienne Guerrero.» La Lumière brille dans les ténèbres et les ténèbres ne l'ont pas arrêtée.» Jésus est la Lumière du monde, en Lui point de ténèbres.» Sainte Faustine Tentations et ténèbres, Satan Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum Forum Catholique LE MONASTÈRE INTÉRIEUR. Vivre avec notre Seigneur et sa mère ÉVANGÉLISATIONSauter vers
Laprématurité ne s'arrête pas aux portes de l'hôpital. Si ces petits guerriers ont du se battre pour rester en vie, ils doivent continuer le combat. Ils ont déjà traversé le parcours du combattant pour arriver jusqu'à leur terme, et restent plus fragiles, tout est source de vigilance.

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ilfaut grandiiir tu mfais pleurer la nuiiiit - Topic si tu m'aaaaimes arrête tes betises du 29-12-2016 22:15:04 sur les forums de jeuxvideo.com

Harry Potter 2005 ~¤~ Pré-au-Lard ~¤~ Rues de Pré-au-LardMaître de jeu Jour de pluieMaître de jeu, le Lun 10 Avr - 2224 Situé dans un climat particulièrement changeant, Pré-au-Lard n'est pas à l'abri de la pluie. Sous le soleil, le village semble animé, quelque peu joyeux, éclairé. Lorsque le ciel s'assombrit et fait tomber des trombes d'eau, ou simplement un crachin d'automne, tout devient terne. Les rues sont beaucoup moins remplies, les pavés sont glissants et les différentes artères ne protègent en rien les passants qui se montrent moins aimables, où le vent s'engouffre sans crier gare. Cependant, la pluie donne une beauté sauvage à Pré-au-Lard, dont les centaines de lanternes brillent aux fenêtres les jours de pluie, comme de nuit. L'odeur de celle-ci emplit les narines et procure, pour certains, un sentiment de fraîcheur. Andrew EalesGryffondor Post à déplacerAndrew Eales, le Lun 17 Avr - 355 -Le jour où l'enfer s’abattit sur Terre ! RP Flashback - [PV avec Daegan Harltøfsen.]A R T H U R -S M I T HJe vais te tuer Eales !Ça, c'est Arthur Smith, une saleté de deuxième année à Gryffondor. Toujours à s'en prendre à moi sous prétexte que je sois nouveau et surtout tout chétif. Et ça se dit membre de la maison du courage... mes fesses ouais ! Mais pour savoir pourquoi cette tâche me court après, il faut remonter quelques minutes en arrière. Alors qu'il m'avait une fois de plus humilié en sortant des dortoirs, j'avais décider de me venger un peu plus tard, durant le petit-déjeuner. Résultat ? J'avais "un tout petit peu" saboté son repas en ajoutant quelques "ingrédients mystères" assez... spéciaux ! Résultat ? Il s'était rapidement compte que ça venait de moi et s'était mis à me courser un peu partout dans le château. Voici donc pourquoi j'en suis là, maintenant, à utiliser mes petites jambes pour tenter de me cacher le plus loin possible avant qu'il ne mette la main sur moi ! Car je suis un garçon très réaliste, je sais parfaitement que s'il m'attrape, je vais passer un sale quart d'heure. Et je préfère rester en un seul morceau ! Je me fraies donc un chemin comme je le peux en passant entre les élèves que je vois, commençant à sortir à l'extérieur alors que je l'entends se rapprocher de plus en plus, me hurlant dessus au passage. A R T H U R -S M I T HTu vas voir quand je t'aurais attraper !D A M I E N -E A L E SFaudrait déjà y arriver !Lui tirant la langue au passage, je regarde à nouveau devant moi pour me rendre compte que je suis foutu. Je viens de me stopper pile poil devant le lac, un peu plus et je finissais dedans tête la première ! Et le gros problème est que je n'ai plus aucun moyen de m'échapper, Arthur n'est pas très loin et si je tente d'aller à gauche ou même à droite, je perdrais bien trop de temps et il finirait par m'avoir, j'en était sûr. Ce grand imbécile commence déjà à venir devant moi, un sourire de victoire sur les lèvres. Mais rira bien qui rira le dernier ! Car tu sais pas ce que je peux mettre dans ton prochain repas !Il fini par être là, devant moi, m'attrape par le col et me pousse un petit peu, mes talons se retrouvant à un rien du lac dans lequel je vais certainement être d'ici quelques instants, connaissant le genre du garçon. Mais peut-être pas directement puisqu'il lève son poing droit, prêt à me frapper à tout instant pour me punir de ce que j'ai osé lui faire. Si seulement j'étais plus grand et plus fort... il se serait prit une grosse raclée et aurait arrêter de m'embêter ! Mais là, je ne peux pas lui faire grand chose avec le peu de force que j'ai. J'aurais du être comme mon grand-frère... il me regarde alors et me pose la question que j'attendais depuis tout ce R T H U R -S M I T HUn dernier mot à dire ?D A M I E N -E A L E S... Plouf ? J'espère au fond de moi que quelqu'un va venir me sauver de cette brute, car là, je ne risque pas d'aimer ce qu'il va m'arriver. Mais bon... je rêve sans doute...DAMIEN J. Alice Bonjour Damien. Votre post n'étant pas conforme à la cohérence exigée par le Règlement RPG, je l'ai déplacé dans un sujet qui vous est disponible. Merci de faire plus attention à l'avenir. Cordialement. Invité Re Jour de pluieInvité, le Jeu 20 Avr - 1409 Assis tranquillement en face du lac, Daegan observait de ses yeux malicieux le château de Poudlard de l'autre côté de l'eau. C'était le weekend et les enfants aillant obtenue une autorisation de sortie pouvaient aller se promener dans le village de Pré-au-lard. La plupart achetaient des bonbon, les plus vieux allaient boire un verre au bar. Mais Dae' n'était ni fan de bonbon, ni assez vieux pour boire ce qu'il voulait. Du coup il était dans un espèce d'entre deux, là, face au lac. Au moins il était tranquille. Le jeune garçon était assez dynamique mais il adorait ces moments de calme. C'était dans ce genre de moment qu'il prenait le temps de s'adresser aux Dieux nordiques. Il les remerciait souvent pour les pouvoirs qu'ils lui avaient offert à la naissance. Tu vas voir quand je t'aurais attraper ! » Fronçant légèrement les sourcils, le deuxième année détourna son attention du lac pour tenter de reconnaître la voix. Cette dernière semblait lointaine mais en colère. Pitié, Odin, que personne ne vienne le déranger maintenant... Sauf si c'est important... Et que son rôle est essentiel dans cette histoire ... Poussant un soupir, le jeune homme qui était déjà grand et carré pour son âge tenta de se concentrer à nouveau sur la méditation dans laquelle il se trouvait juste avant. Faudrait déjà y arriver ! - P*tain.. » Lâcha t-il en se tournant cette fois ci vers les voix qui se rapprochaient alors qu'il vit, un peu plus loin, un tout petit bonhomme s'arrêter juste en face du lac. Au vue de la course folle, Daegan était persuadé qu'il allait finir à l'eau. Mais non. Il s'arrêta à temps et sembla peu serein à la vue d'un autre garçon qui arrivait à sa suite. Ah lui il le connaissait ! Smith, ils avaient cours de soin aux créatures ensemble. Idiot ce type. Bon Daegan aimait aussi faire l'imbécile de temps en temps mais jamais si ça doit atteindre quelqu'un d'autre. Smith, lui, c'était principalement ça qui le faisait marrer Faire ch*er les autres. Surtout les plus faibles. Genre le petit bonhomme en question juste là. Un dernier mot à dire ? » Et là, un poing se lève. C'est une blague ? Il allait vraiment user de violence ? Daegan, du haut de ses 1m68 malgré son jeune âge, se redressa alors pour s'approcher. Eh ! » Surpris par cette voix sortie de nul part, le bourreau baissa sa main pour s'intéresser au nouvel arrivant. Qu'est ce que tu fiches ici Daegan ? - Ma présence est légitime contrairement à ta façon d'agir. Laisses le tranquille. » Le gryffondor, sentant sa fierté menacé, s'approcha alors de son alter ego les poings serrés. Ils faisait à peu près la même taille, le jaune étant légèrement plus grand. Tu m'donnes des ordres toi ? - Plutôt des conseils. » La répartie et l'air un peu trop sérieux du Norvégien sembla dissuader quelques peu l'autre garçon. Mêles toi de tes affaires. - La prochaine fois fais en sorte de ne pas te donner en spectacle alors. » Un combat de regard sembla durer une éternité alors que le petit bonhomme, à côté, n'avait toujours pas prenant un sourire moqueur pour cacher sa frustration, Smith lança un regard menaçant vers l'enfant et un clin d'oeil à Daegan. On se voit en cours Dae'. - Ouais c'est ça. » Gardant la mâchoire contracté jusqu'au réel départ du rouge et or, le norvégien finit par se détendre en poussant un soupir. C'était un réflexe qu'il avait, à chaque fois qu'il sentait une bagarre arriver il contracter sa mâchoire en cas de coup, pour que l'impact soit moins puissant. Technique qu'il avait apprit en se battant avec ses frères. Enfin, il s'intéressa au petit bonhomme. Il lui adressa un sourire bienveillant et lui mit un petit coup dans l'épaule. Si tu veux mon avis, soit tu apprends à te défendre, soit tu arrêtes tes bêtises. » Parce qu'il était plus qu'évident que l'enfant était un semeur de trouble. Andrew EalesGryffondor Re Jour de pluieAndrew Eales, le Jeu 27 Avr - 1541 -Le jour où l'enfer s’abattit sur Terre ! RP Flashback - [PV avec Daegan Harltøfsen.]Alors que je me demande quelle religion je vais choisir pour demander à un dieu de me sauver de cette tâche d'Arthur, j'entends une voix un peu plus loin qui vient de me sauver sans avoir fait quoi que ce soit, puisque l'autre brute me relâche tout de suite. Ouais ! Victoire pour Eales ! La personne ayant volée à ma rescousse s'appelle visiblement Daegan, un élève bien plus grand que moi - mais ça, c'est pas dur, je suis un véritable nain ! - et plus costaud surtout - mais encore une fois, pas dur, je suis une véritable brindille ! - n'ayant du coup aucun mal à se faire respecter par la fouine de que... l'autre idiot s'approche de lui en serrant les poings... ils ne vont quand même pas se battre ? Car si ça arrive, j'ai juste à venir discrètement et paf ! Une petite représentation personnelle de Casses-Noisettes pour Smith ! Mais je n'aurais pas à user du coup de pied bien placé vu que finalement, le crétin fini par s'en aller, me lançant un regard menaçant juste avant. Alors que je le vois s'éloigner, je lui fait de grands signes de la main, un large sourire aux lèvres, content de le voir partir, surtout que je pensais finir dans la flotte !L'autre garçon se retourne finalement vers moi et vu son écusson, il semble être un Poufsouffle. Après m'avoir lancé un sourire bienveillant, il me frappe doucement dans l'épaule - heureusement d'ailleurs, sinon, hop, plus d'épaule ! - pour finalement me dire que j'allais soit devoir apprendre à me battre soit arrêter les bêtises. Oh bah le choix est simple, très très simple même !D A M I E N -E A L E SJ'apprends à me défendre alors ! Comme ça la prochaine fois qu'il veut s'en prendre à moi, je lui pète la tête !Et vu que je suis un garçon plein d'énergie, je ne peux pas m'empêcher de mettre quelques coups dans le vide, mimant ce que je compte faire à Arthur la prochaine fois, pour ensuite sourire à mon sauveur et placer mes mains derrière ma tête. Sur le coup, il était tombé à pic, sinon ça aurait été moi ! Tiens d'ailleurs... je me mets à observer celui qui semble s’appeler Daegan, me rappelant ensuite de tout ce qui venait de se passer avec l'autre tête de lutin. Et rapidement, je lui pose une A M I E N -E A L E STu veux pas m'apprendre toi d'ailleurs ? T'as l'air fort, puis si j'dois attendre la fin d'année pour ça... L'autre avec son hygiène de troll avait l'occasion de me frapper plusieurs fois durant l'année et Daegan ne serait pas là à chaque fois. Et puis même en dehors de Poudlard, ça allait être dur de pratiquer des sports de combats en étant à l'orphelinat... du coup, mon unique espoir se trouve devant moi ! Et alors que j'attends sa réponse, quelque chose me revient soudainement et je me dépêche alors de reprendre la A M I E N -E A L E SOh ! Je m'appelle Damien Eales sinon ! Et merci de m'avoir sauver de l'autre tête d'ampoule J. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Jour de pluieKohane W. Underlinden, le Dim 4 Juin - 1734 Pas de réponse depuis plus d'un problème, me avec Seth McSoulPlicPlocContre le carreauNuit d'orage et de pluieTrombes d'eau qui s'abattent sur les pans d'une auberge anonyme, contre les vitres d'une chambre anonymePlongée dans le d'alcool ; bouteilles roulant au solDraps froissés, agités, retournésSur le grand lit dépliéMouvements des corps anonymes, eux aussi, seulement chair fraîche dans cette chambre noireLes respirations au rythme presque des plic ploc du dehorsLes yeux ne se regardent pas, ne se voient pas, ils voient ailleurs, ils voient peut-être un autre, une autre, ils ne voient plus et le corps se contente de prendre, d'accepter l'inconnuDans un tourbillonnement d'alcoolEt perdition de l' l'auberge sans nom, ce sont deux silhouettes sans nomQui s'entremêlent sans motEt dans les anonymes,Il y aJeMoiJe sais qui je suisMais je ne sais pas qui est l'autre,LuiIlQui est-il ?Aucune idée et qu'importeBon sens et réflexion anesthésiés par la bouteilleLes pensées ne virevoltent plusLe corps a pris le desusSur l'espritEt agit seul,Mécanique presquePour sa seule satisfactionAlors que tout le reste se noie dans cette si précieuse boisson, tellement utile pour oublier !Pour oublierS'oublierMais ne pas oublier d' survivre, il faut parfois se perdreLoin de tout, loin des autres et de soiPour enfin réussir à revenir pleinementReprendre pied avec le poids d'enclumeEt les responsabilités non souhaitéesReprendre pied et repartir de plus belleOublier pour survivreVoilà à quoi j'en suis je me perdsDans la pluie d'alcoolAlors que la pluie du ciel vient frapper toujours plus durement le carreauJe danse sur le fil de la vie, titubante et chancelante, bouteille à la mainEt, bon sens anihilé, je crois pouvoir courir sur ce fil sans jamais me rompre le couAlors je rêve que je suis plus forte même que la vieEt que survivre n'est qu'une mission des plus me sentir ainsi partir,Loin de tout, loin des autres et de soi,Voguer, flotter, coulerSans jamais résister à l'appel tendre des effluves d'alcoolEt aux bras inconnus tout aussi perdus que les miens,Les bras sans nom, sans visage, sans voixJuste amas de chair contre chairPour oublier le resteDans une nuit d'orageSur un lit non-familierD'une auberge sans nom. La tête me tourneEt je ne sais plus si la chaleur qui inonde mon corpsEst réelle ou simplement imaginée Entre deux images fantasmagoriques aperçues au milieu de battements de paupièresNuit d'oubli, d'alcool et de débaucheJ'ai chaud et froidEntre éveil et sommeilUne goutte de trop dans le sangEt des idées en pelo de laine qui s'emmêlent à l' me semble que mon corps nu sous la drap va se faire bouffer par le matelas trop tourbillonantQue mon cerveau fatigué va exploser sans même que je m'en aperçoiveEt que ma personne toute entière va finir par disparaître dans un néant des plus non, je reste,Je demeure,Immobile dans le noirAlors que l'autre silhouette sans nom repose à quelques centimètres de moiEt un silenceDe mortSeulement la pluie qui tape sans répitEt l'orage qui accompagne mon orage intérieurDu parcours dévastateur de l' me paraît plus lent,Trop lent, même,Tic et tac n'ont plus le même rythme,Même plic et ploc perdent de leur énergie au creux de mes vie au bord des lèvres, je pousse tout de même un soupirMais n'ose pas desserrer les mâchoiresDe peur que les entrailles ne remontent douloureusementJusqu'à être expulsées par ma propre tempsAu milieu de bouteilles et sueurEt machinalementMon pouce gauche joue avec ma bagueCelle qui dit que je ne devrais pas être làDans des bras inconnusCelle qui signifie tant de choses pour certainesEt si peu pour moiCelle qui annonce mariage, soi-disant plus beau jour de sa vie,Et qui ne me donne qu'une envie un peu, je ferme les paupières quelques secondesEcoute seulement le plic et plocAlors que je continue de faire jouer l'anneau sur mon qui, toi ?La question que j'aurais dû poser avantMais que je ne pose qu'aprèsEt je sais même pas vraiment si j'attends une veux justepartirloinde tout ça. Invité Re Jour de pluieInvité, le Dim 4 Juin - 2216 L' ne fais que chercher l' nuit, un bar, une femme, six souris, j'esquisse dans mon esprit, quelques lui montre mon carnet, lui propose de la dessiner, elle accepte, quelques traits, je mon sac, un portrait. Dans mon ventre, de l'alcool. Dans ma tête, du recouvre mes esprits, je suis là, dans un plein élan, le regard vide, pas de m'observe, elle se questionne, croquis, je m'en souviens. La femme, je ne m'en souviens est-elle ? D'où vient-elle ?Quel âge a-t-elle ?Une sorcière, pas de doute, l'auberge était magique, les couverts moi, qu'est-ce que je fous là ?Je ne manque de si, de tout ma vie est nulle, lamentable, je suis un incapable sans le sou, logé chez ne m'aime pas, je ne vis pas, je suis un ne dessine pas par plaisir, je dessine pour sexuellement, je ne me suis jamais voilà, dans un lit, avec elle, qui est-elle ? Je n'en sais rien, mais elle remue à la même allure que moi, en silence, et je ne m'arrête pas, comme si j'avais envie d'aller au bout des qu'est-ce que je fous là, moi ?J'ai trop me souviens d'une fois, chez Meredith, il y a trois ans. Son copain l'avait quittée, elle m'avait appelée en pleurant à chaudes larmes. Nous venions tout juste de reprendre contact, elle m'avait demandé de venir chez elle. Nous aurions pu discuter, j'aurais pu la consoler, faire le psy comme j'ai appris à le faire, mais elle m'a embrassé et m'a entraîné avec elle. Je n'avais pas bu, j'étais entièrement sobre, elle n'était pas elle-même et ce n'était pas raisonnable. Pourtant, c'était ma première fois et je me suis laissé faire, comme un garçon curieux qui veut découvrir les choses en sachant pertinemment qu'il se tiendrait mieux en gardant ses distances. Mais j'ai tout appris, et je n'ai rien oublié de cette fois là. Meredith et moi en avons peu reparlé, mais le temps a passé et j'ai connu d'autres filles, et toutes m'ont appris, elles aussi, et je me souviens de chacune d' elle... Elle, je ne me souviens pas. Et pourtant, je le vis, là, dans l'instant présent, la voici en face de moi et je ne saurais me souvenir de son vois à peine son visage, nous sommes tapis dans l'ombre, je m'agite avec une simple voilà qu'on s'étale, l'un à côté de l'autre, essoufflés tous les deux. C'est tête tourne, je n'ose pas la T'es qui, toi ? me ton de sa voix me rappelle certains souvenirs, assez le bar, il y a quelques heures, elle me parlait déjà sur le même ton, ni poli ni je me souviens d'un détail, alors, un détail que j'aurais préféré n'est qu'une gamine, une ado de 17 semble avoir apprécié, j'ai apprécié aussi, mais qu'est-ce que je fous là ?Je voulais simplement la dessiner, je n'ai jamais voulu aller aussi ans seulement, m* seulement c'était la première fois, j'aurais pu passer à côté, mais deux fois en une semaine, ça va trop la gamine du cimetière, maintenant la gamine du qui ne tourne pas rond chez moi ?- n'ai pas envie d'en dire plus, je n'ai pas envie de parler, je m'en veux seulement ma mère voyait seulement mon frère voyait seulement Ariana voyait seulement Meredith voyait M*rde. Si ça pouvait être elle...Cette fille n'a que 17 ans, p* C'était pas une bonne idée. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Jour de pluieKohane W. Underlinden, le Lun 5 Juin - 1925 Le bateau tangueEt je ne fais attention à rienSeulement portée sur son dos chancelantLes paupières closesA écouter les bruitsQui m' y a la pluie lointaineParfois le grondement sourd de la terre et du ciel Mais surtout la respiration de l'autre,Corps sans nom,Silhouette sans visage dans le noirSa respiration qui prouve qu'il est tout de même vivant ;Il n'est pas fantôme,Il est humainIl respireEt pour peu, je pourrais entendreBattre son coeurDans sa sais plus très bien comment on en est arrivés làA partager un étreinte silencieuse dans l'ombreSi peu de mots échangésMais de bonnes gorgée de je-ne-sais quel savoureux mélange un jeu de regard dans un barJe ne sais plus très bienLes feuilles de croquis qui défilent sous les yeuxEt son crayon qui gratteAlors que nous buvonsIl est à la fois concentré sur les traits qu'il traceEt sur le verre qu'il saisit par plus grand choseUne mémoire floueDes images dont je n'ai cureL'important, c'est seulementDe savoir qu'on est làQu'on a atterri làEt que je sais même pas qui il estPas plus qu'il ne sait qui je la nuit et l'ambiance calme de l'aubergeSa voix remonte et me parvientLe seul nom qui ne me dit absolument rienEt l'évidence qui s'impose Je ne le connais vraiment ne saurais même pas dire à quoi il ressemble,Les images sont flouesEt dans le noir, on ne voit plus grand yeux clos, je ne le regarde pasEt même si je le faisais,Sitôt demain, je l'aurai oubliéPeut-être me rappellerai-je de son étreinteMais pas de ses traits, ça c'est certainCar ce n'est pas ça que j'ai envie de retenir de lui,Ce n'est pas ça le plus important chez lui ce soir ;Seulement savoir qu'il y avait lui et moiDans un grand litSans nous connaître,Cela me a l'air de penser, se perdre en réflexions anesthésiéesEt sa voix se fait entendre de nouveau,Pointe de regret peut-être vibrant au fond de la gorgeMais de toutes les façons, ce qui est fait est faitQue veux-tu ?Lentement, mes paupières se rouvrentEt mes pupillent fixent le plafond plongé dans l'ombrePlafond lisse auquel est suspendu une simple chambres ici sont aussi nues que mon corps sous le drap,Aucune touche personnelle, aucune déco originale,Murs blancs pour plafond blanc Des détails que je revois dans un flashJe sais pas pourquoiJe me rappelle de ça, me rappelle de l'aspect de la chambre éclairée par l'ampoule tremblotanteAlors que je suis incapable de tracer dans mon esprit les traits de l'autre à côté de lui, qui a commencé à me dessiner,Pas moi,Je ne suis pas capable de faire telle choseJe ne sais pas peindre les gensJe ne sais pas regarder leur visageJe me contente d'entourer leur personnalité Pour les de triturer mon annulaire, Je passe ma main gauche sur mon visage,Remonte jusqu'à la racine de mes cheveuxEt les doigts viennent s'y perdreAlors qu'un nouveau soupir m' de vomir est passéeEt je ne me sens plus que flotterDans un bien-être vivre sans jamais chercher à oublier qui est une mauvaise atoneAlors que mes yeux restent fixés au plafondEt que mes doigts glisse le long de ma chevelure Avant que le bras ne retombe mollementSur le mal y a-t-il à vouloir oublier,Danser sur les moeurs et la viePour, une fois seulement, dire qu'on s'en fout ?Pourquoi regretterCe qui est faitEt a été apprécié ?Moi, je ne ressens pas cela,Voilà un moment que je n'ai plus ressenti celaParce que les regrets ça ne fait jamais avancerEt de toutes les façons, ça ne permet pas de revenirSur le commeLes si, c'est vrai, pleurer,Ca permet d'évacuerEt se tranquilliserEn s'écroulant épuiséD'avoir trop de larmes je fais basculer mon corps sur le côté,Bras replié, coude posé sur le matelas, tête posée dans la paume ouverteEt je regarde la silhouette d'à-côté,Silhouette plus si anonymeParce que maintenant, j'ai un nom, yeux se contentent de regarderNon pas dévorerSeulement observerL'âme torturée d' regrets sont en train de te torturer ou quoi ?Un silenceAbandonné aux angesDe la nuit Et mon regard le lâche,Se perd sur le matelasDans le videMonde parallèle de l' pas regretter. Sinon une vie déjà pourrie devient insupportable. Invité Re Jour de pluieInvité, le Lun 5 Juin - 2037 Je suis c*n. Je suis c*n. Je suis c* suis vulgaire. Trop vulgaire. Arrête d'être m*rde, quoi, elle a dix-sept ans !- C'est vivre sans jamais chercher à oublier qui est une mauvaise idée, me qu'elle raconte ? J'y comprends qu'une gamine qui inventes des mots, tu es trop jeune, tu sais pas penser, moi aussi je disais des c*nneries à ton ans, m*rde...Je ferme les yeux, je n'ose rien regarder. Je la vois qui bouge à côté de moi, qui se tourne, est-ce qu'elle me regarde ? J'en sais rien, je ne la regarderai ne veux pas voir son visage innocent, si jeune, si pur, si...Non, Seth, ans, ce n'est rien, la moitié des filles l'a déjà fait à 17 ans, elle n'est pas si jeune, elle s'apprête à quitter Poudlard - si elle est est à Poudlard ? J'en sais me fait si mal d'y vie était déjà si m*rdique, et voilà que je couche avec une Tes regrets sont en train de te torturer ou quoi ? ne sais plus quoi donner de la suis suis suis un vieux qui couche avec des même genre de mecs que je trouvais ridicule lors de mes premières années à Poudlard, quand les élèves de Septième année volaient toutes les jolies filles de mon n'a trouvé personne de son âge ?Elle... C'est quoi son nom, déjà ?- C'est quoi ton nom, déj...- Faut pas regretter. Sinon une vie déjà pourrie devient insupportable....Je regrette tellement.......Est-ce que ma vie est insupportable ?......- C'est quoi ton nom, déjà ?J'arrête d'y penser, ou dans quelques heures, je me jette du haut d'un les la n'est pas n'est pas moche non ?Non, c'est pas est plutôt pas mal, en l'impression de la fixer. Je détourne vite le regard, je ne veux pas la m'apprête à m'excuser, mais elle va encore dire que je repense à ce qu'on vient de agréable. Doux. Sensuel. bon, on l'a fait en étant bourrés, aussi, ça change la Le regret est humain, je suis pas insensible. Mais pour le coup, j'arrive pas vraiment à savoir si je dois regretter ou lève les yeux, je fixe le vide. C'est toujours mieux que de la fixer Tu sais, il y a des moments où ta vie est tellement désespérante que t'arrives plus à savoir si elle est légèrement douloureuse, ou tout simplement pourrie, ou carrément fait super Il y a des moments où tu souffres, c'est tout. T'en as pas grand chose à foutre de calculer ton degré de me redresse, m'assieds sur le lit, j'attrape un morceau de la couverture et je m'éponge vulgairement le front en espérant qu'elle ne regarde pas Mais bon, moi, j'ai confiance. Quel que soit mon niveau de détresse, quand j'aurai envie de remonter à la surface, je sais que je le ferai sans problème. J'ai beau être un c*n ou un lâche, je pense quand même avoir un minimum de courage pour pouvoir me sauver coup, ma tête fait me retourne, je la a des yeux sombres, sans trop profonds, peut-être, sais Kayane, non ?C'est son nom, je crois. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Jour de pluieKohane W. Underlinden, le Mar 6 Juin - 015 Je ne comprends pas,Ceux qui aimeraient revenirSur une expérience pourtant pas désagréableA cause de je ne sais quel point de gens-là, j'aimerais leur direDe garder leurs regrets pour des situationsBien plus graves, qui les méritent vraiment,Des situations où vouloir faire machine arrièrePuisse être justifié sans si, dans ces cas-là,Les regrets font davantage malQue le sais car autrefois,Il m'est arrivé de regretter,Mais pas pour une étreinte anonyme abandonnée à un inconnu,Plutôt pour les actes que je n'ai pas eu le courage de faire,Les cris que je n'ai pas eu le cran de pousser,La voix que je n'ai pas eu le courage de faire entendreEt un manque de réaction qui a pu coûter la vie de personnes tombées sous mes ça,C'est sans doute mon pireEt plus réel regret De n'avoir rien pu faire pour les sauverDe n'avoir rien tenté pour eux,Paralysée et anesthésiée par la peurEt de les avoir laissé partir,De leur avoir offert mon regard impuissant pour unique dernier ce soir,Je ne vois pas ce qu'il y aurait à regretter ;Au contraire,Je me sens bien dans ce tourbillon sans finVoilà un moment que je n'avais plus été dans cet étatDélicieux d'éloignement du monde. L'ombre me demande mon nom avant de me regarder,Je sens son oeil peser dans l'obscurité-à mon tour, je pose de nouveau mon attention sur lui-Et sa pupille me détailler comme je le détailleAvant de brusquement changer de direction,Comme prise d'un sursaut de bienséanceQui dit qu'on ne fixe pas ainsi les gens, c'est à faire de ces parolesDe gens bien pensantsQui veulent se faire passer pour droits dans leurs bottesAlors qu'ils sont encore pire que nous ?Regarde-moi, si tu en as envie,Moi, je ne me prive pas,J'aime regarder les gens,En silence,Observation de ce qui se dégage chez euxSans faire attention réellement à leur physique,Je regarde seulement les traits de caractère que je pourrai retenir d' te regarder dans le noir ce soir,Toi, l'inconnu au nom si lointain,SethTe regarder pour essayer de savoirQui tu il reprend,Sa voix file sur les airs,Tisse une toile de motsQue j'absorbe sans le lâcher des yeuxQue j'entends écoute et est torturéEt secoué, l'inconnu,Perdu dans les moments douloureux de l'existenceEt ses mots me parlent,Vibrent en mot dans toute leur splendeur Et leur éclat de vérité ;Je ne savais pas qu'une ombre inconnue comme luiPouvait parler aussi bienEt poser ces mots-là sur les maux d'une vieQue je ne comprends qu'il avance dans sa réflexionJe me mords la lèvre inférieureParce que ses parolesFont remonter à la surfaceTout ce à quoi moi-même je fais faceLes flashs douloureux de souvenirs qui devaient s'oublier dans l'alcoolEt la pelote de pensées se remet en routeAlors qu'au contraire, je ne voulais plus,Ne voulais plus rappel cruel de l'existenceCrispe la mâchoire Tandis que lui se redresse,Sa silhouette vient se mettre en position assise sur le litEt la couverture se froisse entre ses doigtsAlors qu'il se saisit d'un pan dans l' quelques phrasesDébitées à l'universEt soudain, il tourne son visage vers moi,Première fois que nos regards se croisent ainsi,Première fois en tout cas dans ce dont je suis capable de me souvenirCar tout avant est plutôt indistinct,Pour sûr que nous nous sommes regardés,Avant, dans le bar, Pendant, dans le grand litMais ce n'était pas un regard du même ordre ;Là, c'est celui qui observe pour de vraiCelui qui fais attention et nom-qui n'est pas le mien-Sorti de ses lèvresComme une ultime tentative de se rappelerDe ce qu'il a oubliéDe ce qu'il n'a pas écoutéOu de ce qui n'a pas été corrigeDans un souffleLes yeux levés vers sa silhouetteAvant de m'asseoir à mon tourRamenant le drap contre ma poitrineNon pour une quelconque pudeurMais parce que j'ai besoin de sentir quelque choseContre as de la chance, de pouvoir remonter à la surface si tu le veux. Moi, je stagne et je coule. Ce n'est pas par manque de courage. J'essaie. Très sincèrement. Mais ce doit être un manque de force. Un épuisement trop intense d'une trop longue lutte pour du me mords de nouveau la lèvreInstant de réflexionComment arrive-t-il à avoir cette détermination de pouvoir remonter quand bon lui semble ?-J'arrive pas à me sauver moi-même. J'ai besoin des autres. Et même comme ça, c'est difficile. Mais ça l'est encore plus si je suis besoin d'une mainPour tenir la mienneEt me donner le courageDe faire un nouveau pasDans ce mondeDe bête, hein, mais j'ai besoin du monde, je l'aime tout autant que je le je me dis que je danse sur lui,Que je le piétine Tout autant que je le cajole ;Je veux être avec luiAutant que je veux le fuir ;Je veux échapper à son étreinteAutant qu'il m'est devenu indispensable pour survivreEt me releverAlors même qu'il était la cause de ma relation au mondeDans son entierEst si compliquée que je ne sais moi-même plus très bienComment l'expliquer,Où me ai-je autant d'amour à offrir aux gensEt autant de dégoût pour le monde ?Autant d'affectionEt de mépris ?Pourquoi le monde a-t-il cessé de tourner pour moi,Pourquoi m'a-t-il reniée m'empêcher de tourbillonner encore en son sein,Me laissant misérablement au bord de la route,Esseulée et abandonnée ?Trop de pourquoiRageuxPour pouvoir tous les dans le fond, je sais bienQue je ne trouverai jamais de réponseAlors autant poser des questionsQui peuvent en parce que tu n'as d'autres choix que d'être seul que tu as la capacité de te sauver toi-même ?Quel solitaire es-tu donc,SethPourquoi étais-tu là ce soir,Pourquoi étais-je là moi aussiEt pourquoi ici ensembleAssis dans un grand litAprès un moment d'abandonA deux ?Les bras repliés contre ma poitrineMaintenant le drap contre le corpsMon pouce se remet à jouer machinalementAvec la bagueTandis que j'attends en silenceLa voix de l'âme voisine torturée./Seth est en retard mais arrive bel et bien. Donc ne pas poster svp !\ Invité Re Jour de pluieInvité, le Dim 9 Juil - 032 Et elle me corrige,Car elle a beau avoir 17 ans, elle n'est pas bête, la conteste mes mots, élabore les siens,et ses pensées s'entre-mêlent dans une vision sans doute trop globale d'un monde qu'elle heurte sans connaître as dû en baver, toi, Kohane, pour goûter à tant d'amertume alors que le monde ne t'a montré qu'une infime parcelle de ce qu'il est capable de t' es-tu ?Une fille ? Une femme ? Une entité venue pour moi, pour me soutenir ?Dans quoi vis-tu ?L'émotion ? La sensation ? La réflexion ?Tu es là, tu apprécies ma présence mais cela ne te suffit pas, tu cherches à la défier, à savoir à qui tu as affaire,Ou alors peut-être essaies-tu simplement de trouver une âme charitable capable de comprendre et d'avaler toute ta peine, de l'engorger pour t'abandonner dans un doux état de Kohane, j'aurais beau tenter de te guérir, cette cure ne serait qu'éphémère, tu ne t'échapperas pas avec tiens à te laisser ici, sur Terre, avec toutes tes peines et tes joies,Car tu dois voir, Kohane, tout ce que tu ne connais pas encore et qui saurait te redonner le ne te guériras pas auprès des autres, car les autres ne sont pas là pour autres ne sont que des passages, des transitions,et si tu te confies à eux, ils finiront par te rendre ce que tu leur as seule à qui tu peux te confier, Kohane, c'est toi,Car même si tu ne peux te comprendre entièrement,Tu es la seule à percevoir le monde à ta manière,Et le monde s'adapte aux yeux de Ce n'est pas une question de chance, ni de volonté, ni de courage, ni de force. La chance n'existe pas, et le reste s'apprend. Je serais tenté de te dire que c'est une question d'apprentissage, mais qui sera là pour t'apprendre, si tu te sens incapable d'apprendre par toi-même ? Là non plus, ça ne marche la vois qui se recroqueville, ramène vers elle un drap, couvre ses seins, je la contemple et je la trouve son le monde peut être Alors je pourrais te dire que c'est une question de croyance, peut-être. Si tu vois le monde comme le Diable, alors il t'enverra en enfer. Si tu le vois comme ta Nourrice, alors elle te bercera tendrement, dans un couffin moelleux, si confortable, si paisible... Mais dans quelle désillusion vivrais-tu alors, si loin de tout, sans rien connaître des malheurs d'une la croyance, ça aussi, ça s' que je dis n'a aucun parle sans réfléchir, je réponds comme ça, d'un coup, et je me dis que, sûrement, tout ira La vérité, Kohane, c'est que je suis là à t'écouter mais je n'ai aucune solution à te proposer. Et tu fais pareil pour moi, tu m'écoutes plaindre mes défauts et vanter mes mérites. Et quand tu me dis que tu coules, que tu es incapable de te sauver... Et quand je te dis que je souffre, en attendant toujours un espoir de remonter à la surface...Et quand j'observais ma mère plonger en pleine dépression...Et quand je consolais Meredith, troublée par l'amour...Et quand j'apprenais la mort de Kira, sans savoir comment soutenir une famille que je n'avais jamais connue...Et quand ils m'attendaient, moi, enfermé dans ma chambre pendant toutes ces années...- De quoi on a l'air, hein ? Deux pauvres âmes, qui se jugent, se disent "Mince alors, mais qu'est-ce qu'on est torturés, si tristes, si sombres !" Et on cherche des solutions dans une superficialité totalement assumée, des alternatives pour une vie qui fait peine à voir. Et on utilise des beaux mots, pour faire mine que tout est si complexe et que tout cela nous dépasse, que ce n'est pas de notre faute, après me dévoile tellement, ici, face à une inconnue qui ne sait rien de moi,Mais qui, à la fois, a su me déceler au premier coup d'oeil,Tout comme je l'ai décelée en Je m'en veux de parler pour toi, Kohane, mais j'ai comme l'impression qu'on est tous pareil, mais qu'on a tous différentes façons de l'assumer. La vérité, c'est que nous allons mal. Nous allons mal, et ce qui nous fait souffrir avant tout, c'est de savoir qu'on ne trouvera absolument jamais de solution. Et nous continuerons à souffrir, comme ça, sans ne sera même pas une boucle, ce sera la vie, c'est tout, dans sa linéarité la plus imprévisibilité prévisible on ne sait pas ce qui nous fera souffrir, mais on sait qu'on on aura beau aimer le monde, le haïr à la fois,Rencontrer des gens, les aimer eux aussi, les haïr eux aussi,Nous souffrirons, voilà Alors à ta question, Kohane, voilà ce que je répondrais non, je ne me sens pas seul. C'est justement en pensant que nous les hommes, nous sommes tous les mêmes, et que nous finirons tous de la même manière, unis dans la vie comme dans la mort, que je trouve un peu d'espoir. Je ne pense pas que nous nous unifierons, que nous trouverons une paix commune, mais je pense au contraire que nous plongeons tous ensemble vers la même fin, aussi obscure soit-elle. Nous roulons vers la même destination, et nous sommes tous si désespérés à l'idée d'en finir un jour que nous sommes tous en train d'espérer, quelque part, que cette fin soit la meilleure possible, car elle est la même pour me me sens mieux, se trouve dos à moi, toujours assise, et j'avance doucement ma main vers elle, dans l'espoir d'en savoir plus, de comprendre pourquoi cette fille m'a tant Mais tout cela, ce n'est qu'une supposition. En fait, moi j'essaie simplement de comprendre, comme toi et comme tous les mes doigts glissent sur son dos et je l'effleure, sans la Sensation... Réflexion...J'ai si souvent prétendu être un intellectuel. La grosse tête de la classe, celui qui la caresse, doucement, et la peau que je sens sous mes doigts me transmet toute la chaleur de son sensation... Peut-être que c'est ça qui me plaît, finalement. L'expérience de l'instant fait de vivre, de faire des suppositions,d'essayer, d'effleurer des choses,de sentir des corps bouger en même temps que sensation, seulement la sensation...- Et puis on sourit, aussi, des me sens si bête, à vouloir me donner cet air pessimiste, à vouloir dénoncer ma misère et celle du monde, à vouloir me plaindre de la vie, alors que je me sens parfois si bien dans ma peau, si heureux d'être là...- En fait, je parle beaucoup, mais demain, je dirai totalement l'inverse de tout ce que je viens de dire jusqu'à à peu, ma main se pose entièrement sur son dos, et je la caresse, et j'aurais envie de l' dos, elle est vraiment sera là pour me juger, dans quelques heures, quand nous serons séparés et qu'il n'y aura plus personne pour évoquer cette expérience ?Et puis si quelqu'un venait à me juger, pourquoi ne devrais-je pas assumer ?Je ne suis qu'un jeune homme qui, en cet instant précis, est pris d'une terrible envie d'enlacer une jeune fille en peine,De ressentir sa souffrance, sans savoir réellement s'il la partage ou s'il ne fait que feindre ses peines pour partager un moment intime avec une La vérité, je crois, la vraie vérité, c'est que j'aime bien te parler, là, maintenant. C'est agréable. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Jour de pluieKohane W. Underlinden, le Sam 15 Juil - 1754 MusiqueLes mots, doucement,Se mêlent à la pluie du dehorsIls ne font qu'un,Il y a alternanceEntre le son de sa voix résonnant au milieu du noirEt les incessants ploc-plic-ploc contre la un ballet infini et tendreDe ces deux vois différentes qui se mêlent-celle de l'Homme torturé face aux éléments, face à la Vie, face au Toutet celle de la Nature qui ne fait que continuer de bouger et de tourner sans se torturerC'est un beau ballet de les entendre,Eux deux,Ensemble,Ainsi mêlé, presque l'un dans l' douce mélodie confondueMe parvient, me berce presqueAlors que, sans mot et sans mouvement,Je l'écoute, l'inconnu,SethQui parle, parle, parle,Ses mots filent comme des notes de piano-quel joli morceau ils jouent ensemble,La pluie et lui !Il cherche, phrase après phrase,Il titube un peu face au sens de la vie,Face à la réalité du monde ;Il cherche des explications,Il va là, puis là, avant de bifurquer encore une foisEt toujours, ils cherche est tâtonne,Alors que moi, je l'écoute dans le noirChercher et parles de croyance,Seth,Croire, oui,Mais lorsqu'on a l'impression, justement,De ne plus réussir à croire,Lorsque tout est si vide que même ça,Ca nous échappe,Comment peut-on encore parler de croyance ?Lorsque tout est déjà si parti,Que tout fout l'camp sans donner d'raisons,Que tout file et s'enfuit,Loin, loin, si loin de soi,Comment fait-on, Seth,Pour croire encore ?Je reste silencieuse alors que le reste arriveEt,Oui,Il a raison,Dans le fond, il n'y a aucune solution à donner,Ni pour lui, ni pour moi,Ni de lui, ni de moi,Il n'y a que nous, face à nos problèmes et préoccupationsQue nous qui puissions réellement les prendre à bras le corps,Tant que nous tenterons de les éviter, de les fuir,Tant que nous courberons la tête face à eux,Nous continuerons de couler,A coup sûr,Nous sommes les seulsA pouvoir décider de faire facePour juste tellement compliqué,De vouloir faire face,Etre prêt à en prendre plein l'âmeA encaisser les coups de lameTout ça en se disant queDemain,Ce sera continueEt ce qu'il ditAurait pu, autrefois,Me faire frissonner comme jamais ;Mais à présent,Je me dis qu'il doit avoir je refusais l'idée qu'on puisse tousAvoir le même Destin, suivre le même cheminMême si les façons de marcher et d'aborder ce cheminDiffèrent radicalement,D'une personne à une autre,Oui, autrefois, cette idée me faisait si peurJe ne voulais pas suivre la même pente que les autresJe ne voulais pas finirFinir comme luiJ'en avais trop peurC'est d'ailleurs pour ça que je l'ai quittéTrop peur qu'il m'entraîne à sa suite,Trop peur de dévaler la même pente que finalement,Je me dis qu'il doit avoir raison,Seth,J'aime comme il parle,Même si je me perds un peu dans tous ces mots en vrac,J'aime quand même entendre sa voix qui file une toile de réflexionEt je me dis queC'est vrai, ce qu'il dit,On finira tous pareil,Qui que nous soyons,Riche ou pauvre,Moldu ou sorcier,Phénix ou Mangemort,Nous dévalons tous la même collineMais pas forcément sur le même flancAlors, peut-être qu'on a l'impression que rien ne nous relie,Que jamais nos chemins ne se croiseront,Il n'en est rien On suit la même force invibleEt cela suffit, A nous finira tous pareilsParce qu'on commence pareils, n'est-ce pas ?On commence tousPar la Vie,Le premier souffle, le premier cri, le premier pleur,Le cordon ombilical sectionné,Avant d'être offert au Monde ;Et on termine tous pareilsPar la Mort,Quelle que soit sa forme, quel que soit l'âge ou le lieu ou la raison pour laquelle elle nous faucheOn danse tous avec elleEt ça, nous n'y pouvons rien,Ni l'argent, ni le pouvoir, ni l'ambition démesuréeNe pourront remédier à coin de l'oeil,Je vois sa silhouette se rallongéeJe suis désormais seuleOmbre dressée dans la nuitEt je demeure immobileA l'écoute des accords-pluieEt de la dans un instant-temps infini,Je sens ses doigtsVenir effleurer ma peauImmobile dans le noir,Je frissonne légèrementMais n'ose pas bougerAlors que mes doigts se crispent un peu plusSur le drap ramené contre puis on sourit, aussi, des moi, en cet instant,Je souris,Doucement,Un sourire adressé à l'absence, peut-être,Puisque lancé dans le vide, lancé devant moi,Non pas tourné vers Seth,Ou alors, au contraire, à la présence,Parce que Seth, c'est un peu toute cette chambre anonymeAlors, pas besoin de braquer mes yeux sur luiPour lui je finis par cesser de lui tourner le dos,Je pivote dans sa direction,Mes yeux tombent sur sa silhouette allongéeEt ma main attrape la sienneMes doigts la serrent d'une douce pression,Je reste silencieuse quelques secondesSeulement à le regarder,Nous sommes deux, perdus sur un bateau au milieu de la brumeVoguant vers une destination inconnue mais,Après tout,La destination est-elle vraiment importante ?J'aime le regarder ainsiIl dégage une douce lueur touchanteDe cette lueur faiblarde que trimballent les torturés de la vieEt qui fait qu'on a envie,Un peu,De les consoler,Des les serrer contre soiDe les bercer comme des petits enfants en mal d'amour,De leur donner un peu d'une affection sais, Seth,Je sais toujours pas pourquoi tu étais là,Pourquoi j'étais là,Pourquoi toi,Pourquoi moi,Pourquoi nous,Nous, ensemble,Pourquoi nos pas ou nos viesOnt décidé qu'on devait se croiser cette nuit,Pourquoi tu t'es trouvé sur mon chemin ou moi sur le tienMais, finalement,Je m'aperçois que la réponse à ces questions m'importe peu La réelle importance,C'est que nous soyons je caresse du pouce la peau de sa mainComme pour la lisserOu la forgerLa forger comme je l'entendsMême si, je le sais bien,Il restera à jamais lui, Seth,Ne sera jamais le Seth que j'aurais aimé créerEt c'est tant mieux,C'est comme ça que je l'apprécie,Comme cet inconnu indépendant de moiQue je ne fais que regarder dans le noir,Cet inconnu qui n'est pas moi,Qui n'est pas une part de moiEt qui, malgré tout, a su m'attirerOu attirer mes sens anesthésiés par l'alcoolEt je suis partie, sans raison,Avec lui, l'inconnu,Et les raisons,On s'en fout, en aussi, j'aime bien te parler. J'aime bien t'entendre parler. C'est agréable. Tu chantes bien les mots accompagné de la finis par me rallonger, moi aussi,Se rallonger sur le bateau tanguant,Le bateau à la dérive,Le bateau loin de tout,Se rallonger et laisser passerLe mal de mer,Je retrouve cette position de mortAlors que je suis vivanteEt je pose doucement ma tête au creux de son épaule,Un contact physique rassurant,D'une étreinte perdue dans la pas de solution. Mais peut-être que c'est aussi parce qu'il n'y a pas de problème. Dans le fond, tout ça, est-ce vraiment un problème ? C'est peut-être juste la vie. Et faut apprendre à faire avec. Sauf si on décide, plutôt, d'aller danser avec la mort. Mais là, c'est un voyage sans me tais Et mes yeux,Perdus,Vaguent et voguentSur un océan de mots et de penséesJe me sens tellement bien, ici,C'est agréable,D'abandonner les mots à la pénombreEt, dès que nous ouvrirons la fenêtre,Ils s'envoleront,Tourbillonneront dans la pluieJusqu'à disparaîtreIls survivront uniquement dans nos mémoiresEt même si on finit tous pareils, on aimerait croire que non. Moi, longtemps, j'ai voulu croire que ce n'était pas le cas. Je ne voulais pas... Ne voulais pas finir comme les autres. Malgré tout, j'crois que t'as raison. Et, dans le fond, qu'importe, comment on finit. Le futur importe peu. C'est le présent qui compte. C'est pour lui, qu'on doit se battre. Alors, même ceux qui proclament lutter pour l'avenir, lutter pour les générations futures...En vérité, ce n'est pas cela qui les guide. C'est l'envie folle de changer leur présent qui leur donne la force de continuer le aussi, j'ai longtemps cruQu'on se battait pour l'avenirMais finalement,J'crois bien qu'on se fiche un peu beaucoup de l'avenirNous ne sommes que des êtres nombrilistes Obnubilés par notre propre personneAlors, pourquoi se battre pour un avenir dans lequel nous ne serons peut-être pas ?C'est illogiqueDonc ceci est ma conclusion La raison vraie des combatsQuels qu'ils soientC'est pour le présentEt ce, même si leurs conséquences seront forcément sur le puis, ne pas penser à la finitude, ça permet de ne pas voir en l'autre comment nous-même allons terminer. Ca permet de ne voir l'autre qu'à l'instant présent. L'aimer pour ce qu'il représente. A cette minute, cette seconde précise. Et on se fout du reste. Sinon, on fuirait les autres. Ils seraient trop semblables à nous, puisqu'on doit finir pareils. Ils seraient trop semblables à nous et ça, ça fait flipper n'importe lève les yeuxPour apercevoir seulement le bas du visageEn ombre chinoiseDe l'autre, inconnu au nom étranger,Seth,Je le vois vaguementQuelques secondesAvant que mon regard ne se baisse de nouveau,Se perd sur l'image de l'épauleContre laquelle je suis appuyéeEt je sans cesse les autres ne serait pas tenable. Même si nous sommes les seuls à pouvoir faire face à nos problèmes, à nos angoisses, même si personne ne peut le faire à notre place, on a tout de même besoin des autres. Un peu de leurs sourires, un peu de leur amour, un peu de leur réconfort, un peu de leur soutien. Un peu d'eux, tout je me dis que c'est peut-être parce que j'avais besoin de toi, toi de moi, que nous nous sommes croisés. Invité Re Jour de pluieInvité, le Mer 26 Juil - 429 - Moi aussi, j'aime bien te parler. J'aime bien t'entendre parler. C'est agréable. Tu chantes bien les mots accompagné de la je la caresse, plus je me sens proche d'elle et pourtant, chaque mot qu'elle prononce semble l'éloigner de moi. Sa personnalité m'échappe, entre rêveuse romantique, adolescente troublée ou Sphinx à la parole douteuse, percevant chaque instant de sa vie comme une énigme peut-être es-tu plus que ça. Plus qu'une simple figure mythique, tu serais un être surnaturel, serais tenté de dire supérieur, mais tu m'as l'air extérieure à ce genre de pensée là, à cette tendance naturelle à comparer, à hiérarchiser. Toi que j'effleure, bel esprit, à qui pourrais-tu te sentir supérieur ou inférieur ? Si tu te laisses toucher ainsi par un simple humain sans vertu, c'est que tu ne dois pas vraiment y goûter, à cette nymphe, n'est-ce pas ?C'est ce que tu sembles être, une nymphe se berçant au son de la pluie, te nourrissant de l'eau comme des mots, et tu danses ainsi en m'écoutant, en écoutant les autres, en écoutant le monde, en t'écoutant toi-même, et en me laissant t' Y'a pas de solution. Mais peut-être que c'est aussi parce qu'il n'y a pas de problème. Dans le fond, tout ça, est-ce vraiment un problème ? C'est peut-être juste la vie. Et faut apprendre à faire avec. Sauf si on décide, plutôt, d'aller danser avec la mort. Mais là, c'est un voyage sans retour. Et, même si on finit tous pareils, on aimerait croire que non. Moi, longtemps, j'ai voulu croire que ce n'était pas le cas. Je ne voulais pas... Ne voulais pas finir comme les autres. Malgré tout, j'crois que t'as raison. Et, dans le fond, qu'importe, comment on finit. Le futur importe peu. C'est le présent qui compte. C'est pour lui, qu'on doit se battre. Alors, même ceux qui proclament lutter pour l'avenir, lutter pour les générations futures...En vérité, ce n'est pas cela qui les guide. C'est l'envie folle de changer leur présent qui leur donne la force de continuer le combat. Et puis, ne pas penser à la finitude, ça permet de ne pas voir en l'autre comment nous-même allons...Et elle ne s'arrête pas, et c'est beau, et je l'écoute fait déjà un moment que nous parlons, et je n'arrive pas à savoir si nous nous écoutons pour les faits ou simplement parce que ça fait plaisir, d'écouter, parfois, et c'est gratifiant de se sentir écouté, aussi, surtout quand la personne d'en face ne te prend pas pour un es intelligente, Ka... Kohane, la nymphe, tu es intelligente et tu le sais, tu es belle et tu le sais, mais tu as aussi une belle façon de le montrer, tout en sent que tu pèses tes mots, mais en même temps que tu n'as aucun mal à les sortir, tu réfléchis tout en ouvrant ton coeur à quelques es belle par tes égarements et par la façon dont tu te retrouves, à chaque fois, parce que j'ai l'impression de me retrouver avec toi, de comprendre à chaque fois où tu veux en venir, mais surtout de me retrouver en se sommes deux êtres perdus dans la pénombre qui avons besoin d'attention, et nous sommes là à nous écouter, et nous nous comprenons, et ça fait du biennnnn d'être que, quelque part au fond de moi, je suis encore un ado frustré, qui cherche à être écouté, et à gueuler contre le monde ?Je n'en ai aucune corps contre le mien, ta tête sur mon épaule, pourtant, je me sens adulte, et je me rends compte à quel point tout a changé dans ma te confies à moi, tu me confies tes responsabilités, et je ne te laisserai pas tomber maintenant. Et je ne me laisserai pas tomber non plus, car je ne prendrai pas le risque que tu tombes avec corps sont serrés, et sa chaleur m'est Et je me dis que c'est peut-être parce que j'avais besoin de toi, toi de moi, que nous nous sommes vrai, si C'est dans ces moments là que j'ai certains regrets, que je plains la pudeur des hommes, celle qui les empêche de savoir s'avouer l'amour qu'ils éprouvent entre eux. C'est comme si chacun devait mériter l'amour de l'autre, cette fâcheuse tendance à ne dire "Je t'aime" à son conjoint qu'après plusieurs mois de couple. L'amour nous est offert, et nous le retardons toujours un peu plus. Pourtant, moi je n'ai pas honte de le dire je ne te connais pas, mais tu ne peux pas imaginer à quel point je t'aime en cet instant précis. Et je ne ferai que savourer cet amour jusqu'à l'heure où nous nous une telle rencontre, j'aurais presque envie de ne jamais la Tu permets ?Je me détache d'elle, j'ai besoin de me lève, me dirige vers la vitre, je tire le rideau qui la couvre à quelques gouttes de pluie se sont transformées en une véritable tempête Il est quelle heure, là ? Bah, peu tourne la poignée, ouvre la fenêtre, passe une jambe au travers et pose pied sur le balcon, de l'autre sous la pluie, j'observe la nymphe allongée sur le lit et l'invite à me Regarde, regarde comme il pleut ! Et regarde ce que la pluie nous apporte ! Sa danse la plus sauvage, primitive et humaine !Je me délivre sous le regard de l'inconnue tandis que mes bras se libèrent, s'ouvrant à l'eau fécondatrice, et je commence à battre des jambes, me mouvant au rythme de mes envies. J'apprécie le son du claquement de mes pieds contre les flaques d'eau, j'apprécie la douche offerte par la nature pour me faire oublier la sensation moite de la sueur, j'apprécie le risque que je prends à dévoiler ainsi mon corps à d'éventuels passants dans la rue juste en dessous, j'apprécie mon courage de danser sous la pluie et les yeux de tous. À quoi cela va-t-il me mener ? Je n'en sais véritablement rien. Je ne saurais dire si je danse bien, mais mon corps ne s'arrête plus, mon rythme est haletant, mes membres se déploient ; mes ailes, Au cas où tu en douterais, je te demande de ne pas me prendre pour un fou, Kohane, c'est bien la seule et unique fois que je me comporterais ainsi devant une si belle inconnue !Je commence à sautiller, sans crainte de tomber à la renverse, et l'averse se fait de plus en plus ma droite, des Viens, rejoins-moi ! Grimpons jusqu'au toit et affrontons ensemble la tempête, pour notre plus grand bonheur ! Que nous la redoutions ou la convoitions, la voici qui s'offre à nous, alors profitons-en avant qu'elle nous passe sous le nez ! Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Jour de pluieKohane W. Underlinden, le Mer 2 Aoû - 1801 J'aime la sensationQu'on ne se connaît pas-je ne connaissais même pas ton nom, avant-Et pourtant, on se parle,On se confie,Comme les meilleurs amis du monde Ou peut-être, justement,Le presque anonymat nous permetDe se livrer à l'autreEn sachant qu'après ça,Une fois séparés,Plus rien ne nous relieraPour permettre le jugement de l'unOu de l' ne se connaît pasMais tu m'aimesEt moi,Moi,Je t'aimeAussi ?J'ai tellement de mal, tu sais,A dire je t'aimeA ceux que je connaisC'est pas de la pudeur, je crois,C'est autre choseIndéfinissableQui fait que ces mots,J'ai tellement de mal à les cracherAlors qu'il y aurait tellement de mondeA qui je pourrais les t'aimeCa sonne beau, A l'oreille,Ca sonne juste alorsQu'il y a quelques heures à peine, on ne se voyait pasOn aurait pu se croiser dans la rueSans un regardMais là, maintenant, Quelques heures plus tard,Tu me dis que tu m'aimesEt je trouve ça son ne sort de ma boucheParce que j'ai toujours du mal,Je l'ai dit,Même avec les gens que je connais,J'arrive pas à dire,Je me contente de montrerSans mot,Et là, Je me contente de d'étreindre doucementDans le me sensBienDans ce calmeSous la me sensBienDans ce silenceEntrecoupé de tes motsEt ta chaleurSur ma peauOn est bien, non,Ensemble,A voguerSur les flots,Bateau en dériveJ'aime me laisser porter dans la brumeEt la destination, je la regarde pasY'a pas de ce sentiment de me perdreA tes côtés,Tu n'es ni phare ni ombreTu es seulement ce flotQui pousse et accompagneDoucement, calmementTu es seulement ce flotQue je suis sans rien direAvec le noir, il finit par se redresser,Par se lever,Quitter les drapsJe sens sa chaleur partirEn même temps que luiPuisLe bruit des rideaux qu'on tireIl regarde le dehorsLes gouttes qui tapent et agressent les carreaux Il regardeLa pluie tomberL'orage se ouverteLe vent pénètre la chambre trop moiteEt les mots prononcés précédemment s'envolentAvalés par la pluie du dehorsTout s'en va dans cette fraîcheur soudaineEt se tourne vers moiInvitationA la suivreSous cette eau du cielQui tombe, ruisselle sur son corps nuDétrempe les cheveuxEt envahit le me redresse à mon tourLe drap glissant sur mon corpsMe redresse dans le noirLe regarde quelques instantsLui, sous la pluie, en osmose complèteBras ouvertsComme accueillant une vieille amie revenue du cielLuiSous la pluieComme amoureux de cette eau qui se déverseEt son corps se met à bouger en rythmeTandis que mes pas glissent silencieusement dans la chambreJusqu'à la dans l'encadrement,Un peu en recul,Un peu en arrière,Je le regardeSans oser franchir le pasLe rejoindreJe suis plus méfiante que lui envers l'eauJe ne l'aime pas tout le tempsParce qu'elle s'oppose au feuEt que le feu, j'en ai besoinPour survivreBesoin de cette flamme combativeAu creux des tripesPour faire face à l' reprend la paroleEt ses mots me font sourireUn sourire attendriJ'ai bien envie de sortir sous la pluie,Moi aussi,Pour lui prendre la main,Juste çaLa serrer dans la mienneEt lui dire-Un grain de folie dans l'esprit, c'est essentiel pour survivre dans ce monde trop terne. Que tu sois fou ou pas selon tes propres dires, moi, j'aime cet éclat dans l'oeil. Quel que soit le nom qu'on lui donne. Folie. Sagesse. Inconscience. Qu'importe. Je l' pluie redoubleDe ma place un peu en retraitJ'en reçois tout de même des gouttesEt éclaboussuresAlors que lui,Sautille sur place,Plein d'envie de s'envolerIl pourrait presque tenter de sauter du balconEt voir s'il décolleAprès tout, c'est possible de décollerSuffit d'être avec la bonne personne ;Mon frère astral et moi l'avons déjà prouvéDeux foisUne fois vers les étoilesUne autre vers les au lieu de sauter, C'est prendre de la hauteur qu'il me proposeMonterPour regarder les éléments se déchaînerAdmirer leur beauté autant que les craindreLes voir venirLeur faire faceEt les me plaîtEt je finis par m'avancerLes pieds nus dans les flaquesFroid au bout des orteilsLa pluie qui bat la chairQuelques secondes à peineJ'ai l'impression de ressortir d'une noyade dans le lacJe suis totalement trempéeMais qu' vers les cieuxEt regarder l'orageMe qu'il a repéréeQui attendTout comme nous, on attendQue se passent les chosesQue souffle la tempêteAlors je prends sa main dans la mienneEt je me range derrière son avisVoir les choses de là-bas,Perchés sur le toit du mondeEt regarder la Terre s'agiter sous montonsNous grimponsEt de là-haut,Tout semble si petitSi minusculeLà, en bas,C'est incroyablement videAlors que la tempête approcheLes gens se sont réfugiés chez euxIl est tard, sans doute,Ils doivent dormir au fond de leur litSous une couette protectriceAlors que la tempête frappe à leurs fenêtresSur leurs toits d'ardoises ou de tuilesPeut-être même qu'elle parviendra à rentrer chez certainsQui seront dépités au matinDe voir les nous ne nous soucions pasPas de celaNous n'en avons rien à faireDu matérielOn a rien à perdreNous sommes juste nousSur notre toit,Nus -pas même ça à perdre dans le ventEt nous regardons venirNous sentons arriverSous une pluie soudainement vent violent fouette le visageEntremêle les cheveuxBourrasque qui prend aux tripesAlors que les gouttes se mettent à frapper horizontalLa tempête, enfin làEt sa violencePresque est bien capable de détruire,Souffler jusqu'à ce que tout s'envole,Réduire en charpie toutes constructions humainesLaisser derrière elle que champ de ruineMaisJe l'aime,Cette violence,Je me retrouve en elle,Dans ce sublime de destructionDes pierres qui tombent les unes après les autres-fabuleux qu'on perdraParce qu'on y gagnera bien plusOn gagneraCe sentiment doux et indescriptibleDe LibertéDans les airsLorsque tout aura été détruitAprès la tempête, c'est refaireEn main n'a pas lâchée celle de SethJe serre ses doigtsDans les miensLe contact physiqueFace au ventEt je sais qu'après la tempête, Il sera encore là,Il y aura lui,Moi,Sur notre toitFace aux élémentsEt, une fois le calme revenu,Nous nous séparerons,La pluie pour unique lien entre nous,Nous nous séparerons,Chacun voguant sur son propre bateauAu milieu du champ de rienQue nous auront laisséVent, violence et de ce notre du rp pour moiMerci pour tout Au plaisir de te recroiser Invité Re Jour de pluieInvité, le Mer 2 Aoû - 1920 MusiqueLa tempête pourrais la contempler de loin, attendre qu'elle nous prenne, nous emporte dans son tourbillon incessant, nous force à la je la regarde à mon attention se porte sur toi, après tout, si je suis ici, c'est avec toi, grâce à toi, pour pour la toi, je ne serais pas monté sur ce toi, je ne me serais pas ouvert toi, jamais personne ne m'aurait pourtant, qui es-tu ?Une une connexion si forte avec une inconnue, c'est comme affirmer que, quelque part, nous sommes tous bel et bien liés, que l'union est possible entre les êtres, que nous avons tous un avenir ce n'est pas ce que j'ai envie de me dire que de parler à l'unisson, j'ai envie d'utiliser ma propre voix pour exprimer ma gratitude envers cette jeune fille parles peu, Kohane, mais ton silence est plus puissant que n'importe quelle parole prononcée dans le vide, ton corps est plus chaleureux que celui de la femme que j'aime, ta présence est plus sécurisante qu'un soir de Noël passé en fais-tu pour provoquer en moi cet effet ?Je dirais que c'est le goût de l'éphémère, le fait de savoir que nous n'avons rien à perdre car bientôt, nous nous quitterons pour ne plus jamais nous nous nous libérons, et nous n'avons pas honte de le faire, de donner une mauvaise image de nous. Nous nous comportons comme si nous ne partagions pas le même monde, comme si nous nous oublierions à toute vitesse une fois ce moment vécu ensemble, comment pouvons-nous encore accepter le fait de s'oublier aussi facilement ?Peut-être était-ce une condition, après condition pour partager nos corps, échanger des mots, s'offrir nos ne te le cache pas, Kohane peut-être n'en as-tu rien à faire, mais j'aurai pour ma part beaucoup de mal à j'ai désormais l'impression que ta présence a une place importante dans mon je m'attache trop pas que je t'aime, car j'ai bien conscience que cet amour ne durera que le temps de cette scène, de ce dialogue ; qu'une fois séparés, mes sentiments pour toi ne seront plus les j'ai l'impression que le lien que nous venons de tisser n'est pas aussi léger qu'il n'y paraît. Ample, souple, c'est comme s'il pouvait s'étendre, nous proposer davantage qu'une relation d'une qui nous relie ?Notre vision du monde ?Le monde en lui-même ?Le destin ?La magie ?Les autres ?Notre volonté ?La tempête approche, sommes nus sous la pluie, à attendre ensemble qu'elle nous emporte et nous préfère me taire à de de te remercier une dernière fois pour avoir partagé ce moment avec du RPMerci pour cette rencontre, en espérant recroiser la route de Kohane Lïnwe FelagündRéférent Maître de JeuGryffondor Re Jour de pluieLïnwe Felagünd, le Dim 13 Aoû - 1911 L 'espérance se cache derrière les nuages grisavec LinaaaJour de pluieBruine ou averse abondantesécrétée par ces nuages noirs de suie L'eau est immonde et tiède et prenantecomme après un orage d'été qui vous suitJour de pluie Jour de pluieLà-bas, un homme sur un banc livideécaillé par le temps et les caprices du ciels' garçon est aussi livide que son banc. Posé là sous un climat torride et humide. Mais encore tiède par le soleil du matin. La pluie se cache dans les cols osseux - désagréable. Les gouttes coupent comme des morceaux de verre jusqu'aux montagnes rocheuses les épaules. Les rivières opales sur ce crâne despotique perdent espoir, noyées sous l'eau trompeuse d'aujourd'hui. Les affaires sont trempées. La morale au plus bas, dans ces chaussures le plus incroyable, c'est que ça lui plaît. L'aspect du village a changé — nouvelle vision. En fait, il croit en la stérilisation par l'eau bénédictine. Nectar inconscient de la pensée. Son âme est-elle plus propre, désormais ? Sa raison plus saine et son cœur moins sale ?Jour de pluieJour de pluie — vive la pluie donne envie de sourire au soleil absent, néant, et autres édition par Lïnwe Felagünd le Ven 25 Aoû - 1812, édité 1 fois Re Jour de pluieContenu sponsorisé, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
VidéoTikTok de Orlane Bossy (@orlaanee12) : « #Duo avec @ tu m’aime arrête t’es bêtises 😔😏 ». son original. TikTok. Téléverser . Connexion. Pour toi. Abonnements. LIVE. Connecte-toi pour
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